Le pape François est devenu une star médiatique inquiétante ! Sa lune de miel avec la mastodonte presse de gauche n’est toujours pas consommée après plus de 5 ans à la tête du Vatican : sa popularité auprès des élites politiques internationalistes et des journaux cultes appartenant à l’establishment apatride est au beau fixe, signe effroyable sur les connections bergogliennes avec le monde des technocrates mondialistes.

Son extrémisme socialo-humanitariste idéologique et son regard post-soixantuitard avec lesquels il affronte les problèmes anthropologiques, économiques, sociétaux de notre époque post-moderne qui secouent dans leur fondement notre société occidentale en voie de décomposition ont fait de lui un ami des plus farouches détracteurs de l’Eglise catholique, de la civilisation chrétienne, de la loi naturelle, de l’Europe des nations.

Sa stratégie médiatique bien huilée est parfaitement en phase avec les exigences politiquement correctes du média mainstream qui l’attire comme un aimant : immanquablement il dit ce que les élites mondialistes veulent entendre.

L’actuel détenteur du trône pétrinien se met à la remorque de l’Esprit du Temps, comme jamais peut-être auparavant un pape conciliaire ne l’avait fait.

Que le pape François débite sur le sujet de l’immigration des messages qui pourraient être écrits par l’Open Society, fait froid dans le dos : ce démolisseur tant du dogme catholique que du monde européen, qui effraye le reste d’humanité attaché aux valeurs immortelles de patrie, de nation, de catholicité, de tradition, d’identité, s’attire les sympathies des extrémistes no borders et autres exterminateurs de la civilisation européenne millénaire. Il est l’équivalent religieux du mondialiste Georges Soros, bénéficiant de surcroît de sa position de pontife pour promouvoir “sa théologie mondialiste mortifère” !  

Les positions et les affirmations de Jorge Maria Bergoglio sur l’immigration confinent au fanatisme. Tout doit se plier, selon lui, aux exigences supérieures de l’immigré. L’accueil inconditionnel qu’il prône est absolu et absolutiste. En cela le pape François ne fait d’ailleurs que pousser jusqu’à sa plénitude la logique de la Constitution conciliaire Gaudium et spes qui énonce que le droit de la personne à émigrer est inscrit au nombre des droits humains fondamentaux.

Aux chrétiens qui s’insurgent contre cette invasion migratoire dévastatrice aux conséquences bouleversantes pour l’identité des nations européennes, le marxiste internationaliste utopiste argentin leur répond en les traitant d’égoïstes et d’individualistes qui méconnaissent l’amour du prochain. L’extrémisme immigrophile qui agite la pensée bergoglienne « banalise ce drame historique sans précédent que constitue cet exode de populations voulu par le pouvoir mondialiste en un simple problème d’égoïsme national des sempiternels Européens racistes et xénophobes » pour reprendre l’analyse d’un journaliste italien. Dans les mains du pape François cette belle vertu chrétienne qu’est la charité personnelle envers les pauvres, les humbles, les malheureux, qu’une myriade de saints a pratiqué jusqu’à l’héroïsme sans attendre ses admonestations humanitaristes, devient un levier sentimental pour faire politiquement avancer le projet mondialiste des élites cosmopolites.  

Ne faut-il pas lire dans cette optique mondialiste cette dernière déclaration ahurissante du pape qui proclame qu’il faut non seulement accueillir toute la misère du monde qui entre illégalement sur le sol européen mais qu’il faut en outre favoriser « le regroupement familial – y compris des grands-parents, des frères et sœurs et des petits-enfants – sans jamais le soumettre à des capacités économiques» ?

Ainsi les citoyens d’un pays dans lequel arrive clandestinement un immigré devront, comble du comble, subvenir à la famille de ce dernier au sens large au nom d’une intégrité familiale que le migrant lui-même a désintégrée ! On peut être étonné par ailleurs de voir ce pape qui avec son Exhortation Amoris Laetitia a mis à mal le sacrement de mariage, fondement de la pérennité de la famille chrétienne, s’inquiéter de l’unité familiale des clandestins en majeur partie mahométans. Décidément l’altruisme de l’hôte du Vatican est à géométrie variable !

Pour le pape-people sud-américain, tiers-mondialiste et internationaliste, il semblerait bien que l’immigration globale soit devenue un phénomène qu’il veut rendre irréversible, comme la réforme liturgique issue de Vatican II. Il est vrai que pour les tenants du Progrès, idéologie créatrice de chaos et de re-création diaboliquement humaine, la marche en avant progressiste vers des lendemains meilleurs n’a pas de fin… Le déracinement de millions de personnes loin de leurs terres, de leurs coutumes, de leurs traditions n’est-il pas d’ailleurs un avantage pour réaliser ce qui tient si à cœur au pape François, comme à sa façon à son alter-ego Soros : l’œcuménisme intégral et l’avènement en la croyance plurielle en un Dieu unique des religions ?

Francesca de Villasmundo

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