Fidèle à lui-même, le quotidien Libération reste jour après jour un vecteur de la subversion. Ce vendredi 27 mai, il assure la promotion des casseurs anarcho-communistes.
Sur deux pleines pages, Libération donne la parole à un casseur et une casseuse, parité oblige. Le titre en caractères géants : « Il y a des moments où c’est intelligent d’aller tout péter« .
Dans ce cas-ci, ne cherchez pas de mise en garde, de commentaires sévères du journaliste, comme ce serait le cas s’il s’agissait d’une interview de nationalistes, avec un tiers de place pour des propos déformés et deux tiers pour des considérations journalistiques destinées à épouvanter le lecteur.
Non, dans ce cas-ci, les deux casseurs interrogés sont présentés avec respect comme des « militants » puis reçoivent carte blanche pour s’exprimer librement et vanter tranquillement le recours à la violence.
Ensuite, dans le même journal se trouve encore une page entière accordée à une tribune libre « d’intellectuels » (parmi lesquels le porte-parole du NPA, c’est dire le degré élevé d’érudition) intitulée « Casseurs » : renverser l’accusation et dont l’objet est de revendiquer l’abandon des charges contre les casseurs inculpés.
En bon français, ce qu’a publié Libération s’appelle de l’apologie de la violence d’extrême gauche. Mais cela ne surprendra pas grand monde.
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C’est amusant. Si le premier tour de la primaire de la Droite a sorti Sarkozy, j’ai toujours pensé que le second tour avait sorti Juppé. Car, malgré un pilonnage médiatique honteux pour ce monsieur, il fallait quand même être un journaliste aveugle pour trouver que l’espoir de la France résidait en Juppé.
Fillon devenait donc le moins mauvais des trois, un genre de candidat par défaut. Sa grande erreur de jugement fut, à mon humble avis, qu’il avait été élu pour son programme. Alors que non : il avait été élu par défaut à la suite d’un double tour qui avait dit « ni Sarko, si Juppé ».
Quand les gens découvrent son programme (et son impréparation), les choses se gâtent…
Aucun programme ne peut tenir la route sans sortie de l’Euro, de l’Europe (j)maçonnique.
Tous les candidats qui sont susceptibles de se présenter aujourd’hui sont FM,
Fillon catholique : Non c’est faux : un catholique est viscéralement contre l’avortement, sans aucune discussion possible.