“La théorie du Genre n’existe pas” tel est le refrain ressassé en continu par les ministres d’un Gouvernement socialiste beaucoup plus soudé pour l’occasion que quand il s’agit d’évoquer l’avenir du nucléaire.

Folles “Rumeurs” selon d’autres membres du gouvernement repris en chœur par la quasi totalité des médias.

Circulez braves gens, il n’y a rien à voir!

Pourtant, Tout en qualifiant paradoxalement lui aussi ce fait de “rumeur”. Claude Bartolone, président de l’Assemblée Nationale, a néanmoins rappelé ce 2 février sur France 5 , que déjà en 2011 il avait été question de l’introduction de la théorie du genre à l’école.

En effet, le locataire de l’hôtel de Lassay dit se souvenir d’une polémique qui avait opposé à l’époque, Luc Chatel, ministre de l’Education Nationale, avec des responsables catholiques outrés par la présence d’un chapitre concernant la théorie du genre dans des manuels scolaires.

Alors, si le quatrième personnage de l’Etat, lui-même, vous le dit !


 

Nous avons retrouvés une séquence vidéo dans laquelle on voit, à l’Assemblée Nationale, le député Philippe Gosselin interroger le ministre de l’éducation nationale de l’époque, Luc Chatel (UMP), au sujet de la présence d’un chapitre concernant la théorie du genre dans des manuels scolaires.

On remarquera que le député Philippe Gosselin décrira parfaitement dans l’hémicycle, la réalité de la théorie du genre et ce, chiffres à l’appui. Ce qui exclut tout malentendu.

D’ailleurs, Luc Chatel ne prétendra pas que la théorie du genre n’existe pas ou qu’elle est absente des manuels scolaires. Au contraire, il s’abritera derrière la “liberté éditoriale” des éditeurs de manuels scolaire pour tenter de justifier la présence confirmée de ce genre de chapitre dans des manuels scolaires.


Une preuve de plus que ni la théorie du genre, ni son enseignement en milieu scolaire ne sont une “rumeur”.
Ou si l’on veut appeler cela une “rumeur”, preuve supplémentaire est faite que c’est une “rumeur” justifiée et factuelle. Une “rumeur” qui illustre plus que parfaitement l’adage: “il n’y a pas de fumée sans feu”.

C’était en 2011 à l’Assemblée Nationale.
Mais pour Najat Vallaud Belkacem, ministre et porte-parole du gouvernement socialiste, la “théorie du genre n’existe pas”.
La “rumeur” va bientôt courir , preuve supplémentaire du mépris de l’exécutif vis à vis du Peuple de France, que les ministres socialistes ne trouvent pas utile d’enrichir leur culture de ce qui se passe ou se dit au Parlement.
Quand à Vincent Peillon, la “rumeur” qui risque de se propager dira certainement que le ministre de l’éducation nationale, bien que diplômé, ne maîtrise pas le contenu de manuels scolaires élémentaires.

Enfin question perspectives, devant la prise de conscience générale qui est en train de s’effectuer sur ce sujet, en dépit de la désinformation qui aura atteint, on peut le dire, un paroxysme.
Il faut s’attendre à ce que le chœur: gouvernement – médias aux ordres et autres vassaux du système, nous interprète assez rapidement la suite de l’antienne, très connue des avocats d’une certaine forme de multirécidivistes, le célébrissime : “1/ C’est pas vrai  – 2/ C’est pas moi  – 3/ C’est pas grave”.

L’exorde du “c’est pas vrai” étant sur le point de faire long feu, il va être temps de passer à la suite, qui promet d’ors et déjà d’être palpitante dans sa déclinaison, autant le couplet du “c’est pas moi” que la péroraison du “c’est pas grave.”

Affaire à suivre.

 

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

4 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !