El-Halia est attaqué entre 11 h 30 et midi le 25 août 1955.
C’est un petit village proche de Philippeville, sur le flanc du djebel El-Halia, à trois kilomètres environ de la mer. Là vivent 130 Européens et 2000 musulmans. Les hommes travaillent à la mine de pyrite, les musulmans sont payés au même taux que les Européens, ils jouissent des mêmes avantages sociaux. Ils poussent la bonne intelligence jusqu’à assurer leurs camarades Degand, Palou, Gonzalès et Hundsbilcher qu’ils n’ont rien à craindre, que si des rebelles attaquaient El-Halia, « on se défendrait » au coude à coude.
A 11 h 30, le village est attaqué à ses deux extrémités par quatre bandes d’émeutiers, parfaitement encadrés, et qui opèrent avec un synchronisme remarquable. Ce sont, en majorité, des ouvriers ou d’anciens ouvriers de la mine et, la veille encore, certains sympathisaient avec leurs camarades européens… Devant cette foule hurlante, qui brandit des armes de fortune, selon le témoignage de certains rescapés, les Français ont le sentiment qu’ils ne pourront échapper au carnage. Ceux qui les attaquent connaissent chaque maison, chaque famille, depuis des années et, sous chaque toit, le nombre d’habitants. A cette heure-là, ils le savent, les femmes sont chez elles à préparer le repas, les enfants dans leur chambre, car, dehors, c’est la fournaise et les hommes vont rentrer de leur travail. Les Européens qui traînent dans le village sont massacrés au passage. Un premier camion rentrant de la carrière tombe dans une embuscade et son chauffeur est égorgé. Dans un second camion, qui apporte le courrier, trois ouvriers sont arrachés à leur siège et subissent le même sort. Les Français dont les maisons se trouvent aux deux extrémités du village, surpris par les émeutiers, sont pratiquement tous exterminés. Au centre d’EI- Halia, une dizaine d’Européens se retranchent, avec des armes, dans une seule maison et résistent à la horde. En tout, six familles sur cinquante survivront au massacre.
Dans le village, quand la foule déferlera, excitée par les « you you » hystériques des femmes et les cris des meneurs appelant à la djihad, la guerre sainte, certains ouvriers musulmans qui ne participaient pas au carnage regarderont d’abord sans mot dire et sans faire un geste. Puis les cris, l’odeur du sang, de la poudre, les plaintes, les appels des insurgés finiront par les pousser au crime à leur tour. Alors, la tuerie se généralise. On fait sauter les portes avec des pains de cheddite volés à la mine. Les rebelles pénètrent dans chaque maison, cherchent leur « gibier » parmi leurs anciens camarades de travail, dévalisent et saccagent, traînent les Français au milieu de la rue et les massacrent dans une ambiance d’épouvantable et sanglante kermesse. Des familles entières sont exterminées: les Atzei, les Brandy, les Hundsbilcher, les Rodriguez. Outre les 30 morts il y aura 13 laissés pour morts et deux hommes, Armand Puscédu et Claude Serra, un adolescent de dix-neuf ans qu’on ne retrouvera jamais. Quand les premiers secours arrivent, El-Halia est une immense flaque de sang.
Le groupe de fellagha est commandé par Zighout Youcef. 123 des personnes qui l’habitent, de toutes religions, de tous sexes, de tout âge et de toutes opinions politiques sont massacrés de la façon la plus ignoble que l’on puisse imaginer. (71 européens, 52 musulmans, 120 disparus). Outre les égorgements des hommes (après ablation du sexe et vision du viol de leurs femmes et de leurs filles) et l’éventration des femmes, méthode habituelle, on note pour la première fois des personnes dépecées, vraisemblablement tant qu’elles étaient vivantes.
Ce massacre résulte des nouvelles consignes du FLN qui a échoué dans sa tentative de mobiliser massivement les français musulmans d’algérie contre la france, que ce soit par la propagande ou par la terreur. Il a également échoué dans sa tentative de créer une force militaire suffisante pour gagner des combats contre l’armée française, par manque de soutien extérieur susceptible de lui procurer des armes, aussi parce que les paras et autres troupes de choc, ramenées d’Indochine, implantent de nouvelles formes de guerre, avec des unités mobiles, et le début des opérations héliportées. Enfin de plus en plus nombreux sont les musulmans qui portent les armes françaises, d’abord protection des sections administratives spéciales nouvellement implantées, gendarmes des groupes mobiles de sécurité, puis progressivement et de plus en plus, auto défense des villages et troupes combattantes, les harkis.
