Le Dr Bertrand de Rochambeau, président du Syndicat National des gynécologues et obstétricien a été reçu le 11 septembre à l’émission Quotidien, par une journaliste dénommée Valentine Oberti. Le praticien avait déclaré ce qui est une évidence pour un médecin : « Nous ne sommes pas là pour retirer des vies ». La journaliste lui a rétorqué : « Un enfant à naître n’est pas une vie au sens juridique. Ce n’est pas un homicide de faire un IVG ». Ce à quoi le gynécologue lui a lancé : « Si, Madame ! C’est votre opinion mais pas la mienne. Moi, en tant que médecin, je ne suis pas forcé d’avoir votre opinion. Et si je ne l’ai pas, la loi me protège. Et ma conscience aussi ». Par les temps qui courent, il fallait oser.
De fait Agnès Buzyn, ministre de la santé et l’inénarrable Schiappa sont montées au créneau pour stigmatiser celui qui avait osé dire la vérité. Commence alors la chasse à la liberté de conscience des médecins qui dure encore. Mme Rossignol ancienne ministre de François Hollande a présenté un projet de loi visant à supprimer le droit à la liberté de conscience des praticiens.
Dans le sein maternel, un embryon ou un fœtus sont des êtres vivants donc ayant une vie ; c’est incontestable, puisque les obstétriciens et les sages-femmes surveillent son développement. Il y a une vie dans les végétaux, chez les animaux et aussi chez les humains. La logique eut été que cette journaliste dise : « Oui il y a une vie que l’on supprime par l’avortement ! »
Effectivement l’IVG tue une vie humaine. Or la journaliste a un mot caractéristique ; elle utilise le terme de « vie au sens juridique ». Et de fait elle a raison. En effet le législateur a décrété que l’enfant à naître n’avait pas d’existence ; qu’importe la réalité ! Le « juridique » décrète une vie spéciale de type juridique. De quoi s’agit-il ?
Le 29 juillet 1995 Mme Grosmangin enceinte de six mois perd son enfant dans une collision provoquée par un chauffeur ivre. Elle demande des dommages et intérêts. Après des péripéties juridiques, la cour de Cassation rend une décision incroyable le 29 juin 2001 : « Pour qu’il y ait une « personne » il faut qu’il y ait un être vivant, c’est-à-dire venu au monde et non encore décédé ». Le critère de vie est donc le fait d’être venu au monde vivant.
Ainsi l’enfant qui a été tué dans le sein maternel n’a aucun droit car il n’est pas une « personne » au sens juridique. Quel est son statut puisqu’on peut lui retirer la vie ? Il y a des hommes de droit, des animaux de droits et des objets de droit. Mais le bébé in utero est une sorte de non-être ; ce n’est pas une personne ; ce n’est qu’une illusion de vie. Une vie sans vie. Une vie biologique, sans vie juridique ; celle-ci étant décrétée au nom de la loi.
Toute les lois d’avortements ont comme socle cette aberration issue d’une magistrature ; elles sont basées sur cette décision qui aurait dû être rédigée ainsi en toute logique : « la loi autorise de mettre fin à la vie d’un enfant in utero ». Mais fallait bien ménager le bon peuple qui aurait été choqué (on ne voit d’ailleurs pas les végétariens et autres vegans sur ce créneau ! ).
Mme Grosmangin a été indemnisée pour son séjour en hôpital, ses blessures, pour les réparations de sa voiture, pour les soins de son chien ; mais pour son enfant : zéro. Or tout récemment une femme se trouvait dans la même situation. Sa plainte a été déclarée recevable. J’ai vu avec joie que mon maître de thèse le Pr Claude Sureau, ancien président de l’INSERM et de l’Académie de Médecine (etc.) avait été cité comme témoin. Il a déclaré que la perte d’un fœtus dans de telles conditions ne pouvait en aucun cas être regardée comme la perte de « rien ».
Jean-Pierre Dickès
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
oeuvre des F reres M oloch ,,ils nous sacrifient a leur dieu lucifer ,ouvriers ,paysans ,retraites nous crevons et les freres nous assassinent ,,apres le 17 ,il faut federer les martyrs pour une revolution car ces enfoires baissent un peut le petrole pour nous enfumer
Allons-nous recevoir à bras ouverts toute l’Afrique ???
Ils sont fous à lier…et criminels envers notre pays, ceux qui organisent la destruction de notre civilisation.
Qui nous délivrera de ces escrocs (nos dirigeants) et de tous ces profiteurs (envahisseurs).
Ils seront durement châtiés.
Dieu ait pitié de nous !
C’est le retour du boomerang après l’indépendance de leurs pays, indépendance qu’ils ont pourtant voulue.
Merci De Gaulle et tous les autres traîtres.
Les prix du carburant vont encore flambé
COÛT DE L IMMIGRATION
JP LEVEQUE « LES GRANDS MENSONGES SUR L IMMIGRATION »
2013- estimation de André POSOKHOW= 84 milliards €
Posokhow , expert comptable, aboutit à un chiffre élevé
à comparer avec
1 la collecte de l ‘impôt en 2012 = 286 MILLIARDS €
2 le déficit du budget en 2012 = 98 milliards €
3 le PIB de la France en 2012 = 2 091 milliards €
4 la dette publique de la France : 2200 milliards €
Macron les aime tellement ses « très chers » amis, les bambougnoules, qu’il n’hésite pas à sacrifier le déjà misérable niveau de vie des retraités et des salariés de base, sans compter celui de tous les automobilistes au prétexte fallacieux de la protection de la planète. Il voudrait faire croire que payer encore plus de taxes sur l’énergie va contribuer à ralentir la pollution. Mais alors que fait on contre les gros pollueurs : Paquebot qui tournent en rond dans l’océan pour le bien être de quelques milliers de privilégiés, cargos gigantesques qui vont chercher en Extrême Orient des gadgets plus ou moins inutiles et d’autres produits qui pourraient tout aussi bien être fabriqués en Europe, et bientôt tourisme spatial, totalement inutile scientifiquement, réservé évidemment à une aristocratie du fric ? On ne fait rien d’efficace puisqu’on ne s’attaque pas aux vrais problèmes.
On se demande aussi pourquoi on continue à fabriquer et à importer des voitures de 300cv et plus, puisque la vitesse maximum autorisée est de 130km (pour le moment).
En attendant les Français doivent payer, payer, et encore payer, pour tous les parasites importés, qui en plus, pour la plupart, sont des délinquants qui s’abattent sur la France comme des sauterelles sur un champ de céréales.