MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Le chercheur Denis Rancourt de l’ALCO (Association des libertés civiles de l’Ontario) et plusieurs collègues universitaires canadiens ont adressé une lettre ouverte afin de soutenir ceux qui ont décidé de refuser le vaccin COVID-19.

Le groupe insiste sur le caractère volontaire de ce traitement médical et également sur la nécessité du consentement éclairé et de l’évaluation du rapport risque/bénéfice. Ils condamnent la pression exercée par les responsables de la santé publique, par les médias d’informations et les médias sociaux et par les concitoyens.

Il se peut que le contrôle de notre intégrité corporelle soit la frontière ultime de la lutte afin de protéger nos libertés civiles.

Lettre ouverte aux non vaccinés

Vous n’êtes pas seuls ! (…) Les responsables politiques et les médias ont pris un point de vue uniforme, blâmant les non vaccinés pour les problèmes qui ont résulté suite aux propos alarmistes et aux confinements. Il est temps de remettre les pendules à l’heure.

Il est tout-à-fait raisonnable et légitime de dire « non » à des vaccins insuffisamment testés pour lesquels il n’y a pas de données scientifiques fiables. Vous avez le droit d’invoquer de disposer librement de votre corps et de refuser les traitements médicaux comme bon vous semble. Vous avez raison de dire « non » à une violation de votre dignité, de votre intégrité et de votre autonomie corporelle. C’est votre corps et vous avez le droit de choisir. Vous avez raison de vous battre pour vos enfants contre leur vaccination de masse à l’école. Vous avez raison de contester le fait que dans les circonstances présentes le consentement libre puisse être possible. Les effets à long terme sont inconnus. Les effets transgénérationnels sont inconnus. La dérégulation de l’immunité naturelle induite par le vaccin est inconnue. Les dommages potentiels sont inconnus puisque la déclaration des événements indésirables est retardée, incomplète et présente des contradictions selon les juridictions.

Vous êtes ciblés par les médias grand public, par les campagnes d’ingénierie sociale du gouvernement, par des règles et politiques injustes, par des employeurs qui collaborent et par des lynchages dans les médias sociaux. On vous dit que maintenant c’est vous le problème et que le Monde ne peut pas revenir à la normale à moins que vous ne soyez vaccinés. Par la propagande on fait de vous des boucs émissaires et ceux qui sont autour de vous vous mettent la pression. Rappelez-vous, vous ne faites rien de mal.

Vous êtes improprement accusés d’être une fabrique pour les nouveaux variants du SARSCoV-2, alors qu’en fait, d’après des scientifiques de premier plan, votre système immunitaire naturel produit une immunité contre de multiples composants du virus. Cela favorisera votre protection contre un large éventail de variants viraux et empêchera la transmission à quelqu’un d’autre.

Vous êtes tout-à-fait fondés à demander des études indépendantes révisées par les pairs qui ne soient pas financées par les sociétés pharmaceutiques multinationales. Toutes les études évaluées par les pairs sur l’innocuité à court terme et l’efficacité à court terme ont été financées, organisées, coordonnées et soutenues par ces sociétés à but lucratif ; et aucune des données de l’étude n’a été rendue publique ou mise à la disposition de chercheurs qui ne travaillent pas pour ces sociétés.

Vous avez raison de remettre en question les résultats préliminaires des essais des vaccins. Les valeurs élevées d’efficacité relative revendiquées reposent sur un petit nombre d’« infections » déterminées de manière très fragile. Les études n’étaient pas non plus faites en aveugle, les personnes qui donnaient les injections savaient ou pouvaient déduire si elles injectaient le vaccin expérimental ou le placébo. Ce n’est pas de la méthodologie scientifique acceptable pour des essais de vaccins.

Vous avez raison d’en appeler à la diversité des opinions scientifiques. Comme dans la Nature, nous avons besoin d’une polyproduction d’informations et de leurs interprétations. Et nous n’avons pas cela actuellement. Choisir de ne pas prendre le vaccin c’est laisser un espace pour qu’émerge la raison, la transparence et la responsabilité. Vous avez raison de demander « Que se passera-t-il ensuite si nous abandonnons le pouvoir sur nos propres corps ? »

Ne vous laissez pas intimider. Vous faites preuve de résilience, d’intégrité et de courage. Vous vous rapprochez les uns des autres dans vos communautés pour faire des projets pour vous entraider et exiger l’intégrité scientifique et la liberté d’expression, qui sont requises afin que la société prospère. Nous sommes parmi tant d’autres à nous tenir à vos côtés.