Le FLN a alors décidé de faire régner la terreur, il renforce ses politiques d’attentat aveugles dans les villes, son extermination systématique des européens, ses actions de sabotage de récolte, de routes, de réseau ferré, de lignes téléphoniques qui le conduiront à la victoire. Il vise aussi les nationalistes modérés type Ferhat Abbas, dont le neveu, qui gérait sa pharmacie est égorgé pour l’exemple. Abbas comprendra parfaitement qu’il n’est plus possible de tenter une troisième force et rejoindra le Caire.
El Halia aura une autre conséquence, le gouverneur général Soustelle, qui était venu en algérie avec la volonté de trouver une solution politique, voyant le massacre, déçu de ses contacts, décide « qu’on ne discute pas avec des gens comme ça ». Lors de l’enterrement des victimes, les personnes présentes, menées par le maire, piétineront les gerbes et couronnes offertes par les autorités préfectorales et militaires et feront une conduite de Grenoble au sous préfet.
Soustelle écrira : « Les cadavres jonchaient encore les rues. Des terroristes arrêtés, hébétés, demeuraient accroupis sous la garde des soldats….Alignés sur les lits, dans des appartements dévastés, les morts, égorgés et mutilés (dont une fillette de quatre jours) offraient le spectacle de leurs plaies affreuses. Le sang avait giclé partout, maculant ces humbles intérieurs, les photos pendues aux murs, les meubles provinciaux, toutes les pauvres richesses de ces colons sans fortune. A l’hôpital de Constantine des femmes, des garçonnets, des fillettes de quelques années gémissaient dans leur fièvre et leur cauchemars, des doigts sectionnés, la gorge à moitié tranchée. Et la gaieté claire du soleil d’août planant avec indifférence sur toutes ces horreurs les rendait encore plus cruelles «
Le 20 août 1955, « une date terrible, une date inoubliable » dira Yves Courrière dans son « Histoire de la guerre d’Algérie » (ed. Taillandier). Ce jour-là, Zighout Youssef, le chef de la willaya 2, lance la population civile de certains douars du Nord-Constantinois contre les Européens. A El-Halia, petit centre minier près de Philippeville, cent trente-deux personnes sont assassinées dans des conditions barbares. Marie-Jeanne Pusceddu témoigne: Le 20 août 1955 j’étais à El-Halia
Je m’appelle Marie-Jeanne Pusceddu, je suis pied-noir, née à Philippeville en 1938 de parents français, d’origine italienne. Mes parents étaient des ouvriers; toute ma famille, frères, oncles, cousins, travaillait à la mine d’El-Halia, près de Philippeville. Ce petit village d’El-Halia n’était qu’un village de mineurs, d’artisans qui travaillaient dur dans la mine de fer. Il y avait également des ouvriers arabes avec qui nous partagions, au moment de nos fêtes respectives, nos pâtisseries et notre amitié. Ils avaient leurs coutumes, différentes des nôtres, nous nous respections. Nous étions heureux. Les « événements d’Algérie » ont commencé en 1954. Mais pour nous, la vie était la même, nous ne nous méfions pas de nos amis arabes.
Je me suis mariée le 13 août 1955, nous avons fait une belle fête et tous nos amis étaient là, notamment C., le chauffeur de taxi arabe que nous connaissions bien. Avec mon mari, nous sommes partis en voyage de noces. Le 19 août 1955, avec mon mari André Brandy (ingénieur des mines employé au Bureau de la recherche minière d’Algérie ), nous avons pris le taxi de C. pour rentrer à El-Halia. Pendant le trajet, C. nous dit: « Demain, il y aura une grande fête avec beaucoup de viande ». Je lui répondis: « Quelle fête ? Il n’y a pas de fête ». Je pensais qu’il plaisantait. Le lendemain, 20 août, tous les hommes étaient au travail à la mine sauf mon mari. Il était juste midi, nous étions à table, quand soudain, des cris stridents, les youyous des mauresques et des coups de feu nous ont surpris. Au même moment, ma belle-sœur Rose, sa petite dernière Bernadette (trois mois) dans les bras arrive, affolée, suivie de ses enfants, Geneviève 8 ans, Jean-Paul 5 ans, Nicole 14 ans, Anne-Marie 4 ans. Son aîné Roger, âgé de 17 ans, était à la mine avec son père. Avec ma mère, mon frère Roland de 8 ans, Suzanne ma soeur de 10 ans, Olga mon autre soeur de 14 ans et mon mari, nous avons compris qu’il se passait quelque chose de grave. Les cris étaient épouvantables. Ils criaient: « Nous voulons les hommes ». Je dis à mon mari : « Vite, va te cacher dans la buanderie! ».
