Chers amis,
je serai heureux de participer avec vous au défilé du dimanche 12 mai prochain. En effet, en ce temps d’élections européennes, Jeanne d’Arc nous rappelle opportunément que, selon le mot de Maurras « de toute libertés humaines, la plus douce est l’indépendance de la Patrie. »
Les négociateurs du traité de Troyes qui voulait faire une union anglo-française étaient les précurseurs de la supranationalité qui nous prend nos libertés au profit de la technocratie, de la finance et du mondialisme.
Il faut que France, il faut que Chrétienté continuent !
Bien amicalement.
Franck Bouscau, Avocat, Professeur d’Université.
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Quelle tenue, immense respect à Mr Faurisson et à Maitre Viguier, pour le reste, la folie ordinaire de non sens, la veulerie est à l’ordre du jour……
Cette loi Gayssot verrouille de façon implacable la vraie liberté.
C’est une ignominie qui avalise les mensonges construits sur des procédures dont les accusés ont été mis volontairement et délibérément sans défense lors du procès de Nüremberg (cf:Vincent Reynouard). Les articles 18 (si je ne me trompe) et 21 de ce procès inique stipulent qu’aucune référence historique antérieure à 1939 et s’appuyant sur les circonstances relatives à la première guerre mondiale et le traité de Versailles, ne peut être prise en compte. De même les témoignages n’allant pas dans le sens de l’extermination finale de la conférence de Wahnsee selon les interprétations de la partie attaquante de ce procès.
Il s’agit donc dans cette loi Gayssot de protéger un nouveau dogme qui, comme son nom l’indique, codifie une nouvelle croyance en un « Golgotha » pour Juifs.Ce nouveau « Golgotha » doit remplacer celui du Christ dans sa Passion et préparer ainsi une nouvelle résurrection qui doit être l’avènement du noachisme, religion nouvelle du gouvernement mondial préfigurée dans les 3 déclarations finales du concile vatican II: « dignitatis humanae », « lumen gentium » et « nostra aetate ».Cette résurrection est aussi le triomphe du Grand-Israël, peuple sacerdotal,s’étendant du delta du Nil aux bouches du Tigre et de l’Euphrate (cf: Pierre Hillard, Elie Benamozegh et Oded Yinon).
Une société de connaissance ouverte, héritière des cultures grecque et romaine, ne peut plus accepter une telle disposition qui soumet le débat public présent et futur à des décisions d’un tribunal militaire (Accords de Londres du 8 août 1945), prises il y a plus de 70 ans, alors même que l’histoire de la Seconde guerre mondiale en était au point zéro, qu’un État totalitaire était partie prenante de ce tribunal, et que le Gouvernement provisoire de la République française (juin 1944 / octobre 1946) signataire de ces accords n’émanait pas du suffrage universel.