Angela Durante, PhD – Denis Rancourt, PhD – Claus Rinner, PhD – Laurent Leduc, PhD – Donald Welsh, PhD – John Zwaagstra, PhD – Jan Vrbik, PhD – Valentina Capurri, PhD

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

2 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires
Fleur
Fleur
il y a 10 années

Le Dr Kariger parti diriger une maison de retraite ?
Je ne sais pas si c’est, comme vous l’écrivez, « une bonne nouvelle » pour ses résidents !

la Mésange
il y a 10 années
Répondre  Fleur

En effet ! Si j’étais de la famille d’un des pensionnaires, je commencerais à prendre des mesures pour le déplacer ailleurs !

JC
JC
il y a 10 années

Docteur, vous trouvez vraiment que c’est une bonne nouvelle pour les pauvres vieux à la merci de ce futur « tueur en série » ?

cloclo54
cloclo54
il y a 10 années

Cette nouvelle n’est pas un scoop ! au fait, « létale », ça s’écrit sans « h » quand à la décision, et ce n’est pas la décision « létale », c’est la décision « finale » qui appartient effectivement au seul médecin. ça, c’est la « bonne » loi Léonetti qui semble contenter pas mal d’opposants au droit à l’euthanasie et/ou au suicide assisté. Seulement la « bonne » loi Léonetti préconise d’arrêter l’alimentation et l’hydratation du malade jusqu’à ce que mort s’ensuive… une sorte de torture en somme puisque les personnes ayant « bénéficié » de cette « bonne » loi ne sont pas revenues nous dire si elles avaient souffert ou pas de ces privations.
La seule décision qui soit bonne à prendre quand les malades arrivent en fin de vie, c’est de respecter leur volonté tant qu’ils sont encore conscients et qu’on respecte leurs directives anticipées quand ils ne le sont plus mais ont pris la précaution de les écrire. MAIS et le « mais » est de taille, pour pouvoir respecter le désir des malades, il faut que ceux-ci aient la possibilité de choisir réellement entre une euthanasie, un suicide assisté, un placement en unité de soins palliatifs ou de ne rien faire du tout.
C’est seulement quand la loi sur l’euthanasie sera votée et quand il y aura assez d’unités de soins palliatifs pour accueillir tous ceux qui voudront en bénéficier qu’on pourra dire que l’on meurt bien en France et selon ses convictions personnelles.
Personne n’a le droit de décider à la place d’un autre. La vie appartient à chacun d’entre-nous selon ses croyances. Certains remettent leur fin de vie entre les mains de Dieu et c’est très bien ainsi si c’est leur volonté, mais que celui qui ne veut remettre sa vie entre les mains de personne d’autre que lui-même puisse le faire aussi. ça s’appelle la liberté ! liberté de croire dans un autre monde après la mort, mais liberté aussi de croire qu’après la mort, il n’y a rien. Chacun doit prendre ses responsabilités mais ce n’est certainement pas au voisin à nous imposer sa façon de voir les choses et de décider à sa place.

C.B.
C.B.
il y a 10 années
Répondre  cloclo54

Il semble que dans le cas de Vincent Lambert celui-ci n’ait laissé aucune directive, et que son entourage s’arroge le droit de prétendre qu’il aurait fait ou dit quelque chose qui pourrait s’interpréter comme …
On peut s’étonner que ceux qui préconisent ce « libre choix » soient des personnes en bonne santé: ainsi, monsieur Attali a largement dépassé l’âge auquel, selon lui, on devrait aller voir ailleurs… mais il ne semble pas pressé de donner le bon exemple.

cloclo54
cloclo54
il y a 10 années
Répondre  C.B.