Nous nous sommes enfermés dans la maison, mais les fellaghas ont fait irruption en cassant la porte à coup de hache. A notre grande stupeur, c’était C., le chauffeur de taxi, « l’ami » qui avait assisté à mon mariage. Je le revois encore comme si c’était hier. Il nous a poursuivis de la chambre à la salle à manger, puis dans la cuisine; nous étions pris au piège. C., avec son fusil de chasse, nous menaçait. Il a immédiatement tiré sur ma pauvre mère, en pleine poitrine, elle essayait de protéger mon petit frère Roland. Elle est morte sur le coup avec Roland dans ses bras, lui aussi gravement atteint. Ma belle-sœur Rose a été tuée dans le dos. Elle gardait son bébé contre le mur, ma jeune soeur Olga s’est jetée, dans une crise d’hystérie, sur le fusil, il a tiré à bout portant, la blessant salement. Il nous narguait avec son fusil. Bravement et affolée, je lui dis: « Vas-y! Tire! Il ne reste plus que moi ». Il a tiré, j’ai reçu la balle à hauteur de la hanche, je n’ai même pas réalisé et il est parti. J’ai pris les enfants, les ai cachés sous le lit avec moi, mais je souffrais trop et je voulais savoir si mon mari était toujours vivant. Je suis allée dans la buanderie et me suis cachée avec lui derrière la volière. Les fellaghas, les fils de C., sont revenus. lls se dirigeaient vers nous en entendant un bruit, mais l’un d’eux a dit en arabe: « C’est rien, c’est les oiseaux ». Et nous sommes restés, apeurés, désemparés, sans bouger jusqu’à cinq heures de l’après-midi.
Les cris, les youyous stridents, la fumée, le feu, quel cauchemar ! …Un avion de tourisme est passé au-dessus du Village et a donné l’alerte. L’armée est arrivée à dix-sept heures. Et là, nous sommes rentrés dans la maison pour constater l’horreur. Mon petit frère Roland respirait encore; il est reste cinq jours dans le coma et nous l’avons sauvé. Malheureusement, ma soeur Olga a été violée et assassinée, ma soeur Suzanne, blessée à la tête, elle en porte encore la marque. Puis l’armée nous a regroupés. Ma famille Azeï, tous massacrés au couteau, la soeur de ma mère, son mari, ses deux filles dont l’une était paralysée, l’une des filles qui était en vacances avec son bébé a été, elle aussi, assassinée à coups de couteau (c’est la fiancée de son frère, qui s’était cachée, qui a tout vu et nous l’a raconté). Le bébé avait été éclaté contre le mur. Puis, mon cousin a été tué à coups de fourchette au restaurant de la mine, le frère de ma mère, Pierrot Scarfoto a été, lui aussi massacré, en voulant sauver ses enfants, à coups de couteau, les parties enfoncées dans la bouche, ainsi que mon neveu Roger, âgé de 17 ans. Mon père, sourd de naissance, blessé à coup de couteau, s’était réfugié dans une galerie abandonnée. Il n’a pas entendu l’armée, on ne l’a retrouvé que quinze jours plus tard, mort à la suite de ses blessures. Il a dû souffrir le martyre. Mon jeune frère Julien a été également massacré.
Treize membres de ma famille ont ainsi été martyrisés, massacrés par le F.L.N.
Je suis restée à l’hôpital près de trois mois, j’avais fait une hémorragie interne avec infection, car les balles fabriquées étaient bourrées de poils, de bris de lames de rasoir. Nous avions échappé à la mort, mais pas à la souffrance. Mon mari fut muté à Bougie, mais le Chantier ayant subi une attaque, il a dû fermer; puis à Ampère, près de Sétif, et finalement au Sahara. Mais les femmes n’étaient pas admises. J’ai été recueillie avec mes deux frères à Lacaune-les-Bains, chez les soeurs de Saint-Vmcent-de-Paul, j’y étais déjà venue plus jeune.
