Le libéralisme restera un péché tant que Dieu sera Dieu.

Retranscription sonore et visuelle de la conférence donnée par notre ami Herbé devant les Nationalistes, quelque part en France le dimanche 21 avril dernier.

Cent trente-deux ans de démocratie chrétienne nous ont abîmés, nous catholiques français et ce fut d’abord la grave responsabilité du pape Léon XIII qui eut la faiblesse coupable d’oser espérer en la République. L’escroquerie libérale de la « Condamnation » de l’A.F a ensuite porté l’estocade mortelle à ce qui restait de contre-révolutionnaire, chez les catholiques. Dans une de ses lettres à ses camarades de France, Lénine conseillait d’agir ainsi avec les catholiques rencontrés : « Traitez les de fascistes. Pendant qu’ils chercheront leurs arguments, vous aurez avancé les vôtres. »

Les cathos antifa n’aiment donc pas ceux qui vont à la messe en latin.

Mon Dieu, combien de temps un catho antifa restera-t il encore catholique ?

Quand aux nationalistes vilipendés, ils sont fiers d’être des fidèles catholiques (comme Louis XIII, comme saint Louis IX, comme José Antonio) et fidèles parce qu’intègres. « Honneur et Fidélité » est aussi la devise de la vieille Légion. Les cathos invertébrés qui critiquent les nationalistes, oublient trop facilement ceux qui sont tombés pour défendre ce qui restait de civilisation chrétienne, que ce soient les corps de ces héros qu’on ne retrouvera jamais sous la neige russe et broyés sous les chenilles des chars soviétiques. Que ce soient ces étudiants mexicains cristeros qu’on a retrouvés pendus aux arbres. Les âmes charitables prient-elles pour le repos des âmes de ces grands nationalistes persécutés ou tués pour la Justice, Bastien-Thiry, Robert Brasillach, José-Antonio, Pierre Delhomme, Charles Maurras, etc ?

Le clergé et les ordres religieux ont toujours eu besoin, depuis les anciens rois francs et les chevaliers féodaux, de la force du bras séculier.

Le nationalisme franc est maintenant ce bras séculier, depuis que les couronnes sont devenues démocratiques et la plupart des chevaleries ridicules et inoffensives. En retour, Dieu récompense le dévouement de ses militants, en suscitant chez eux des baptisés et des confirmés. « On reconnaît un arbre à ses fruits », enseigne Jésus-Christ. A la suite de l’agnostique Maurras converti sur son lit de mort, combien d’hommes trouvèrent la Foi grâce au « nationalisme intégral » de l’Action-Française ! Combien d’athées ont été guéri de leur cécité spirituelle grâce au nationalisme révolutionnaire de Pierre Sidos ! La Fleur de Lys et la Croix  Celtique menant à l’Autel, à la Croix Latine.

Herbé explique clairement qu’il ne faut pas se laisser prendre au piège de la guerre des mots.

Ceux qui insultent les nationalistes se réclament souvent de ces grands démocrates qui ont été les responsables de charniers et de massacres, d’une étendue et d’une intensité effroyables. C’est un respect humain imbécile, souvent allié à de mauvaises fréquentations, qui conduit, par cette hantise obsessionnelle du nationalisme, à un gauchissement des esprits et à une perte de la Foi. Ces nouveaux démocrates n’ont oublié qu’une seule chose : le nationalisme est l’application en politique des principes enseignés par saint Thomas d’Aquin.

Retrouvez la chaîne des Chevaliers de Notre-Dame : https://odysee.com/@lanouvellechevalerie:c

Fabien LAURENT

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