Lors d’une conférence de presse mardi, le président américain Donald Trump a déclaré ne pas comprendre pourquoi une vidéo diffusée en direct par un collectif de médecins défendant l’usage de l’hydroxychloroquine dans le traitement du Covid, avait été censurée la veille par Facebook, Twitter et YouTube après avoir été visionnée 17 millions de fois en 24 heures…  

La vidéo interdite avait été initialement publiée par Breitbart News, puis bloquée par les tyrans de Big Tech sur tous les réseaux sociaux de Breitbart, pour avoir prétendument “violé les politiques respectives de Facebook, Twitter et YouTube sur la désinformation au sujet du  Covid-19”.  

Donald Trump en avait lui-même partagé des extraits avec ses abonnés, mais Twitter avait poussé l’impudence jusqu’à censurer le président des Etats-Unis en supprimant immédiatement ces extraits de son compte.

Son fils, Donald Trump Jr., qui avait également fait quelques partages, avait vu Twitter lui suspendre son compte pendant 12 heures. Son porte-parole s’en était plaint, déclarant que les géants de Big Tech étaient aujourd’hui “la plus grande menace à la liberté d’expression en Amérique, avec leurs ingérences non dissimulées dans le processus électoral.” 

Breitbart ne se l’est pas tenu pour dit et, bravant l’interdit, a retransmis le même jour en direct une deuxième conférence de presse du groupe des médecins “American Frontline Doctors”, réunis sur la colline du Capitole pour conclure leur “Sommet des blouses blanches”. Leur message optimiste adressé en live stream aux Américains était en substance qu’il leur fallait cesser de paniquer car un traitement à l’efficacité avérée existait contre le Covid-19 : un cocktail d’hydroxychloroquine, substance approuvée de longue date par la FDA (Food and Drug Administration), de zinc et d’azithromycine.  

Les médecins en blouse blanche expliquaient, à l’intention de ceux que les medias avaient abusés, que l’étude du Lancet qui avait réussi à faire interdire la chloroquine il y a deux mois, avait par la suite été discréditée. Mais même après sa rétractation par le Lancet, le doute qui s’était incrusté dans les esprits n’avait pas encore été dissipé.

Ils expliquaient aussi que la censure s’était déchaînée contre eux pour leur couper la parole. Leur site web: “American Frontline Doctors”, hébergé sur @Squarespace, avait été complètement démantelé au prétexte qu’il propageait des allegations frauduleuses et il affichait à présent la mention “ Website Expired”. Ils engageaient donc leurs lecteurs à se rendre directement sur le site officiel du CDC (Center for Disease Control) pour vérifier par eux-mêmes la véracité de leur message sur l’innocuité de la chloroquine, substance vieille de 75 ans et toujours utilisée pour le traitement de la malaria. Il devaient oser l’espoir et “redevenir des Américains”, non pas rester terrés chez eux, apeurés, et sombrer dans la neurasthénie. Un psychiatre et un neurologue prirent la parole pour évoquer les ravages que la peur panique et la dépression créaient chez tous, jeunes et moins jeunes, et qui valaient largement ceux du Covid.

Vers la fin de la vidéo, un hurluberlu s’était approché pour invectiver le groupe des blouses blanches avec force imprécations apocalyptiques. Quand il s’éloigna finalement, on pouvait clairement voir sur le chariot qu’il traînait une pancarte portant l’inscription “BLM” (Black Lives Matter). C’est là un détail  révélateur du méli-mélo idéologique dont se servent les “Commies” (Communistes) pour prendre d’assaut l’Amérique, et où le racisme anti-blancs prête sans vergogne main-forte au lobby vaccinal.

La première vidéo censurée par YouTube et Twitter avait entretemps réapparu sur UgeTube et elle peut être visionnée ici. (Sa transcription est consultable sur le site archive.today). 

Une doctoresse nigériane du groupe de médecins, Dr. Stella Immanuel, y fait un plaidoyer passionné en faveur de l’hydroxychloroquine, approuvée en 2005 par le même Dr. Anthony Fauci qui l’a faite interdire en 2020, pour le traitement d’un autre coronavirus, semblable à 79% au Covid-19.

Dr. Immanuel dit l’avoir administrée à 350 de ses patients atteints du Covid, dont certains étaient diabétiques, asthmatiques ou âgés (92 ans), et avoir enregistré un taux de guérison de 100%. 

Dans la foulée, Dr. Immanuel se lance dans une attaque en règle contre les “scientifiques” de la chaîne gauchiste CNN, dont toutes les émissions sont dédiées au comptage anxiogène des morts. Quelle expérience des chirurgiens plastiques ou des radiologues peuvent-ils avoir en matière de Covid-19, lance-t-elle ? Ciblant le neurologue Dr. Sanjay Gupta, correspondant médical incontournable de CNN, elle le tance : “Dr. Gupta, avez-vous jamais eu un seul patient du Covid en consultation ? Lorsque vous en aurez, revenez me parler!

S’en prendre ainsi au bastion de l’idéologie sorosienne explique que les couteaux se soient aiguisés pour la dépecer. Le site Snopes (lui-même financé par Soros) lui a consacré une bonne partie d’un long article pour mettre en doute ses qualifications et sa pratique médicale, et pour en faire une douce illuminée à moitié sorcière.

Le message des Blouses Blanches aux Américains est clair et direct : – L’hydroxychloroquine est d’une efficacité imparable, pour la prophylaxie ou le traitement du Covid. 

  • Ceux qui soutiennent le contraire vous mentent. 

– Les études conduites à l’appui de leurs mensonges sont bidonnées et se fondent sur des doses douze fois supérieures à la normale. A doses toxiques, résultats toxiques : 2.400 mg dès le premier jour, alors qu’à titre prophylactique, 200 mg seulement sont nécessaires et seulement deux fois la semaine.

– S’il vous semble qu’il existe une attaque orchestrée en cours contre l’hydroxychloroquine, c’est qu’il y en a une.

– Il vous faut réclamer de vos élus parlementaires de “libérer” l’hydroxychloroquine. Elle est actuellement interdite aux Etats-Unis. Non seulement les médecins n’ont pas le droit de la prescrire, mais les pharmaciens ont l’interdiction de la délivrer, même sur ordonnance.

Pour en savoir davantage, aller sur le site : medicineuncensored.com, administré par le Dr. James Todaro.

Et sur Twitter, rechercher le hashtag #freehydroxychloroquine

 #freehydroxychloroquine

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