Le fellagha meurtrier de ma famille a été arrêté, j’ai dû venir témoigner pendant trois ans en Algérie, car j’étais le seul témoin. Mon témoignage fut mis en doute, du moins la façon dont les miens ont été massacrés. Ils ont déterré ma mère pour voir si je disais la vérité, je n’en pouvais plus. On a retiré plusieurs balles et la seule chose de positive dans tout ce cauchemar, c’est le collier qu’elle portait et que l’on m’a remis ; collier dont je ne me séparerai jamais.
Marie-Jeanne Pusceddu
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On trouvera la liste des victimes ici sur le site source
Certains des assassins sont certainement encore en vie, eux et leurs familles vivent peut-être en France. Certains de leurs complices français, porteurs de valise, vivent, eux aussi certainement encore. Peut-être ont-ils des responsabilités au gouvernement? Ils ont, en tout cas, des amitiés et des soutiens traditionnellement à gauche. Comment s’étonner que ce pouvoir de gauche ait encouragé le djihadisme actuel? Avec leur politique immigrationniste ils mettent les Français dans la même situation que les pieds-noirs en Algérie. Au-delà d’une tête au bout d’une pique dans le village de Saint-Sébastien Fallavier, dans l’Isère, les massacres de l’ampleur de celui d’El Halia, de ceux qui ont lieu au Moyen-Orient, peuvent se produire en France, sur le sol de la Patrie. Ce serait même assez surprenant que cela n’arrive pas.
A cet effet, lire: Le discours historique de l’islamo-collabo Bernard Cazeneuve
Et Laurent Fabius…
« En 2012, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius avait d’ailleurs déclaré au journal Le Monde que les jihadistes du Jahbat al-Nosra – c’est-à-dire d’al-Qaïda en Syrie – faisaient du « bon boulot » sur le terrain ». (Source)
Manuel Valls n’est pas en reste, ni François Hollande qui a fait livrer des armes aux « opposants modérés à Bachar el Assad », dont on sait qu’ils ont été formés par la coalition et qu’ils alimentent les rangs de l’Etat Islamique.
Les naïfs qui portent foi aux discours lénifiants de la classe politique devraient se demander pourquoi 98% des musulmans ont voté pour François Hollande en 2012. Les porteurs de valises (les traîtres) ça ne disparaît pas, ça se renouvelle.
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Votre parti pris me dégoûte. Vous, cher rédacteur, ‘journaliste’, ne devriez-vous pas vous CONTENTER de donner l’information, plutôt que d’accabler cette pauvre femme ? « Crime », « assassinat », vous êtes au courant qu’un embryon / foetus ne ressent rien ? Qu’il n’a pas de réel souvenir ? Dans ce cas là, quelle est la souffrance engendrée par cet « acte » ? Il n’y en a pas. Quid des femmes violées qui tombent enceintes ? Il faut également qu’elles gardent leur enfant ? Vous êtes ridicule, vous êtes probablement un quinquagénaire ayant eu une éducation religieuse, fermée d’esprit au possible, qui se pense intelligent en donnant son avis (ridicule et dénué de sens moral) sur la question. Sachez, cher Monsieur, que le journalisme se doit d’être objectif et impartial.
J’en ai ras le cul de cette société de merde qui pense que la femme n’est vouée qu’à faire des gosses. Retournez soumettre votre femme et laissez là faire la cuisine et le ménage, si ça vous chante.
Je ne reviendrai pas lire vos torchons.
A bon entendeur.
Voilà une réaction typique d’un individu :
> qui n’accepte pas qu’on pense différemment
> qui mélange tous les sujets
> qui brandit les éternels arguments, interessant du point de vue de la femme MAIS qui occultent volontairement le point de vue de l’enfant.
je vous cite : « »vous êtes au courant qu’un embryon / foetus ne ressent rien ? Qu’il n’a pas de réel souvenir ? Dans ce cas là, quelle est la souffrance engendrée par cet « acte » ? » »
=> Il semble que vous soyez resté bloqué dans les années 80 cher monsieur. Aujourd’hui, il est scientifiquement prouvé qu’un embryon est une vie à part entière et qu’il ressent bel et bien des choses. Soutenir le contraire c’est de l’idéologie. Restons factuel svp.
a bon entendeur, va voir Germain Gaiffe.
« un embryon / foetus ne ressent rien »
D’où sortez-vous une ânerie pareille?
Il y a cinquante ans, la plupart des médecins soutenaient qu’un bébé ne sent rien.
Ce n’est pas parce que vous n’avez aucun souvenir de votre vie en tant qu’embryon et fœtus qu’il faut vous croire autorisé à relayer de telles contre-vérités.
« assassinat: Homicide volontaire commis avec préméditation » (http://www.cnrtl.fr/definition/assassinat )
Dans un avortement, il y a bien homicide (si « la chose » n’avait pas été avortée, elle ne se serait transformée si en lapin, ni en épi de maïs, ni en machine à écrire, mais bien en être humain)
Dans un avortement, l’action est bien volontaire: la femme demande à mettre fin à sa grossesse, ça ne se produit pas fortuitement.
Dans un avortement, il y a bien préméditation: la femme prend rendez-vous dans un lieu médicalisé ad hoc pour subir l’avortement.
« Quid des femmes violées qui tombent enceintes ? »
Vous croyez vraiment que de faire disparaître la conséquence du viol fait ipso facto disparaître le viol dans la mémoire et le psychisme de la femme violée? La société devrait rechercher activement le violeur et le condamner fortement (en particulier dommages et intérêts au bénéfice de la femme violée).
« Je ne reviendrai pas lire vos torchons. »
Bon vent!
Moi aussi j’en ai particulièrement marre de tous ceux et celles qui professent que l’avortement est un droit, que le foetus ne ressent rien, et patati et patata pour tout ce qui dépénalise cet acte odieux et inhumain. La femme dont il est question ignorait-elle tous les moyens anticonceptionnels mis à la disposition de toutes les femmes, celle-ci est-elle tellement feignante ou idiote pour s’en servir ; par sa connerie, la société entière, c’est-à-dire nous va financer les conséquences de son acte. ET DE CA AUSSI J’EN AI SUPER MARRE DE CONTRIBUER, A MON CORPS DEFENDANT, AU SOUTIEN D’INCONSCIENTS, D’INCULTES QUI FONT N’IMPORTE QUOI MAIS QUI VOTENT DANS LE BON SENS.
Bizarre cette histoire, même sans savoir comment à débuté l’infection, on se demande comment elle a pu passer d’un membre à un autre sans passer par le reste du corps…
Dans les infections à bactéries type streptocoque, qui provoquent des septicémies, les nécroses touchent premièrement les extrémités, car le corps, pour lutter contre la généralisation de l’infection, priorise la vascularisation des organes vitaux, au détriment des membres fonctionnels. C’est ce manque de sang qui provoque les nécroses.
Si si! Elle est passé aussi par la tête à Mathieu! …qui a peut-être encore des cheveux mais plus de cerveau!
« Tu ne tueras point ».
Celui qui tue un enfant subira le châtiment de l’éternel. Ainsi est la loi de Dieu, la mal sera puni par le mal, et le bien sera récompensé par le bien.
Cet article est répugnan et puant… Par la façon de juger cette femme et surtout par l’idéologie qu’il en ressort. J’imagine que cet « auteur » est aussi un anti-mariage pour tous… Une honte de tenir un tel discours en 2014… Pauvre France!
Minable, votre article. Les vrais responsables de ce drame sont les médecins qui n’ont pas traité à temps cette septicémie, point-barre. Pour le reste, votre morale religieuse, vous pouvez vous la coller où je pense. Allez donc vivre avec les fachos du Michigan et de l’Alabama que vous semblez approuver, ça débarrassera la France des abrutis qui certes, font beaucoup de bruit, mais ne représentent qu’eux-mêms.
Vous aussi, vous en êtes!?
Qui sont les « fachos » de l’Alabama et du Michigan???
Connait pas. Pouvez vous préciser?
Parce que la minorité qui » fait beaucoup de bruit et qui ne représente qu’eux-mêms » pour moi, c’est les acteurs de la « gay pride » en France.
Et, oui, on aimerait bien « s’en débarrasser »
Et, pour votre info pour lobotomisé qui ne pense qu’avec le cerveau du bas, les vrais responsables ne sont pas les médecins! Peut-être des fabricants de capote « made in china »
Cette femme devrait être reconnaissante envers Dieu de l’avoir laissée en vie ! Il aurait pu en tte justice la faire mourir de septicemie. À une époque plus civilisée que la nôtre, la peine de mort était d’ailleurs le châtiment logique de l’infanticide.
