« Quand tu ne peux pas arrêter quelque chose, il faut en prendre le contrôle ». C’est la troisième voie choisie par Vladimir Poutine pour affronter le binôme drogue-concert rap.
Le maître du Kremlin, à l’occasion du conseil consultatif sur la culture et les arts, s‘est alarmé sur la croissante progression de la popularité du rap parmi la jeunesse russe. Or le rap estime-t-il « se base sur trois piliers : le sexe, la drogue et la contestation. De tout cela, la drogue est le plus préoccupant. C’est la voie ouverte vers la corruption de la société ».
Aussi, sans vouloir censurer le rap, il a en revanche l’intention d’en maîtriser la diffusion. Il a donc demandé aux responsables culturels de trouver un moyen pour contrôler plutôt qu’interdire cette musique populaire. A travers notamment des subventions publiques destinées à aider les chanteurs « à corriger » leurs textes.
Depuis longtemps en Russie des groupes de volontaires et des associations de parents se sont mobilisés contre certaines expressions musicales qui « ont une influence négative sur la société et sur les plus jeunes ». Ce que démontrent certaines chansons de rappeurs qui font l’apologie ouverte de la drogue et du suicide.
La guerre contre le rap est ouverte au pays des Tsars !
Francesca de Villasmundo
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ben oui c’est bien le concile qu’il faut abroger et tout ce qui va avec mais je ne suis pas sûr que ce soit demain la veille tellement on a tourneboulé les esprits et en plus c’est tellementy plus facile de suivre vatican2 que de suivre la tradition, ne serait-ce qu’en croyant que tout le monde sera sauvé quoiqu’il fasse finalement , c’est bien la théorie protestante
Nuance, pour les protestants, tous sont sauvés, sauf les Catholiques. C’est un peu difficile de généraliser car il y a plus de 40 000 sectes et dénominations protestantes, chacune ayant ses petites lubies
Amen, c’est Vatican ll qu’il faut détruire , !merci pour votre énoncé, qui est plus que vrai , j’écoute souvent ce que Monseigneur Lefebvre a dit , et j’y adhère de tout mon coeur . Que Dieu nous vienne en aide
Extrêmement bien résumé. Voilà pourquoi encore, même « s’il y a du bien qui se fait » (même une infirmière musulmane qui baptise en urgence sur la demande de la maman dans une maternité peut faire du bien) dans les communautés ex Ecclesia Dei, il a toujours été dangereux de se placer sous l’autorité d’évêques contaminés par le modernisme, « égout collecteur de toutes les hérésies » qualifiait Saint Pie X, tant que la Rome Néo Protestante n’est pas revenue complêtement à la Tradition ; c’était le moto de Mgr Lefèbvre. Peu suivi hélas par ses successeurs qui se sont ralliés « par derrière » et ont adopté le code de droit canon de 1983 woïtylien ainsi que les juridictions bergogliennes sur les mariages et les confessions. La juridiction de suppléance était suffisante et de toutes façons les autorités modernistes ont toujours « annulé » (le mot est impropre, on devrait dire « constaté la nullité avérée ») les mariages ayant fait l’objet de demandes de fidèles mariés dans la Tradition. Lourde responsabilité dans plusieurs cas que Dieu peut voir, pas nous forcément…terrible en y pensant bien.
Il est temps de revenir au principe simple que si la liturgie est porteuse de Foi (lex orandi, lex credendi), la Foi demeure théologalement plus élevée (même les messes St Pie V du clergé jureur étaient valides pendant la Révolution). Il est grand temps, avec patience et charité (mais attention la vérité fait souvent partie de celle ci, avec tact) de retrouver des principes solides et de s’éloigner de tous les prêtres et évêques pratiquant le double langage (« méfiez vous des loups déguisés en bergers, ils parlent avec un coeur double, vous les reconnaitrez à leurs fruits ») ; quitte à sanctifier le dimanche avec le Rosaire, des litanies, des cantiques comme le Magnificat et la richesse du missel, du moment que l’on trouve mensuellement des prêtres fidèles. Pas facile et parfois dangereux, attention au manque d’équilibre. Courage et grande union de prière, la Providence n’est pas loin même s’il ne faut pas présumer.