Il était temps ! La Haute Autorité de santé (HAS), dont l’avis est généralement suivi par le gouvernement, a ouvert ce lundi la voie à la fin de la vaccination obligatoire anti-Covid chez les professionnels de santé, réservant néanmoins son avis définitif pour la fin du mois de mars malgré le manque cruel de soignants en milieu hospitalier et la quantité de soignants évincés laissés dans le désarroi comme des moins que rien.
« Dans le contexte actuel, l’obligation vaccinale contre la Covid-19 pourrait être levée pour tous les professionnels visés », a écrit la Haute Autorité de santé, dans un projet d’avis rendu public sur son site.
« Cette vaccination devrait toutefois rester fortement recommandée, en particulier pour les professions pour lesquelles une recommandation de vaccination est actuellement en vigueur pour la grippe », ajoute-t-elle toutefois, fidèle au discours de l’industrie pharmaceutique.
Au vu de « l’importance sociétale » de l’enjeu, la Haute Autorité de santé, peu pressée, va entamer une consultation publique, avant de rendre un avis final fin mars. Les soignants suspendus auront dû supporter tous les affronts.
La France est l’un des derniers pays à maintenir cette discrimination à l’égard de ses soignants non-injectés.
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Les soignants et employés virés dans de nombreux pays ont introduit des actions en justice qu’ils ont gagnées. Avec réintégration, versement des salaires arriérés et souvent dommages et intérêts conséquents. La justice française fait son boulot?.
La « justice » française à la botte d’un garde des sots mis en examen ?
Il suffit d’y croire avec la méthode Coué.
Vrai, hélas
Très rarement
Si Bigpharma fait, à temps, quelques donations généreuses aux bonnes personnes, le statu quo sera maintenu pour deux raisons :
– il faut bien liquider les stocks d’OURS-OULAH VEND-DE-LA-LAYETTE achetés à son ami BOURRE-LA ;
– il faut emmerder les Français non-vaccinés jusqu’au bout (en 2027, probablement).
Très possible, malheureusement
Le commerce de la layette ? Mais non voyons, Pustula von der Pfizer n’en veut pas : ça ne rapporte que des clopinettes. Quant au sbire qui se fait appeler Bourre-là… C’est un vantard, en plus d’un goujat.
les pharmaciens non rebelles et encore en poste continuent à dire que le vaccin combiné grippe covid va arriver et résoudra les problèmes. Ils continuent à dire que le vaccin covid est un vaccin, que les vaccins avec arnm sont des vaccins (pil faudrait préciser ne sont pas des vaccins classiques et dire pourquoi) et que le vaccin contre le covid a évité les cas graves. Avec une telle unanimité, on n’est pas prêt de sortir des griffes de l’industrie pharmaceutique qui se doit de fournir des dividendes indispensables notamment aux paiements des retraites dans les pays sans enfants et sans industries sauf d’armement, pays dont la richesse repose de plus en plus et uniquement sur la spéculation au niveau mondial, pour l’intérêt d’un nombre toujours plus réduit d’individus.
Il est grand temps que ces soignants qui ont très bien fait de ne pas céder à cette obligation expérimentale, soient réintégrés et surtout reçoivent ce qui leur est dû depuis qu’ils ont été suspendus, ce serait la moindre des choses. Ils auront sauvé leur peau mais gare à ceux qui se sont laissés berner. Allez vérifier si nos dirigeants ont été vaccinés : que nenni, du cinéma devant les caméras, une honte !