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En 1931, la presse syndicale de la CGT ou de la CGT-U (communiste) lance une campagne d’opinion contre « les étrangers qui volent le travail des Français » suivie par une proposition de loi de la SFIO de Roger Salengro, déposée en août 1931, « tendant à la protection de la main-d’œuvre nationale », dont le premier article prévoit d’interdire durant une période limitée l’entrée des étrangers en France. L’article 2 prévoit de fixer un seuil maximal de 10 % de travailleurs étrangers dans les entreprises. La proposition loi prévoit des amendes pour les patrons contrevenants. Cette proposition de loi socialiste ne sera pas adoptée.

Mais le 10 août 1932, une autre loi destinée à protéger la main d’œuvre nationale est votée, à l’initiative du gouvernement de Edouard Herriot (groupe Républicain radical et radical-socialiste). Cette loi Herriot est en définitive beaucoup plus immigrationniste que le projet Salengro (sauf pour le secteur public où la proportion des travailleurs étrangers ne peut dépasser 5 %).

La présence croissante d’étrangers en France ne cesse de susciter l’inquiétude. En février 1935, les étudiants en médecine manifestent « contre l’invasion métèque  » devant les facultés de médecine. D’autres étudiants suivent et manifestent contre « l’envahissement des étrangers « . Parmi ces manifestants figure un certain François Mitterrand.

Le 14 avril 1937, sous le gouvernement de Front populaireMarx Dormoy, ministre de l’intérieur socialiste du gouvernement Blum, donne instruction aux préfets de « refouler impitoyablement tout étranger qui cherchera à s’introduire sans passeport ou titre de voyage valable ».

La loi de protection de la main d’œuvre nationale est abrogée en 1981 par François Mitterrand, celui-là même qui manifestait en 1935 contre « l’envahissement des étrangers « , car considérée contraire aux traités européens signés par la France.

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Pierre Mary de Montamat
Pierre Mary de Montamat
il y a 3 années

Tout à fait, la fin de votre article est claire et rejoint l’analyse du vaccin ‘blotché’ cad bâclé, avec l’opération Warspeed. C’est comme cela que DJT a pris dans sa nasse tout ce petit monde, en faisant se déclencher l’affaire covid trop tôt et en laissant croire au DS qu’il croit lui-même à ce cirque.

Au final, les artisans de cette arnaque vont avoir de sérieux problèmes, et c’est déjà commencé avec Fauci qui a menti à une Commission d’enquête du Sénat, devant Rand Paul.

De notre côté à nous en UE aussi ça va pêter avec les mails d’Ursula !

Peter Bu
il y a 3 années

La Commission Européenne est présidée par Ursula von der Leyen. Elle a insisté à de nombreuses reprises sur la nécessité de vacciner la population européenne contre le Covid-19 et a transmis le 10/11/21 « le Prix du meilleur dirigeant dans la catégorie ‘affaires’ au PDG de Pfizer pour avoir ‘sauvé des millions de vie et exporté 860 millions de doses de vaccin contre le Covid-19 produites en Europe vers 150 pays’».

Il est utile de savoir que le mari de Ursula von der Leyen, Heiko von der Leyen, est médecin et directeur médical d’Orgenesis Inc., dont l’un des actionnaire, Vanguard group, est le principal actionnaire de Pfizer.

L’un des fils von der Leyen, David, 34 ans, fut, de 2015 à 2019, « associé » chez McKinsey, l’entreprise qui conseille l’exécutif français sur la stratégie vaccinale, à prix d’or.

Le contrat entre Pfizer et La CE a été signé par Stella Kyriakides, soupçonnée publiquement d’être corrompue.

L’AMM qui a donné l’autorisation de mise sur le marché européen des vaccins de Pfizer, Moderna, Johnson et Johnson, Astra Zeneca etc, est présidée par Emer Cooke qui avait travaillé pendant sept ans au sein de l’EFPIA, le principal lobby de l’industrie pharmaceutique en Union européenne.

Alors les SMS de Mme von der Leyen ce ne serait qu’une goutte qui fait déborder le vase.

( Extraits de http://histoirecovid.canalblog.com/archives/2022/01/26/39321262.html )