Vous n’avez pas à la juger pour son avortement. Chaque femme est maitresse de son propre corps. C’est facile pour un homme de faire ce genre de commentaire, vous ne serez jamais confronté au problème. Je ne suis ni pro ni contre, je tiens juste à rappeler que l’avortement est une liberté pour laquelle les femmes ont du se battre. Aujourd’hui en 2014, je n’arrive pas à comprendre que des hommes tels que vous puissent se permettre de faire ce genre de commentaires cyniques.
Si elle a choisi d’avorter, elle avait ses raisons qui ne sont pas les vôtres. Si je paraphrase vos propos ça donne en gros « c’est bien fait pour elle, elle n’avait qu’à pas avorter ». Vous la traitez même de responsable ! Responsable car les soignants n’ont pas été capables de déceler à temps la septicémie ?! Comment osez-vous ? Si cela était arrivé à votre épouse, votre fille, votre sœur, votre mère, auriez-vous dit la même chose ?
Alors dans la même logique, c’est comme le cas de cette gamine Irlandaise violée, forcée de mettre au monde l’enfant de son violeur « c’est bien fait pour elle, elle n’avait qu’à pas se faire violer » ?
Pardonnez-moi mais vous êtes pathétique.
« Chaque femme est maitresse de son propre corps. »
Entièrement d’accord.
De SON corps: elle peut donner son sang, se faire enlever un rein, prélever un morceau de poumon, de foie.
En l’occurrence, « le contenu du sac utérin » n’a pas le même patrimoine génétique qu’elle, donc n’EST PAS une partie de son corps.
Un avortement n’est rien d’autre qu’un assassinat légal.
Et dans un viol, recourir à l’avortement est une solution de facilité pour le violeur (toujours un homme qui bénéficie de cette facilité…)
quand l’avortement était illégal, des cas comme celui-ci étaient plus que quotidiens….. remercions les gens qui ont autorisé cet acte, qui comme tous les actes chirurgicaux comportent des risques….. la loi n’a pas créé l’avortement, il l’a rendu moins dangereux….. et pour finir, dieu n’existe toujours pas, sauf si vous avez des preuves, que je vous demande de bien vouloir me faire connaitre….. merci d’vance
Je pense qu’il faut que les gens deviennent un peu responsables et arrêtent de ne penser qu’au plaisir. Avoir des rapports sexuels n’est pas un acte anodin car il peut aboutir à donner la vie. Donc quand deux personnes couchent ensemble qu’ils aient cela en tête ! Pour moi l’avortement est un crime mais il est symptomatique de cette pensée boboisée qui veut que l’humain se croit tout permis et n’ait de respect pour rien. Pas étonnant que le monde aille aussi mal.
Choqué…et vous êtes « journaliste »…?Puis en tant qu’homme vous etes bien placé pour juger cet acte…quelle déontologie, vous faites peur…
Lire votre article est une épreuve. Vous êtes dans la caricature, l’abjection, le mépris, la désinformation. Je vous soupçonne même d’avoir fait un copié collé de la prose de néo conservateurs américains ( Priscilla est un prénom courant aux États Unis, vous avez oublier de le changer) je vous imagine dans les plis d’une foi qui ignore ce que mot amour, compassion, une petite visite à votre site et à ses écrits (Google est notre ami) est édifiante.
Je vois, à travers ces commentaires qu’il y a des gaucho-bobo-homo pro IVG, pro mariage homo qui ont un langage châtié et plein de respect pour ceux qui ne pensent pas comme eux. Enfin, on ne peut que constater que la septicémie ne s’attrape pas seulement dans les hôpitaux par accident et atteint le cerveau aussi. Qu’est-ce qu’il en sait l’autre que le foetus ne ressent rien!? Il est scientifique le bobo-homo là!? Par contre, la mère, elle, c’est sûr, ne ressent plus rien, tout va bien pour elle maintenant… jusqu’à la fin de ses jours! Mais ça le bobo-homo « mathieu » en a « ras le cul »! cela ne m’étonne guère pour un « homo »: en avoir « ras le cul »…
L’article et bien des commentaire, même si apparemment oposés, partagent hélas le même fanatisme, inhumain (mettez-vous à la place de cette maman, son mari, ses enfants), et stérile : il empêche de rappeler aux jeunes mères certaines réalités et possibilités (PMI), et de discuter des éventuels changements possibles. Pour ma part je pense que les religions remplissent leur rôle quand, dans leur majorité, elles interdisent l’avortement ; le pouvoir et la loi civils rempliraient le leur IMO en portant secours (PMI, hôpitaux, etc) et en restant à l’écart pour le reste : ni interdiction, punition, ni non plus subvention ou autre aide.
