« La situation, mes chers amis, est que l’on veut nous prendre notre pays. Pas d’un trait de plume, comme il y a cent ans à Trianon. Ce que l’on veut maintenant, c’est qu’en l’espace de quelques décennies nous le remettions à d’autres, à des étrangers venus d’autres parties du monde, qui ne parlent pas notre langue, qui ne respectent ni notre culture, ni nos lois, ni notre mode de vie. […]

 

« La Hongrie est notre patrie, elle est notre vie, nous n’en avons pas d’autre, et c’est pourquoi nous lutterons jusqu’au bout pour elle et ne nous rendrons jamais. Nous savons qu’au bout du compte ce sont eux qui se trouveront face à nos candidats dans chaque circonscription. Leur mission est d’arriver au pouvoir pour mettre leur grand plan à exécution. Le grand plan consiste à briser la Hongrie qui se trouve en travers du chemin des migrants et à installer en quelques années d’abord quelques milliers, puis des dizaines et des dizaines de milliers de migrants dans le pays. Si nous laissons faire, sur les deux décennies à venir, des dizaines de millions de migrants prendront la route de l’Europe à partir de l’Afrique et du Proche-Orient.

« Bruxelles ne protège pas l’Europe, car Bruxelles souhaite soutenir et organiser la migration au lieu de l’arrêter. Bruxelles veut diluer, changer la population de l’Europe, en sacrifiant notre culture, notre mode de vie et tout ce qui nous distingue en tant qu’Européens des autres peuples du monde.

« Les nations et les peuples de l’Europe occidentale perdent petit à petit, pas à pas, leurs quartiers et leurs villes. Il est de fait que ceux qui n’arrêtent pas la migration à leurs frontières sont perdus. Ils se feront absorber lentement, mais sûrement. […] Les jeunes d’Europe occidentale connaîtront encore le jour où ils se retrouveront en minorité dans leur propre pays et perdront le seul endroit du monde où ils pouvaient se sentir chez eux.

« Nous devons lutter contre un réseau international structuré en empire. Contre des médias entretenus par des groupes étrangers et des oligarques de l’intérieur, contre des activistes professionnels stipendiés, contre des fauteurs de troubles organisateurs de manifestations, contre le réseau des ONG financées par les spéculateurs internationaux, englobé et incarné dans la personne de George Soros.

« Nous avons affaire à un adversaire qui est différent de nous. Il n’agit pas ouvertement, mais caché, il n’est pas droit, mais tortueux, il n’est pas honnête, mais sournois, il n’est pas national, mais international, il ne croit pas dans le travail, mais spécule avec l’argent, il n’a pas de patrie, parce qu’il croit que le monde entier est à lui. »

Viktor Orbán

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