
Une claque n’a jamais tué personne mais elle peut envoyer une mère en prison. A Rome, une mère de famille de quarante ans a été condamnée à 19 mois de prison pour avoir giflée sa fille de 12 ans qui avait envoyé des images sexy à un étranger sur Instagram.
Une mère de famille gifle sa fille de 12 ans, après avoir découvert qu’elle avait envoyé des photos sexy sur Instagram à un inconnu
Le Corriere della Sera, quotidien mainstream italien, rapporte les faits suivants :
La mère de famille « gifle sa fille Giorgia (un nom fictif), 12 ans, après avoir découvert qu’elle avait envoyé des photos sexy sur Instagram à un inconnu. Gifle qui provoque à la jeune fille une égratignure au menton, avec une légère perte de sang. BC, 40 ans, a été condamné hier à un an et sept mois de prison pour maltraitance familiale. La sentence a été prononcée par les magistrats de la première chambre pénale du Tribunal présidée par Alfonso Sabella.
« En plus de l’épisode de la gifle, la mère est accusée d’avoir imposé un fardeau psychologique à Giorgia en raison de la nécessité de s’occuper de ses petits frères et de sa grand-mère, étant donné que l’accusée passait la plupart de ses journées loin de la maison, au travail.
« Les juges ont conditionné la suspension de la peine au processus de soin de la femme, qui devrait peut-être débuter dans les prochains mois. Le procureur Eugenio Albamonte, à la fin de l’acte d’accusation, avait demandé une peine plus exemplaire contre la mère violente : il avait exhorté les juges à la condamner à trois ans de prison.
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Le procureur a requis 3 ans de prison contre la mère de famille
« Mais est-il vraiment possible de considérer comme de la maltraitance une gifle donnée à une fille parce qu’elle envoie des photos osées à un inconnu ? » s’est demandé l’avocat de la défense de l’accusé lors de son discours, demandant l’acquittement du client.
« Des enquêtes qui ont été lancées à la suite d’un rapport envoyé à Piazzale Clodio par des experts des services sociaux. Il convient de noter que la prévenue, n’ayant jamais pu compter sur le père des enfants, contrainte de s’adapter à tout type d’activité professionnelle, a élevé seule les trois enfants.
« C’était en février 2016 que la mère, selon l’accusation, a pris le téléphone portable de sa fille et a consulté son profil Instagram, découvrant qu’elle avait envoyé de nombreuses photos dans des poses sexy à un garçon. Un jeune homme jamais identifié dont l’âge était de 19 ans. La femme fut envahie par la colère. Elle a d’abord grondé sa fille en lui disant qu’elle ne devait pas faire certaines choses, puis elle lui a donné une gifle, la frappant si fort sur la bouche que cela a provoqué une égratignure et quelques gouttes de sang. Et la petite fille s’est mise à pleurer. Giorgia racontera cet épisode aux travailleurs sociaux en 2019, ainsi que les admonestations de sa mère composés de paroles humiliantes pour le manque d’aide dans les tâches ménagères. D’où l’enquête et le procès. Quant est la personne qui a reçu les photos, cela reste un mystère. »
Le monde à l’envers… Les violeurs pédophiles, tant en Italie qu’en France, reçoivent des peines minimes, comme ce magistrat de Dijon condamné en première instance à un an de prison ferme pour avoir proposé sa fille mineure sur un site libertin, et qui a finalement écopé d’une peine de prison avec sursis en appel. Mais une mère de famille qui donne une claque à sa fille pour la protéger des violeurs pédophiles qui rodent sur les réseaux sociaux, est emprisonnée. Aussi, pour éviter la prison, laissez vos filles de 12 ans envoyer des photos sexy à des inconnus via Instagram.
Nous vivons en pleine liberté… pour tout ce qui est contre nature et anormal.
