Sanctoral
Saint Antoine de Padoue, Confesseur et Docteur, 1er Ordre capucin
Il s’appelait d’abord Fernando ; il prit comme nom de religion : Antoine, et fut surnommé de Padoue, du nom de la ville où il mourut et fut enseveli. Il est né à Lisbonne, en 1195, Célestin III étant pape, Henri VI empereur et Philippe-Auguste roi de France, de la famille glorieuse de Godefroy de Bouillon premier roi de Jérusalem, dont une branche s’était implantée en Portugal. Jeune homme, il embrassa la vie des Chanoines réguliers. Comme on transportait à Coïmbre les corps de cinq bienheureux Martyrs, Frères mineurs qui avaient récemment souffert pour la foi au Maroc, leur vue embrasa Antoine du désir d’être aussi martyrisé, et il passa dans l’Ordre des Franciscains. Sous l’impulsion de ce désir, il se dirigea vers le pays des Sarrasins ; mais une maladie le réduisit à l’impuissance et le força de revenir. Or, bien que le navire qui le portait fît voile pour l’Espagne, les vents le poussèrent en Sicile. De la Sicile, il se rendit au chapitre général qui se tenait à Assise. Puis, retiré dans l’ermitage du mont Saint-Paul en Toscane, il y vaqua longtemps à la divine contemplation, aux jeûnes et aux veilles. Élevé plus tard aux saints Ordres, il reçut la mission de prêcher l’Évangile. La sagesse et la facilité de sa parole lui obtinrent tant de succès et excitèrent une telle admiration que, prêchant un jour devant le souverain Pontife, il fut appelé par lui l’arche du Testament. Il poursuivit les hérésies avec une extrême rigueur, et les coups qu’il leur porta lui valurent le nom de perpétuel marteau des hérétiques. Le premier de son ordre, à cause de l’éclat de sa science, il expliqua les saintes lettres à Bologne et ailleurs, et dirigea les études de ses frères. Après avoir parcouru nombre de provinces, il vint, un an avant sa mort, à Padoue, où il laissa d’insignes monuments de sa sainteté. Enfin, ayant accompli de grands travaux pour la gloire de Dieu, chargé de mérites, illustré par ses miracles, il s’endormit dans le Seigneur aux ides de juin, l’an du salut mil deux cent trente et un (13 juin 1231). Le souverain Pontife Grégoire IX l’a inscrit au nombre des saints Confesseurs moins d’un an après sa mort. Il a acquis une immense popularité grâce à ses nombreux miracles et au zèle des Frères Mineurs, qui, dès le XIVe siècle, ont répandu son culte de toutes parts. Il fut déclaré Docteur de l’Église Universelle par le Pape Pie XII. Saint Antoine est célèbre par l’apparition de l’Enfant Jésus, qui vint un jour Se mettre entre ses bras. On l’invoque avec succès pour retrouver les objets perdus.
Martyrologe
A Padoue, saint Antoine, Portugais, prêtre de l’Ordre des Frères Mineurs, confesseur et Docteur de l’église. Célèbre par sa vie, ses miracles et sa prédication, il fut inscrit par le pape Grégoire IX au catalogue des saints, moins d’un an après sa mort.
A Rome, sur la voie Ardéatine, l’anniversaire de sainte Félicula, vierge et martyre. Comme elle ne voulait ni épouser Flaccus, ni sacrifier aux idoles, elle fut remise aux mains du juge, qui, voyant sa constance à confesser le Christ, la tint longtemps dans une ténébreuse prison, la privant de toute nourriture et la fit ensuite tourmenter sur le chevalet, jusqu’à ce qu’elle eût rendu l’esprit. Après sa mort, on jeta son corps dans un égout; un saint prêtre, nommé Nicodème, l’en retira et l’ensevelit sur la même voie Ardéatine.
Dans les Abruzzes, saint Pérégrin, évêque et martyr, que les Lombards précipitèrent dans la rivière de l’Aterno, en haine de la foi catholique.
A Cordoue, en Espagne, saint Fandile prêtre et moine: durant la persécution des Arabes, il fut décapité et souffrit le martyre pour la foi du Christ.
En Afrique, les saints martyrs Fortunat et Lucien.
A Byblos, en Phénicie, sainte Aquiline, vierge et martyre. Agée de douze ans seulement, pour avoir confessé la foi, elle fut, sous l’empereur Dioclétien et le juge Volusien, meurtrie de soufflets et de verges, percée avec des alènes rougies au feu; enfin frappée par le glaive, elle consacra sa virginité par le martyre.
En Chypre, saint Tryphille évêque.
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Les affiches de la « jeunessecivitas.com » JURENT trop avec le discours de son Président Alain Escada. En effet, l’icône « du coup de pied à l’arrière-train » est de trop. Un seul détail dissonant … , et la France est désenchantée … Monsieur Escada ! vous nous avez PROMIS beaucoup mieux ! Il serait regrettable que vous vous laissiez infiltrer par un mauvais goût,
qui rappelle celui des calembours d’un certain jmlp, spécialiste de l’organisation des échecs permanents 30 ans durant, ex-toujours jeune nageant de l’UDCA.°. et des comités de sport à la Koudenhove-Kalergi.°., dont les méthodes préférées étaient celles de la vulgarité. On préfèrerait nettement ne plus voir le fantôme de cet intrus sulfureux continuer à inspirer vos troupes, pour, une nouvelle fois, essayer de les neutraliser.
Il faudra pourtant bien plus que des coups de pied au derrière pour les chasser.
Non , il faut ne pas avoir peur des mots ni des dessins.
Je ne fais pas de la moraline. On ne fait pas de la politique avec des coups de pieds. En politique, il faut être responsable, et ne pas se payer de mots, ni de calembours faciles.
Bien plus, l’inefficacité des coups de pied est prouvée :
1 – Toute personne sensée qui voit de tels enfantillages tend à ne plus croire à Civitas.
2 – Depuis 30 ans (1988) la famille « le pen » trouve le moyen de ne jamais réussir.
Pendant ce temps les étrangers entrent. Ca ne vous pose pas des questions ?
Vous avez tort de faire le grincheux quand les militants de Civitas ont le courage d’affirmer des convictions solides. Il y a toujours un ronchon pour estimer que c’est trop ceci ou pas assez cela. En attendant, Civitas prend ses responsabilités et agit sur le terrain. Bravo à ses militants !
Quant au dessin, mettez vos lunettes : le coup de pied s’adresse à un islamiste façon Etat Islamique caricaturé avec son sabre de décapitation. A l’heure où certains s’interrogent pour savoir s’il faut permettre de laisser (r)entrer en France les salopards qui ont combattu pour le califat de l’Etat Islamique en Irak ou en Syrie, un coup de pied à leur fesse est encore bien doux mais le message est clair : pas de place pour eux chez nous !
Ceux qui trouvent que Civitas fait trop fort, ne comprennent rien…
La remigration ne se fera pas dans la paix.
Ceux qui ont organisé l’invasion migratoire, nous ont programmé une guerre civile.
Bravo, belles affiches, message clair, sans langue de bois, visuel efficace.
A placarder partout !
Il faut encourager Civitas dans son combat et nous joindre à lui au lieu de trouver à critiquer ce qui ne l’est pas. Il y aura toujours des ronchons qui trouveront qu’on doit dire ceci et pas cela, faire ceci et pas cela …… La situation catastrophique de la France ne permet pas de se quereller pour l’illustration d’un coup de pied qui est bien envoyé et mérité. Je suis d’accord avec Legio Patria Nostra. Le message doit être clair et compris de tous.