Au Canada, Patrick Moore, co-fondateur de Greenpeace, organisme qui a tellement changé que M. Moore ne s’y reconnait plus, a déclaré que le « changement climatique anthropique » est une supercherie qui profite à nombre de gens dont des politiciens qui y trouvent un moyen de gagner des votes, les entreprises vertes, les « scientifiques » en quête de subventions.

Les conservateurs soutiennent depuis longtemps que le « réchauffement » climatique anthropique est un détournement politique de la science climatique. Mais cet argument a reçu un soutien inattendu : le cofondateur de la plus importante organisation environnementale, Greenpeace. Patrick Moore, qui est également ancien président de Greenpeace Canada, a participé à l’émission Breitbart News Tonight de Sirius XM la semaine dernière lors d’une entrevue avec Rebecca Mansour et Joel Pollak.

« La peur a été utilisée tout au long de l’affaire pour prendre le contrôle des esprits et du portefeuille des gens et tout le reste, et la catastrophe climatique est strictement une campagne de peur », dit-il, ajoutant que les adeptes de A Greener World (AGW) ― l’idéologie selon laquelle l’activité humaine serait  principalement responsable des changements climatiques de la Terre ― sont également alimentés par la « culpabilité », car « vous tuez vos enfants en les conduisant dans votre automobile et émettez du dioxyde de carbone dans l’atmosphère. »

Moore a expliqué que le sommet du « mouvement écologiste crée des histoires qui suscitent la peur dans le public » et qui sont ensuite abondamment relayés  médiatiquement. Selon lui, cette supercherie est soutenue par « des politiciens verts qui achètent des scientifiques avec l’argent du gouvernement pour qu’ils effraient le public par des travaux qui seront présentés comme scientifiques. Il dénonce aussi « le monde des affaires vertes, les chercheurs de subventions, les capitalistes de connivence qui bénéficient de subventions énormes, de réductions fiscales importantes et des mandats gouvernementaux exigeant que leurs technologies fassent fortune sur cette base. […] Et puis, bien sûr, il y a les scientifiques qui sont de leur plein gré là-dedans, puisqu’ils sont pratiquement accrochés aux subventions gouvernementales ».

« La plupart des “scientifiques” qui poussent cette théorie catastrophique sont payés avec les deniers publics », ajoute-t-il.

Les partisans de la thèse du réchauffement climatique causé par l’homme ont subi un coup dur en 2010 lorsqu’il a été découvert que leurs principaux chercheurs, comme l’East Anglia University’s Climate Research Unit et l’Intergovernmental Panel on Climate Change [et le GIEC lui-même], s’étaient livrés à une manipulation généralisée des données, livrant des modèles climatiques erronés, falsifiant les sources et supprimant des découvertes dissidentes.

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