Francesca de Villasmundo
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Voici la lettre que je viens d’envoyer au Recteur d’Académie de Nantes :
Monsieur le RECTEUR de l’Académie de NANTES,
Actuellement devenu GRAND-PERE, j’ai connu le temps, dans les années soixante et encore 70, même après 68, donc, où votre poste et votre fonction signifiait immense culture classique et sévérité exemplaire dans la direction générale des études. Ce prestige et ce respect étaient également portés aux Proviseurs pour les mêmes raisons. Personne n’entrait dans un lycée sans respect et admiration. Dans les années soixante, il suffisait de dire que l’on était élève du lycée pour obtenir le crédit sur parole en fournitures dans la librairie-papeterie voisine… Un lycéen était un quasi-étudiant, respecté, car sérieux et bosseur, en sus d’être évidemment – forcément ! – intelligent !
Depuis la sinistre date du 10 Mai 1981, tout s’est progressivement écroulé. Les lycées sont devenus des repères à fainéants « glandouillant » faute de chercher un travail honnête et souvent dealers, violeurs, cinglés en tous genres de toutes provenances….
Ce n’est pas une raison pour relayer l’offensive générale contre la LOI NATURELLE en ce Vendredi 16 Mai en invitant officiellement élèves comme adultes à afficher toutes les dégénérescences, perversions impossibles et inimaginables. Le LYCEE DOIT REDEVENIR un lieu d’ETUDES, calme, serein, réservé aux travailleurs intellectuels de belle intelligence et capables de parvenir à un vrai BACCALAUREAT, à l’ancienne. Inviter les lycéens à se costumer en filles, sans le moindre objet théâtral, vise uniquement à encourager toutes les perversions et, de toutes façons, à l’adoption de tenues incompatibles avec l’ETUDE ! Or, j’ai connu le temps, où, justement au lycée, comme au collège, une tenue correcte était exigée compatible avec l’Etude donc avec une concentration intellectuelle nécessaire à la progression. Les filles en « minijupes » n’étaient évidemment pas tolérées car leurs tenues provocantes sexuellement était non seulement condamnée en « justice » mais reconnue comme dangereuse pour la bonne tenue de l’établissement.
Votre invitation à la perversion des moeurs est contraire à votre mission d’études intellectuelles sereines et efficaces ! Elle est contraire à votre mission d’enseignement au service des Parents pour le bien de leurs enfants confiés, par eux seuls, à l’établissement ! Elle est aussi contraire à l’image que doit retrouver votre fonction qui n’est plus aujourd’hui ni digne, ni haute, ni respectable, ni évidemment encore moins « prestigieuse ». Vous volez votre « traitement » de haut fonctionnaire !
En conséquence, il est attendu de vous le courage de stopper l’évolution, et d’annuler ces instructions contraires à la bonne éducation, aux bonnes moeurs, à la sérénité des établissements qui tendent à devenir visuellement des bordels !
Faute de cette annulation immédiate de cette « journée sexiste » dite « de la jupe et du rouge à lèvres », suivie d’une recherche vers un retour, dès la rentrée, à une tenue correcte filles comme des garçons, non provocante, propice à l’étude, tenue qui pourra être un uniforme type par établissement, avec exigence disciplinaire forte sur le silence, le respect, des étudiants et des Professeurs, nous serons des millions à retirer définitivement nos enfants et petits-enfants de vos établissements de déparavations caractérisées, incompatibles avec l’étude pour laquelle ils y sont envoyés,
Dans l’attente de vous voir à l’oeuvre, je ne vous salue pas, car pour l’instant vous ne le méritez pas !
A D Laurent MARTIN DESMARETZ de MAILLEBOIS
Vous lirez avec profit ma chronique de politique intérieure de ce jour sur : http://www.radio-silence.org , intitulée : « L’OFFENSIVE GENERALE CONTRE LA LOI NATURELLE », évidemment dirigée par la Franc-Maçonnerie, Secte de Satan bien connue depuis des siècles !
A quand un président ‘NORMAL 1er » qui paraitra à la TV maquillé en femme et en jupe ?