Comment pouvez-vous dire que ce ne sont que des gens en bonne santé qui réclament ce droit à une mort douce et rapide ? Alors, comment expliquer tous ces Français qui vont mourir en Suisse ? Ce sont TOUS des malades qui ont décidé de mourir comme ils le souhaitaient EUX et pas leur voisin.
Pour V. Lambert, que ce soit la femme ou la mère de ce pauvre homme, les deux camps s’arrogent des droits et parlent pour lui. On voit bien les limites de la loi Léonetti qui donne le droit aux médecins de laisser mourir une personne de faim et de soif, l’horreur absolue pour moi alors qu’une injection lui apporterait une mort rapide, douce et sans douleur. De toute façon, cet homme ne vit déjà plus ! il respire et ça suffit à sa mère ! je ne voudrais pas être son enfant ! s’il avait écrit ses directives anticipées, il n’y aurait pas eu d »affaire Lambert, la « bonne » loi Léonetti aurait autorisé les médecins à stopper l’alimentation et l’hydratation et certains se seraient de cette loi barbare !

tristan
tristan
il y a 10 années

quand on connait un peu l’état des patients dans les maisons de retraite,on se demande combien sont dignes de vivre aux yeux du docteur kariger;
la plupart ne sont guère mieux que vincent lambert

cloclo54
cloclo54
il y a 10 années
Répondre  tristan

Le problème n’est pas la dignité que le Dr Kariger accorde à chaque personne, c’est chaque personne elle-même qui place un curseur à sa dignité et qui considère à partir de quel stade elle ne veut plus vivre.
Il faut que la loi française permette à chacun d’entre-nous de décider pour nous-même de dire stop aux souffrances ou à la déchéance

dino2004
dino2004
il y a 10 années
Répondre  cloclo54

Mais il n’est pas interdit de se suicider. Vous écrivez par ailleurs:  » mais que celui qui ne veut remettre sa vie entre les mains de personne d’autre que lui-même puisse le faire aussi. ça s’appelle la liberté ! » L’euthanasie, c’est l’inverse, vous remettez votre vie entre les mains de médecins.
Par ailleurs, l’autorisation de l’euthanasie sera certainement nuisible au développement des soins palliatifs pour des raisons économiques.
Ce documentaire mesuré, mais qui montre bien les dérives constatées dans les pays qui autorisent l’euthanasie est instructif:
http://www.youtube.com/watch?v=jN3PSI3XsFI

domremy
domremy
il y a 10 années

Il fallait sauver Vincent Lambert , maintenant mobilisons nous pour sauver les vieux tombés entre les mains de cet euthanaziste …

cloclo54
cloclo54
il y a 10 années
Répondre  domremy

Vous avez sauvé Vincent Lambert de quoi au juste ?
Vous lui avez redonné la vie qu’il avait avant son accident ?
Croyez-vous qu’il est certain qu’il dise merci à ceux qui le maintienne dans l’état où il se trouve actuellement ?
Peut-être qu’un jour, vous vous souviendrez de ce que vous avez écrit aujourd’hui….

domremy
domremy
il y a 10 années

cloclo 54,
Je n’ai pas à me souvenir …

je suis du sérail psy, celui qui est là pour entendre TOUS LES JOURS des gens qui touchent le fond, se sentent INDIGNES et au bord de se flinguer, mais qui des qu’ils entendent une parole d’amour , voient une main à laquelle s’accrocher, un rappel de ce qu’ils ont de précieux pour nous , oui! dès que ces signes leur sont donnés je les vois revenir,… et puis je les vois revenir des années après,heureux d’avoir survécu pour vivre leur histoire humaine avec leurs frères humains …

Avec vos raisonnements ces vies d’hommes qui pour vous, comme pour ces médecins serial-killers enthanazistes, ne sont plus que des concepts mortifères,je vois qu’en Hollande des médecins prescrivent les doses léthales qu’en un moment ou en des temps de déréliction leurs patients leurs réclament.

Pour la première dans l’histoire de l’humanité nous ne saurons plus, quand nous approcherons un médecin, si nous rencontrerons un soignant ou un assassin, ni s’il est là pour vous aider à sortir de l’abime ou vous y enfoncer .

Et je parle d’expérience.

Et rien d’autre chez mon prochain ne me parait indigne hormis ses crimes à l’encontre des plus faibles .