Dans sa chronique mensuelle pour Médias-Presse-Info TV, Gabriele Adinolfi revient ce mois-ci sur les causes profondes des attentats de Paris.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
« cet évêque transformé en assistante sociale pour migrants »
Ô Saint Empire Romain de nation italienne, que d’abus sont commis en ton nom !
Le pauvre, il y a une probabilité non-négligeable qu’il soit égorgé par ses « protégés » quand tout pétera. Les musulmans n’aiment pas les carpettes quand elles ne leur sont plus utiles.
« Le pauvre, il y a une probabilité non négligeable qu’il soit égorgé par ses “protégés” » non il apostasiera la foi catholique millénaire par « charité » catholique conciliaire. L’apostasie de la foi catholique millénaire devient un acte de charité chrétienne conciliaire lorsqu’elle sauve « la culture de rencontre », qui est la « charité » bien ordonnée selon Vatican II voir DIGNITATIS HUMANAE et NOSTRA AETATE et soutenu par ce pape François qui dit que le « prosélytisme est une bêtise » et partant on peut conclure : que le martyre des Saints Martyrs devient quasi satanique puisqu’il lutte contre la « charité de rencontre » en allant annoncé Jésus Christ comme l’unique chemin, l’unique vérité, l’unique vie. Par contre les musulmans aiment les carpettes, ils prient sur ce qui les ressemblent. Ils sont la carpette du diable puisqu’ils ne reconnaissent pas Jésus. Voir Saint Jean Epître 1 chap 2 22 Qui est le menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ ? Celui-là est l’antéchrist, qui nie le Père et le Fils.
23 Quiconque nie le Fils, n’a pas non plus le Père ; celui qui confesse le Fils, a aussi le Père.
Les Chefs des Etats d’où viennent ces « migrants »
ne pourraient-ils employer chez eux,
les chômeurs qu’ils nous exportent ?
Le Pape n’aurait-il jamais pensé à cette solution ?
Il pourrait utiliser son « poids moral » pour la faire valoir !
Réponse : il ne peut pas ne pas y avoir pensé,
mais il ne VEUT pas y penser. .
Comme italien, il a un droit de vote.
Sur l’expulsion éventuelle de clandestins violents, il peut en causer mais il n’a aucune décision à prendre.
Comme citoyen européen, je peux aussi lui demander qu’il coupe son klaxon.
« pour le plus grand malaise…. » et pour son malheur, s’il ne change pas très vite de direction !!!!!!
« Ces évêques, archevêques et patriarches oecuménistes, nos « pères », qui passent leur temps à montrer de l’amour à tous pourvu qu’ils n’appartiennent pas à leur troupeau me font penser à d’autres pères assez communs de nos jours comme ceux-ci :
…
Ces gouvernants qui font de beaux discours, d’une haute tenue morale (avec l’admiration de « tous ») donnant la leçon à leurs concitoyens en leur reprochant leur crispation identitaire, leur repliement sur soi, leur manque d’ouverture, de tolérance, etc. quand ceux-ci souhaiteraient tout simplement que l’on s’occupe aussi – si ce n’est d’abord – de leurs problèmes de fin de mois, de l’insécurité dans laquelle ils vivent réellement (et non pas dans leurs fantasmes) et de leur incertitude quant à leur propre devenir et celui de leurs enfants. Ces « dirigeants » ne connaissent évidemment rien de la vie réelle de leurs administrés, ils vivent dans un cercle auto-reproducteur qui parcourt le monde, se congratulant les uns les autres, vivant avec des privilèges que l’on croyait abolis, une vie de luxe avec domestiques dans les lambris dorés de l’Ancien Régime. Le peuple se rend bien compte qu’il ne compte que pour fournir les votes nécessaires à un moment donné pour la réussite de leur carrière. Alors le peuple se révolte quelquefois en votant autrement avec un calme apparent, quelquefois en se révoltant violemment et alors le « pouvoir » envoie sa police pour mater de plus en plus brutalement la rébellion. »
https://orthodoxe-ordinaire.blogspot.fr/2017/01/quelle-sorte-de-peres-sont-nos-eveques.html
Il y a bien entendu à prendre et à laisser dans le discours immigrationniste de Mgr Galantino : aider ceux des migrants réellement « obligés à fuir des situations dramatiques » est effectivement une obligation qui s’impose à tout Chrétien.
Malheureusement son message ne s’arrête pas là. Il relaie de son autorité épiscopale « le non ferme du monde ecclésial et de la solidarité sociale, en plus de celui des juristes engagés depuis des années dans la tutelle et la promotion des migrants », lequel « Non » s’oppose non seulement à la négligence ou à l’égoïsme de ceux qui ne voudraient pas s’acquitter de ce devoir alors qu’ils le peuvent, mais à toute action qui éviterait aux contribuables italiens et européens d’avoir à prendre en charge de très nombreux jeunes hommes qui ne sont nullement « obligés à fuir des situations dramatiques » mais qui ont préféré consacrer leurs ressources, non à une activité dans leur pays qui aurait aidé leurs compatriotes à obtenir un meilleur niveau de vie, mais à payer des passeurs pour venir dans cette Europe considérée comme un Eldorado où ils vivraient mieux sans rien faire que chez eux en travaillant.
C’est pourquoi ils s’opposent à toute expulsion de migrant, même n’ayant aucun titre à bénéficier du droit d’asile, et s’opposent même à toute loi qui permettrait de discerner entre les « réfugiés » fuyant un réel danger et les « migrants » désireux de bénéficier de la générosité des pays européens.
Ils s’opposent aussi à toute sanction contre les « migrants » qui commettent en Italie des actes de vandalisme ou autres délits, migrants dans lesquels, comme dans les vrais réfugiés, ils veulent « voir Dieu », les excusant par le fait qu’ils n’obtiennent pas tout ce dont ils ont rêvé. Et bien entendu, l’assistance qu’ils souhaitent leur voir apporter ne suffisant pas à ce rêve, ils exigent que les gouvernements accordent l’asile définitif à tous ceux qui le demanderont avec assez de persistance, pour peu qu’ils aient « débuté un parcours de scolarisation ou se so[ie]nt rendus disponibles pour des travaux socialement utiles. » Et l’on peut parier que les Mgr Galantino et tutti quanti témoigneront volontiers en faveur de tous les « migrants », affirmant qu’ils remplissent cette condition …
Je me demande d’ailleurs par quelle autorité Mgr Galantino peut parler au nom du « du monde ecclésial et de la solidarité sociale », sans parler des « juristes », c’est-à-dire des avocats spécialisés qui s’enrichissent sur le dos des migrants en question pour lesquels ils plaident inlassablement. Ce n’est pas parce qu’il est évêque d’un unique diocèse (nous ignorons quelle est la position du clergé et des fidèles de ce diocèse, d’ailleurs : le suivent-ils comme un seul homme ?) qu’il est mandaté pour parler au nom « du monde ecclésial ». Et nul ne l’a mandaté dans le « monde de la solidarité sociale », pour la bonne raison que nul de ceux qui sont dans ce « monde » n’a autorité pour mandater qui que ce soit pour parler au nom de tous.
Personne n’a l’air de comprendre que que beaucoup d’évêques n’enseignent plus la doctrine du Christ, mais la doctrine maçonnique…
Il ne faut pas chercher d’autres explications ou arguments.