« L’Eucharistie est le pain qui cherche la faim », Saint Augustin.
La peur du Covid19, la peur du gendarme, seraient-elles des causes suffisantes pour rendre notre faim supportable, pour nous faire perdre de vue le Vrai Sauveur ?
Quoi que puisse être ce virus (vrai, faux, artificiel, …), il ne peut objectivement pas justifier le dérèglement mortel de nos vies matérielles et encore moins de nos vies spirituelles. Toutes les interdictions concernant les sacrements ont été librement consenties voir anticipées… nous ne sommes pas des martyrs mais des incroyants lamentables. Dans ces conditions, nous ne méritons plus la Sainte Eucharistie.
Demander à qui que ce soit de nous rendre ce qui n’appartient à personne qu’à Dieu est le signe d’un grand dérèglement. Tout ce que nous vivons a été rendu possible grâce à notre manque de discernement, notre crédulité et notre manque de foi.
Si nous reprenions conscience que la force réside dans la Foi, que « le Seigneur est notre berger et que rien ne saurait nous manquer », que la seule chose que nous devons craindre est d’offenser Dieu, nous nous lèverions. Faire la queue devant une boulangerie pour le pain quotidien nous semble normal et vital… alors !?
Nos églises ouvertes ou fermées, sont les écrins du Saint Sacrement, de reliques de nos Saints, de nos plus beaux et douloureux souvenirs … Elles sont comme des poules au long coup et aux larges ailes pour abriter leurs petits. Retrouvons les pour implorer le Ciel et redevenir dignes de la Sainte Eucharistie. Prions ensemble devant les portes closes ou devant les tabernacles.
La liberté de demander l’aide de Dieu pour nos frères et nous-mêmes n’est pas un droit mais le DEVOIR du chrétien !
Le 8, le 10, le 21, le 31 mai et tous les dimanches retrouvons nos églises, retrouvons-nous pour l’amour de Dieu !
Stéphanie Bignon
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Signez la pétition pour la réouverture des églises et le droit d’assister à la sainte Messe
www.ouvronsnoseglises.com
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[…] Source et auteur: Médias-Presse-Info […]
Il devient urgent de cesser la retraite par répartition, où les enfants des uns financent les retraites de ceux qui se sont donné le luxe de ne pas « s’encombrer » d’enfants.
Pas de bras, pas de chocolat? pas de bébés, pas de retraite.
Une bonne nouvelle !
Car si l’état de crise perdure et s’amplifie partout dans le monde, en dépit de quelques pauses et exceptions ici ou là ; si le chômage et la pauvreté augmentent ; si les inégalités sociales se creusent ; si les revendications et les violences se multiplient ; si l’environnement se dégrade chaque jour davantage, les raisons en sont l’augmentation considérable de la population mondiale et celle de la richesse globale qu’une partie de cette même population génère par son activité, avec l’aide du progrès ; le partage de cette richesse, entre nations comme entre individus, étant une toute autre affaire où s’affrontent, moins des faites et des chiffres que des sentiments.
Chaque jour, 220 à 250 000 êtres humains supplémentaires déferlent sur la planète. Par l’effet de la structure pyramidale de la société et du sort qui les fait naître ce qu’ils sont ; assujettis aux taux de natalité les plus élevés, les pauvres qui représentent la grande majorité de ces nouveaux arrivants vont s’ajouter à ceux qui surpeuplent déjà la base de la pyramide sociale – où les rejoignent les victimes de tous horizons d’une bataille pour l’emploi aux dimensions planétaires –, pendant que son sommet ne cesse de s’élever.
Et c’est ainsi que le nombre nous entraîne vers un monde ingouvernable et la pauvreté pour tous.
Pour approfondir cette réaction, voir :
http://claudec-abominablepyramidesociale.blogspot.com
Concernant le commentaire de @CB, les personnes qui « ne se sont pas encombrés d’enfants » ont d’une part payé plus d’impôts que les autres (ce qui a permis d’en exonérer en partie ce qui ont fait des enfants) et d’autre part ont cotisé pour leur propre retraite (ce qui a permis de financer « en temps réel » la retraite des retraités du moment: l’argument ne me semble donc pas recevable…
Concernant l’impact des « telenovelas », il est tout à fait indéniable et c’est d’ailleurs de cette façon que l’ONG « Population Media Center » oeuvre dans les pays où la démographie continue d’exploser (Afrique subsaharienne, en particulier). Il faut bien comprendre que des taux de fécondité de 5, 6 ou 7 sont une catastrophe pour les pays qui y sont encore confrontés, car cela correspond au doublement (voire au triplement) de la population tous les 20 ans. Nombre d’entre eux n’ont d’ailleurs d’ores et déjà plus assez de terres arables, ni d’eau douce, pour alimenter leur population.
Je ne parle même pas des densités de population que certains pays vont connaître en 2050 (dans 37 ans seulement!), à comparer avec « nos » 116 hab/km²:
Nigeria (481 hab/km²), Inde (503 hab/km²),Philippines (507 hab/km²),Haïti (607 hab/km²),Rwanda (923 hab/km²),Burundi (1.036 hab/km²),Bangladesh (1.403 hab/km²).
Pour ne prendre que l’exemple extrême du Bangladesh, avec la densité qui y est prévue en 2050, la France compterait 774 millions d’habitants, soit 700 millions de plus que ce qui est prévu : si l’enfer existe, nous en aurions alors une préfiguration…
Un effondrement qui voit passer la population de 3milliards d’humains en 1960 à 7 milliards en 2011, à8,6 milliards en 2050 et sans doute à 10 milliards en 2100 ne s’appelle pas un effondrement mais une hausse vertigineuse. Cela s’appelle aussi une catastrophe.
Un effondrement ? Quel effondrement ? Au cours des 40 dernières années la Terre a « gagné » plus d’habitants qu’au cours des 100 000 ans précédents !
Au Mexique dites-vous le taux de croissance de la population (hors migrations) a diminué, certes et heureusement, mais sachez qu’il est encore de 1,5 % par an (mortalité 4 pour mille, natalité 19 pour 1000, source: Ined. 2013)soit une perspective de doublement en 47 ans.
Vous ne semblez jamais poser la question de la place disponible. Où mettrons-nous les gens ? Faites-vous le choix de l’entassement ou celui de la destruction des derniers écosystèmes ? A terme nous aurons d’ailleurs les deux et c’est déjà le cas dans nombre de pays. Regardez une courbe d’évolution de la population sur les 2000 dernières années. L’asymptote à cette courbe est verticale, ce n’est pas le dessin d’un effondrement c’est celui d’une croissance exponentielle (avec un facteur multiplicateur supérieur à 1 pour être précis). Ce genre d’évolution n’a de sens que dans le monde mathématique, dans le monde réel, de dimensions finies, il conduit par nature à la catastrophe.
[…] Quand les séries télés influencent la démographie… 14 décembre 2013 Pierre-Alain Depauw […]
[…] Sursă: Medias Press […]