Vendredi dernier, le professeur Raoult, directeur de l’IHU Méditerranée, répondait aux questions de Jean-Marie Morandini sur CNews. Et revenait sur la « dramatisation qui ne correspond pas au risque que chacun court dans cette affaire (…) On se demande jusqu’où peut aller cette terreur généralisée ». Et d’ajouter :

« L’état de crise nerveuse dans lequel le pays se trouve plongé dépasse la raison et l’entendement. »

« Ce n’est pas le virus qui m’inquiète. C’est l’état de notre société qui m’inquiète » affirme le professeur marseillais.

« L’état de notre société que l’on peut berner d’une manière incroyable et qui est si facile à berner qu’elle a oublié 5 minutes après qu’elle a été bernée d’une manière absolument incroyable. »

De même le professeur Raoult n’hésite pas à parler de « la plus grande escroquerie jamais vue concernant la toxicité de l’hydrochloroquine » :

« Vous avez assisté à la plus grande escroquerie que je n’ai jamais vue de ma vie avec la toxicité de l’hydroxychloroquine. Vous l’avez vu, ça. Et ça devrait vous poser la question de savoir : mais attendez, est-ce qu’on me ment, ou est-ce qu’il n’y a que là-dessus, qu’on me roule dans la farine ? Et je suis sidéré qu’on ne se la pose pas. » 

« L’hydroxychloroquine marche contre le coronavirus. On le prescrit toujours. On continue à traiter les gens. Les gens sont guéris. On a un taux de mortalité qui est extrêmement bas. »

« Il y a des gens qui ont essayé de faire croire et qui ont réussi à faire croire à des gouvernements et à l’OMS, qu’un médicament qui a 70 ans, qui est l’un des deux médicaments les plus prescrits de l’humanité tuait 10% des gens à qui on le donnait. » 

Un entretien clair, qui se conclut avec un brin d’ironie :

« Vous savez bien que, si vous êtes malade la semaine prochaine, vous allez m’appeler Monsieur Morandini. »

« Je pense, je suis honnête », a répondu le journaliste. « C’est ce qui se passe tout le temps. Je peux vous le dire : c’est comme ça que ça se passe », a conclu le professeur.

Francesca de Villasmundo

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