L’avocate Lbgt Caroline Mécary se félicite sur les médias de la dernière victoire de la révolution arc-en-ciel : la reconnaissance par le Tribunal de Paris des familles à « parents multiples ». Le monde de l’illusion, du virtuel, de la contre-nature avance ces pions, gagne du terrain dans une indifférence quasi générale.

Le 7 janvier dernier, le juge aux affaires familiales a, en effet, validé une demande de délégation partage de l’autorité parentale entre quatre adultes. L’avocate Caroline Mécary, qui représentait les deux couples en présence, a ainsi salué, le 1er février sur Twitter, une « première », et « un pas de plus vers la pluriparentalité ».

Les faits écrit le quotidien La Croix, qui reste comme à son habitude sur la surface des choses sans réfléchir en profondeur sur l’abomination de la décision, « concernent un couple d’hommes gays et un couple de femmes lesbiennes, amis, qui ont eu ensemble deux enfants. Ainsi, l’un des hommes a eu un enfant avec l’une des femmes ; l’autre homme a eu un enfant avec l’autre femme. Depuis leur naissance, qui remonte à plusieurs années, les deux enfants sont élevés par ces quatre adultes ».

« Cette organisation consentie, continue le journal orange, benoitement, se heurte néanmoins, du point de vue des adultes, à des difficultés concrètes. Les conjoints de chacun des parents n’ont pas de statut légal vis-à-vis de l’enfant et ne peuvent donc pas exercer l’autorité parentale à son égard. Par exemple, ils ne peuvent pas l’accompagner à l’hôpital. Afin d’y remédier, le tribunal judiciaire de Paris, sur avis positif du ministère public, a accepté une délégation partage de l’autorité parentale dans deux jugements concomitants (un pour chaque enfant), rendus le 7 janvier.

« Dans la décision concernant l’enfant le plus jeune, que La Croix a pu consulter, le juge aux affaires familiales motive sa décision par le fait qu’« il ressort des pièces produites et des débats que (les adultes) ont construit un projet de parentalité à quatre. (…) Qu’ils ont su prendre en considération les besoins (des enfants) en fonction de leur âge, (…) qu’ils ont fait homologuer une convention parentale (…), et qu’ils exercent de fait l’autorité parentale sur l’enfant ensemble depuis sa naissance (…) ; que leurs échanges sont manifestement harmonieux (…). »

Caroline Mécary, passionaria de la culture gay, a bien raison de se réjouir d’une telle décision : c’est effectivement une victoire pour les lobbies arc-en-ciel… et une défaite sur le front de la défense de la famille traditionnelle et de la protection de l’enfance. Ainsi va ce monde soumis aux contre-valeurs de la Gaystapo.

Francesca de Villasmundo

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