Cette phrase pourrait être le slogan de notre gouvernement, pardon de nos gouvernants dans la gestion de la « crise sanitaire ».
Il s’agit la pourtant d’une réplique de l’immense Louis Jouvet dans « Knock » (pour les jeunes générations, sans doute le meilleur acteur français de la première partie du XXème Siècle).
Pièce de théâtre à l’origine crée en 1923 par Jules Romains, puis adapté au cinéma en 1951, je ne peux qu’inviter nos lecteurs à regarder ce film*, d’une part pour la magistrale interprétation de Louis Jouvet, d’autre part pour y retrouver cette France rurale d’autrefois, qui aura pour les progressistes de gauche (pléonasme) une odeur rance.
Eh oui, ici nous ne trouverons pas de violence, pas de sexe, aucune couleur de l’arc en ciel, pas de « souffrance sociale », ingrédients à la mode désormais dans la quasi-totalité des films et des séries qui jalonnent désormais notre quotidien.
N’ayant pas ici vocation à dévoiler le contenu du film et son intrigue, vous y trouverez cependant de nombreuses similitudes avec la situation actuelle que nous connaissons depuis 18 mois, le film porte à réfléchir sur la capacité de certains de nos semblables à manipuler, séduire, mentir, pour des raisons financières, de pouvoir … sans la moindre morale… et tout cela sans la moindre violence… juste en inoculant la crainte, le doute…
C’est exactement ce que fait ce gouvernement, avec des ministres aux ordres, qui ne sont plus à une contradiction, un mensonge, une contre-vérité.
Pour résumer, et puisque nous sommes dans le cinéma, pour illustrer mes propos je me permets de citer cette réplique de L’armoire volante (Film de 1948 avec Fernandel) : « un ministre qui tiendrait ses promesses ce serait un parjure ». Comme vous pouvez le constater, tout est dit en quelques mots.
Le problème majeur, ç’est que nous ne sommes pas dans un film, il s’agit bien de la réalité, mais ne désespérons pas, mobilisons nous plus que jamais, ne perdons pas la foi… il est temps que le camp de la dissidence (devrais-je dire le camp de la vérité) dépasse certains clivages, c’est un vœu pieux, j’en suis bien conscient, mais soyons solidaires, mettons un mouchoir sur notre orgueil, vous, moi, soyons persuasifs avec les hésitants, ignorons nos ennemis (je précise ici dans le débat des idées puisque tout dialogue est impossible), ce sont ici les clés de la réussite de notre combat.
Koba
« Jusqu’ici tout va bien… ou presque »
*à ne pas confondre avec le Knock de 2017 (avec Omar Sy), qui est une adaptation anachronique (une de plus) visant surtout à mettre en avant une diversité qui n’existait pas à cette époque… servant uniquement la soupe aux élites bienpensantes…
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
oui, oui , mais c ‘est SUR , un déséquilibré
Mais comme par hasard il était musulman…
oooooooo
J’aimerais bien voir la tête du « Français ».
Bonne question !
j’ai déjà posé la question hier soir à A F P mais sans succès ….
Le sous-chef de la police de l’État fédéral du Queensland en Australie (qui s’appelle Gollschewski, pas Gollschewsk) a dit au rapporteur d’un journal queenslandais : « Il ne s’agit pas ici de race ou de religion. Il s’agit d’un comportement d’un individuel. » (En même temps, on rapporte le cri de « Allahu akbar » qui a été entendu par la police ; il en résulte que ce cri a été poussé bien après l’attentat.)
Ce que veut dire un policier australien par les paroles citées, c’est : « Nous voilà ici devant des faits objectivement criminels, que nous avons poursuivis comme tels. La question de savoir le degré de culpabilité d l’assassin n’est pas une question pour la police. Il est à l’hôpital et sera traduit en justice. »
de « This is not about race or religion.
« It is individual criminal behaviour. »
(excusez les fautes typographiques ; il faut lire : « le degré de culpabilité de l’assassin » et biffer le « de » qui commence le prochain alinéa)
Smail Ayad, un français pure souche qui va prêcher la bonne parole jusqu’aux antipodes
on est en train de redevenir un pays de missionnaires