Relativisme et indifférentisme sont les deux cadeaux déposés au pied de l’Enfant-Dieu dans sa crèche par le pontife argentin.
Ce 25 décembre 2018, à l’Angelus de midi, le pape François n’a pas dérogé au message Urbi et Orbi, traditionnel dans sa formule et bien moderniste dans son expression. L’attention des fidèles a été focalisée sur la fraternité, l’égalité et l’accueil. L’Église a répété l’actuel hôte du Vatican du balcon de la basilique Saint-Pierre ne peut soutenir aucune forme de fermeture.
La pastorale bergoglienne durant les festivités de Noël s’est concentrée sur « les portes ouvertes ». Le message universel de l’Incarnation et de la Nativité rime pour Jorge Maria Bergoglio avec « fraternité » entre les peuples et les religions. Il nous dit, a développé le pape François, « que Dieu est un bon Père et que nous sommes tous frères. Cette vérité est à la base de la vision chrétienne de l’humanité. Le vœu pour la naissance de Jésus devient ainsi un vœux de fraternité » transcendant, dans cette obsession œcuménique et inter-religieuse qui au cœur de la doctrine conciliaire, toutes les croyances religieuses. Et aussi toutes les frontières d’après l’illusion mondialiste, corolaire naturel de l’œcuménisme religieux.
La perception du monde promue par la Rome moderniste ne prévoit pas de confins : « Fraternité entre chaque nation et culture. Fraternité entre personnes d’idées différentes mais capables de se respecter et d’écouter l’autre. Fraternité entre les personnes de diverses religions. » « Jésus du reste est venu révéler le visage de Dieu à tous ceux qui le cherchent » affirme le pape embrasé par cet élan inter-religieux.
Le thème des « différences » a été pareillement au centre de ce message adressé au monde. Constater leur existence constitue une richesse, une richesse pour l’humanité et les pays d’accueil des migrants ! El papa d’Amérique du Sud a souligné, encore et toujours, la nécessité morale de l’accueil avant de dédier la suite de son Angélus à un appel naturaliste au « dialogue » entre les peuples et les nations pour obtenir la paix.
Un énième message Urbi et Orbi dans la lignée idéologique progressiste…
Francesca de Villasmundo
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Cela ne concerne que la Belgique qui a toujours une longueur d’avance sur les conneries anti-chrétiennes. Imaginez la multinationale de brasserie qui doit gérer des étiquettes différentes selon les pays? C’est pas une faute de gestion, cela?
On restera franchouillard et on achètera des bières ch’ti ou alsaciennes, ou même savoyardes, dauphinoises, bretonnes, provençales (si, si , cela existe et sont excellentes).
et il y a aussi des bières quercynoises (département 46, le Lot) et elles se défendent correctement (un peu de pub pour moun pais…)
C’est un égarement que de croire avoir un combat avec un produit de consommation, du faite qu’il change d’appellation!
A mes enfants, je dis que le père Noel est en quelque sorte un usurpateur d’identité! Il n’usurpe certainement pas le Christ, mais l’esprit de Noel.
Où est le Christ, dans ce Noel commerciale? Le sapin, le père Noel? les cadeaux a profusions? toutes ces pubs a longueur de journée vantant un Noel idyllique, enchanteresque. Jésus est mis de coté, loin de rappelé une fête de la nativité.
Alors une bière qui change de nom pour prendre l’appellation bière d’hiver, que bien lui en fasse a cette bière.
LEFFE de l’aït el kébir ? ou de hanouka ? des étiquettes en préparation . mais « bière de Noël , plus jamais !