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L’affaire est passée quasiment inaperçue, toute l’attention étant accaparée par l’affaire Benalla depuis de nombreux jours.

Fin juillet, Le Parisien signale comment le député franco-israélien Meyer Habib a contourné les règles de sécurité de l’Assemblée nationale pour y faire entrer un agent dé sécurité israélien qui a ostensiblement montrer son arme pour narguer les agents de sécurité de l’Assemblée nationale :

(…) Dans un courrier envoyé aux questeurs de l’Assemblée et dont nous avons pu prendre connaissance, le secrétaire général de la questure signale les faits suivants :

Le 3 juillet dernier, le député (Meyer Habib, ndlr) s’est présenté à la réception du 126 rue de l’Université, une des entrées de l’Assemblée, accompagné de quatre personnes et d’un officier de sécurité armé. Ce dernier n’ayant pu présenter de badge d’accès, le chef de groupe a « légitimement expliqué qu’il ne pouvait entrer », peut-on lire dans ce courrier.

Le ton est monté et l’officier de sécurité a fini par tourner les talons pour entrer par le 128 rue de l’Université. Un peu plus tard, cet officier est revenu accompagné de Meyer Habib et a « délibérément provoqué les agents en ouvrant sa veste pour montrer (…) une arme portée à la ceinture. » Meyer Habib a verbalement pris à parti le chef de groupe en insinuant qu’il lui était personnellement hostile pour « des raisons évidentes », « l’insinuation d’antisémitisme ne laissant aucun doute au chef de groupe », précise encore le secrétaire général de la questure.

Contacté Meyer Habib, explique que les personnes qu’il accompagnait étaient des représentants de l’armée israélienne, invités par la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée dont il est vice-président.

(…) Selon nos informations, Florian Bachelier, le premier questeur s’interroge sur l’application de l’article 40 du Code de procédure pénal et donc la saisine du Parquet.

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Soupape
Soupape
il y a 6 années

macron ? … une seule solution
en marche … vers LA SORTIE !!!

C’est aussi … le prince qu’on sort

Il é-tait un … pe-tit macron-on
il é-tait un … pe-tit macron-on
qui n’avait ja-ja-ja-mais navigué !
qui n’avait ja-ja-ja-mais navigué ! ho hé ho, hé !

Refrain (de Georges Séguy, de l’antique CGT) :
Ho, hé ! ho, hé, mâ-telot !
mâtelot navigue sur-nos-SOUS …

Ah ! le bon temps de Georges Mââ’chais (avec Krasucky !) :

« La fin du communisme en hue-hère-esse-esse-?
« Tout ça, c’est la faute à Charles Fiterman !
« Il a des dézakôrs persaunnels avec la ligne du Pâârti …
« Voilââ ce que c’est … que de jouer persôau

Meuh non ! Meuh-sieur Elkabache,
pendant le STO, j’ai jamais été chez messerschmidt !
Tout çâââ, c’est des inventions de la presse bourre-joieze

En tout cââs, pour macron ? … une seule solution
en marche … vers LA SORTIE !!!

Cââr, même au Pâârti Comme-unissse Frânçé,
et même au parti de mythe errant …,
on nété des rigolos, c’est un fait entendu,
mais on noré jamais pris … un type comme ça !