Emmanuel Ratier vient de rédiger une remarquable enquête sur StreetPress :
Présenté comme site d’information « participatif » et « citoyen », positionné sur « l’actualité sociétale » à destination des « jeunes urbains de 20-35 ans », StreetPress semble missionné pour s’attaquer principalement aux patriotes, à la manière des sites prétendument antifascistes, type Reflex. Pour Actualité juive (28 février 2008), il s’agit tout simplement d’une « société de presse, fondée par des membres de la communauté juive proches du Parti socialiste ».
C’est évidemment tout autrement que son patron, Johan Weisz, présente son site :

Johan Weisz, journaliste indépendant ou militant communautaire ?
Succédant à StreetReporters, lancé en 2007, StreetPress a ouvert le 9 décembre 2009. Le chantre de cette presse de rue, Johan Weisz, ne vient pas franchement du journalisme, et encore moins de la rue. Johan Weisz est né Jonathan Myara le 10 avril 1983. « Aurait-il honte de ses origines sépharades ? », s’interrogeait Claude Barouch, président de l’Union des patrons juifs de France en juin 2008.
Jonathan Myara a été formé idéologiquement à l’Hachomer Hatzaïr, « la jeune garde », où il a été engagé dès son plus jeune âge. « L’Hachomer Hatzaïr est basée sur trois piliers fondamentaux : Le Sionisme, le Socialisme et le Judaïsme », indiquent les statuts du principal mouvement de jeunesse sioniste de gauche, où se nouent des amitiés durables. Implantée dans le quartier de Belleville à Paris, la branche française de ce mouvement international est affiliée au Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF). On compte parmi ses grands anciens des personnalités du monde politique comme Henri Weber (sénateur socialiste, ex-LCR), Christian Picquet (cadre de la LCR, puis du NPA, passé depuis lors au Front de gauche) ou encore des personnalités du monde du spectacle comme les acteurs Élie Kakou, Agnès Jaoui ou le réalisateur Alexandre Arcady…
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L’académie de médecine et le conseil de l’ordre ne sont pas favorables à l’euthanasie.
Abject, le conseil d’état se discrédite de plus en plus. Si l’affaire est renvoyée c’est pour que la décision d’assassinat intervienne après les élections au moment des vacances, ils sont lâches en plus !
La justice est pourrie à l’os : après l’abjection du « mur des cons » ces petits tortionnaires par délégation vont pratiquer l’eugénisme sur les handicapés comme dans les camps de dernière guerre (même sur les enfants en Belgique !).
Attention les collabos (politiques, journalistes, juges, et consorts de la culture de mort), le crime contre l’humanité est imprescriptible, vous serez rattrapés dans 20 ans, 30 ans, 70 ans comme vient de l’être le soldat allemand qui était membre de l’unité qui avait perpétré le massacre d’Oradour sur Glane (70 ans après).
La méfiance va s’imposer :
1) à l’encontre des médecins, la question qu’il va falloir se poser est : Est-ce un vrai médecin qui soigne ou un tueur à gages ?
2) à l’encontre des enseignants : est-ce un véritable éducateur ou un pervers qui va salir mes enfants ?
je sais que ce site est très anti-israélien mais sur ces questions,ils pourraient nous donner des leçons d’éthique,avec par exemple ariel sharon qui est resté dans un état végétatif pendant des années et qu’on a laissé vivre sans se demander comme pour vincent lambert s’il fallait mettre ou non fin à sa vie.
les parents de vincent lambert désirent que leur fils reste en vie,c’est le contraire qui serait choquant,apparemment il ne souffre pas,et ils ont contre eux le corps médical,qui veut mettre fin à sa vie;
dans un monde sans foi ni loi,sans religion,sans morale,doté d’une éthique qui sort d’on ne sait trop où,ces questions ne vont pas cesser de se multiplier.
pourquoi empecher quelqu’un,même en pleine santé,de se suicider,puisque l’état est officiellement sans religion?au nom de quoi on empecherait les gens de se tuer?on le fait par rapport à leur souffrance?comment on évalue leur souffrance?le gars qui perd ses deux bras dans un accident,on lui donne le droit de mourir?on lui interdit?
celui qui perd ses enfants dans un incendie?
tout se passe exactement comme les penseurs du 19ème siècle l’avaient prédit,on vit dans l’anarchie et l’arbitraire
des parents aiment leur fils et veulent qu’on ne mette pas fin à ses jours,de quel droit on tuerait leur fils?
s’ils s’accrochent à lui,c’est probablement qu’ils savent qu’il ne souffre pas;et au pire,comme l’avait écrit un jour le docteur dickes,si la vie est trop insupportable,un médecin peut induire un coma,un lourd sommeil,pouruqoi tuer puisqu’on a les moyens de garder en vie sans faire souffrir
il faut etre logique avec soi-même,si on autorise l’euthanasie (active),alors qu’on permette à tous ceux qui le désirent de l’être,ou bien qu’on l’autorise entièrement,il n’y a pas d’entre deux possible
[…] « Sire, ils ont voté la Mort… » – Conseil d’Etat versus Vincent Lambert 14 février 2014 Docteur Perrel […]
Vincent est dans un état végétatif irréversible.Pour lui épargner des nouvelles souffrances et malgré l’entêtement sectaire de ses parents,laissons le reposer en paix