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VENDÉE  – Non à la CANCEL CULTURE

Civitas Anjou était présent hier avec à sa tête comme il se doit, Jeanne, chef de la section de VENDÉE, pour protester contre le déboulonnage de la statue de l’archange Saint Michel aux Sables d’Olonne en Vendée.

300 personnes environ s’étaient rassemblées pour protester contre cette décision judiciaire, due à cette misérable association LA LIBRE PENSÉE.

Pour nous il ne s’agit ni d’un symbole culturel, ni d’un souvenir historique.

L’événement était chapeauté par cette vieille connaissance Z comme Zemmour, qui était absent tout comme le maire d’ailleurs. RECONQUÊTE a fait croire à la foule qu’ils allaient souder les boulons de la statue, et un soudeur semblait effectivement s’activer pour ce travail. Un de nos Vendéens, méfiant est allé vérifier ensuite et à constaté que c’était un bobard et qu’il n’y avait point de soudure.

L’événement qui s’est déroulé dans une ambiance typiquement vendéenne avec de multiples chants, s’est terminé autour de Jeanne, de son mari Olivier et de leurs enfants pour le chapelet respecté par les gens présents.

Que Saint Michel Archange soit particulièrement visé aux Sables d’Olonne en Vendée, ne doit rien au hasard.

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1 Commentaire
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Franck
Franck
il y a 8 années

Excellent article, parfaitement éclairant, avec un « angle d’attaque » inhabituel mais imparable me semble-t-il . Même et surtout pour la « bienpensance » de gooôooche universaliste et « humaniste » prise une bonne fois pour toute la main dans le pot de confiture.
Mais ils ont développé une telle culture du mensonge et du déni de réalité………….

Eric
Eric
il y a 8 années

Aujourd’hui, c’est le Réseau Salariat qui a repris le flambeau du catholicisme social : « Le salaire à vie (même) pour les nuls – Chapitre I » : http://www.reseau-salariat.info/432bd6817d5c01962c233e99426f10e1?lang=fr

Philippe de Baulias
Philippe de Baulias
il y a 8 années
Répondre  Eric

Pourquoi les Français ne seraient-ils pas assez grands pour s’organiser eux-mêmes ?

Daflon
Daflon
il y a 8 années

Tout ça est bien trop compliqué, et donc inapplicable. Le plus juste est d’expulser tous les musulmans. Nous n’avons pas besoin d’eux. A nous autres, employés et ouvriers, ils n’apportent que du malheur, nous ne voulons pas vivre avec eux. Je peux concevoir que les patrons s’en servent pour faire pression sur nos emplois et nos salaires et que c’est leur intérêt.
Mais ce n’est pas le nôtre, loin s’en faut. Pour nous l’immigration n’est que négative.

champar
champar
il y a 8 années

Il me semble qu’il y a confusion sur les mots :

– La préférence « sociale » n’est est pas une car il s’agit d’attribuer les aides sociales PUBLIQUES aux français (qui respectent la loi française), et non aux étrangers, cela me parait très clair.

– La préférence dite « économique » est d’un autre ordre car il s’agit de relations entre personnes privées donc ce sont les critères économiques qui doivent être prédominants (à l’exclusion de toute discrimination soit disant positive) à condition de cela respecte la loi française (donc les sans papiers ne doivent pas avoir un emploi en France) mais si l’étranger concerné a un titre de séjour régulier je ne vois pas pourquoi il serait exclu (s’il y a problème il faut lui retirer son titre de séjour), Quant aux « sans papiers »-clandestins, ils doivent être raccompagnés à la frontière (ce jour là vous coupez le courant au conseil d’état …).

Pour ce qui est des emplois publics, ils doivent être réservés aux français (comme cela était le cas il n’y a pas si longtemps en France …)

Philippe de Baulias
Philippe de Baulias
il y a 8 années
Répondre  champar

Il me semble qu’il aurait fallu lire l’article avant de le commenter, car il indique que le soi-disant volet économique n’est pas hermétique avec le social. D’autant plus qu’en l’état actuel des choses, il est impossible et injuste de vouloir couper la protection sociale d’un travailleur qui cotiserait pourtant pour… Ce serait la pire des choses. C’est donc tout le système qui serait à revoir. Et il faudrait aussi lui interdire d’être soigné en France (cas d’urgence, comment fait-on ?). Sachant que le « social » ne concerne pas que les « prestations » mais la globalité de la vie sociale : usage des routes, non-embauche des Français, résidence en France, etc. Ou le patron assume tous les coûts, ou alors il s’abstient. Mais dans la pensée de Hoppe, qui pose tous les vrais problèmes, c’est en fait à l’État moderne qu’il faut s’attaquer (et à la notion même de « nationalité » juridique).

Raiford
Raiford
il y a 8 années

La préférence nationale ne supporte aucune restriction. Point barre