2014-1026.1535
antidémocratiques les franzousqui …… ce qui est inadmissible c’est que l’on meure encore en l’an 2000 par défaut d’antibiotiques !!!!!!!!!!!!!! on se croirait revenu au temps du roman Tropique du Caducée «
Purée c’est vrai que votre site est très consulté !
L’histoire ne le dit pas mais madame a certainement reçu un message.
Avant Simone Veil, l’avortement était un infanticide et était puni comme tel. Ce n’est pas bien vieux, aux alentours de 1975 seulement. Il faut croire qu’avant 1975 il n’y avait que des sauvages et des barbares en France. Pourtant si on regarde de plus prés, la sauvagerie et la barbarie revient à grands pas et l’autorisation, puis le remboursement de l’avortement, comme si c’était une maladie, en ont été l’amorce. Quand on n’a plus de compassion pour les tout-petits, que reste-t-il ? Quand un pays apprend à ses citoyennes qu’elle peuvent se débarrasser de leur enfant comme d’un déchet, ce pays est tombé dans la barbarie.
Cette pauvre mère est certainement davantage victime que coupable, mais le plus grand coupable c’est l’Etat.
Après Simone Veil, l’avortement reste un infanticide, mais il est légal.
À lire tous ces commentaires, M. Celltillos, vous voyez bien qu’ion touche à une corde hypersensible; pourquoi ?
Parce que la Vie ne vient pas des hommes, elle vient de Dieu pour notre plus grand bonheur quand on le reconnait et qu’on agit en conséquence. Les adversaires de la vie ne comprennent pas cela. Le Seigneur nous a fait ses partenaires pour la continuation de la vie. Si nous le comprenions bien, nous ne pourrions nous livrer à ces tueries dignes des sacrifices humains d’il y 3-4 mille ans. Et nous prétendons être des sociétés évoluées et civilisée. Oui,évoluées vers la barbarie. Quel honneur..
Vive la vie humaine et divine.Cécilien
Entre ça et cette femme morte en accouchant, il devient plus urgent que jamais de privatiser totalement le système de santé. D’autant que retirer le système de santé des sales pattes de l’état éviterait qu’on y fasse rentrer des âneries tels que des abcd en tout genre… La privatisation totale du système scolaire est d’ailleurs tout aussi urgente au vu de l’infâmie actuelle.
C’est la première fois de ma vie que je lis un article pareil. C’est juste révoltant et choquant !
Non pas parce que vous êtes manifestement anti-avortement (je suis personnellement pour) mais parce que vous laissez transparaître votre opinion personnelle et votre mépris pour cette femme qui n’en a certainement pas besoin. Ce n’est pas ça le journalisme monsieur.
Un vrai journaliste se doit de relater des faits de manière objective ! Ce que rappelle la ligne éditorial de votre journal d’ailleurs :
« Médias-Presse-Info est un média original qui vise la vulgarisation de l’information d’une manière délibérément OBJECTIVE, libre et sans concession. »
Et je vois d’ici des personnes partageant votre opinion vous défendre en disant qu’être « sans concession » peut choquer. A ceux-là je dirais qu’il est possible d’être sans concession ET objectif.
Vous devriez changer de métier.
Comme quoi tout arrive madame !
Que mon article ne vous plaise pas c’est une chose, mais il faut en rester à l’objectivité des faits :
– l’avortement est l’élimination physique d’un bébé, d’un petit être humain. Comme disait ma prof de droit pro avortement, c’est un crime légalisé.
– l’avortement entraine des multitudes de conséquences dramatiques, qu’elles soient phsychiques ou physiques.
– l’avortement coute au contribuable environ 99 millions d’euros par an (220.000 avortements / an * 450 €) : voilà de quoi boucher bien des trous !
Ce sont des faits cela madame, que l’idéologie de mort prônée dans nos sociétés cache bien méticuleusement.