Une vie, une évasion, une conversion, un apostolat quotidien et une mort programmée par le Ciel… dans la joie.
Ce livre est un témoignage. Un récit de guerre, rédigé en pleine clandestinité, l’auteur faisant aussi partie de la Résistance. L’identité des personnes est donc secrète. Mais ils ont bien existé.
Tout commence un jour dans un oflag :
« Darreberg, jeune officier plein de vie et d’humour, farceur à ses heures et toujours de bonne humeur, n’a pas son air jovial habituel :
- Eh bien l’Abbé, laissez-moi vous dire. Vous avez dans une conférence, raconté l’histoire de la Salette. Evidemment c’est une pieuse blague mais tout de même ça a remué pas mal de types dans le camp. C’est très chic d’imaginer des trucs de ce genre pour faire passer les jours moins bêtement.
- Ce n’est pas une blague proteste l’Abbé.
Darreberg se réveille. Le voici redevenu lui avec toute son allure tellement sympathique sous son manteau d’ironie et de scepticisme… :
- Vous savez, l’Aumonier, que je ne crois plus à grand-chose. La sottise des hommes, la méchanceté des loups -et ils ne marchent pas tous à quatre pattes-, la vie stupide et âpre, c’est à peu près mon Credo… Je raconte de bonnes histoires, je fais le malin et je joue au pitre pour distraire la galerie, mais au fond je me vomis de dégout… Quand même cela m’a intéressé votre affaire. Je veux aller me rendre compte sur place de cette légende. C’est toujours intéressant d’aller aux sources de l’imagination.
- Vous parlez toujours sérieusement sans doute ? Nous sommes bouclés pour quelques mois, quelques années.
- Eh bien moi, l’Abbé, je me déboucle aujourd’hui. Je m’évade ce soir…. Je vous envoie dans deux semaines un rapport sur votre légende. Affaire à suivre ! »
Commence alors une épopée fantastique, où l’on sent la main de Notre-Dame qui attire irrésistiblement et protège le capitaine par une succession d’attentions et miracles, -« des clins Dieu ».
Et celui qui n’était que pitrerie n’aura maintenant de cesse de partager ce message de La Salette à tous, amis et collègues de la RAF où il poursuivra sa carrière, et ce, en dépit des moqueries de certains, obéissant ainsi à la Vierge « Vous ferez passer mon message à tout mon peuple ». Engagé dans la Résistance, il passe en Angleterre. Il est incorporé à une unité de pilotes de chasse. Aux commandes de son appareil, le voici lancé dans des missions qui se terminent souvent en combats aériens. « Si je dois être descendu, je voudrais que ce soit en me lançant vers le ciel », disait-il. Jusqu’au jour, un 19, (sa date fétiche) où il est noté » Darreberg n’est pas rentré ». Nul n’a jamais su quelle a été la mort de Darreberg.
Mais cette question est-elle si importante ? Pour lui, la mort n’était déjà plus la mort, mais la joie de l’enfant qui va retrouver sa Mère du Ciel, la joie du serviteur fidèle : «Quand on travaille au service de la Sainte Vierge, avait-il noté sur son journal une semaine plus tôt, le 10 janvier, Elle sait payer ses dettes avec la magnificence d’une Reine et la délicatesse d’une Maman».
Ce livre tant de fois réédité – 42ème mille depuis 1956- est écrit par l’abbé Perrin qui fut ami de Darreberg et chapelain du sanctuaire de la Salette. En 1950, affaibli par la captivité et touché gravement par la maladie, l’abbé Perrin a guidé lui-même la rédaction de notes éparses sur le « capitaine Darreberg » dont la publication était encours dans la revue Les Annales de Notre-Dame de La Salette. En 1956 pour l’édition définitive, une introduction relatant l’apparition et son message fut ajoutée. Le lecteur y découvre La Belle Dame évoquée sans cesse dans les chapitres suivants !
Un petit livre magnifique, plein de rebondissements, au rythme haletant des péripéties d’une évasion, d’une conversion et d’un apostolat tout enflammé, de missions dans la Résistance, et de combats aériens.
Plus d’informations et commandes sur LIVRES EN FAMILLE
Le capitaine Darreberg, Abbé Henri Perrin, Association des Pèlerins de La Salette, 158 pages, 6.50€. A partir de 13/14 ans.
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Et la chasse a la vache à lait continue :
Deux pv en trois semaines dans des zones à 30 (vitesse retenue 36 km/h).
Il fut un temps ces zones n’ existaient que près des écoles ou près de dos d’ âne (passages surélevés on dit voyons). Ils ont fichus de ces zones partout dans la ville de Mérignac en Gironde et c’ est très mal signalé.
J’ habite dans cette ville lorsque je ne suis pas en Corse.
C’est vraiment une bande de tarés dans ce GVT ,depuis le haut de la pyramide jusqu’aux esclaves-députés .
80KM/h déjà + de morts et blessés depuis le 1er Juillet (on est le 18 ) Mais certainement les caisses se remplissent ,pour la gueule du chef ….et de sa grand mère ! Ils ont besoin de monnaie pour payer toutes les gabegies
RAS LE BOL !
Entre les chaim trails ,les vaccins ,lagroalimenteur poison ,l invasion ,la demoralisation par les merdias ,les soins pas rembourses ,,le gouvernenement totalitaire veut notre mort ,,pour pas payer les retraites ,en attendant de supprimer la reversion .Et ca nargue comme dans les camps « pour votre securite « ,,les nazis dans le meme genre « la liberte dans le travail «
« Le 80 km/h sur route, qui va bloquer les voitures derrière les camions, est de celles-là. ». En ce qui me concerne, c’est plutôt ma voiture qui va ralentir tout le trafic et surtout les poids lourds, car dorénavant je roule à 60km/h…chaque fois que je rencontre une ligne continue. C’est parfaitement légal, et, en fait juste un peu en avance sur les prochaines limitations de vitesse. Et ça contribue, modestement, à ralentir la vie économique du pays; donc moins d’impôts dans les caisses, ce qui incitera le gouvernement à augmenter les taxes existantes, d’où un mécontentement croissant. Tout doit être fait pour lutter contre cette dictature.
Et comme les camions qui roulent à 90-100 km/h voudront vous dépasser, il y aura des accidents plus nombreux qu’avant. Il n’y a qu’à voir le comportement des camions sur les autoroutes qui déboitent sous votre nez, comme en Italie.
et comme les Suisses, dès qu’il y aura une ligne discontinue, vous accélérerez jusqu’à 85 km/h. Et tout le monde sera content. Ce gouvernement veut le chaos, ou l’abrutissement des citoyens. Lequel arrivera en premier?
Attention, ne vous trompez pas, quand on est capable de détourner la constitution pour berner et demander, à nouveau, des chèques en blanc, on n’est pas capable de remettre en cause, deux ans après, une formule qui rapporte aux caisses mais pas aux rançonnés, du moins à ceux qui peuvent sauver leur vie… Parce que les autres, ils valent bien une bière (ce qui n’est pas cause nationale d’accident) !
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