Dans l’affaire du vandalisme, à coups de barre de fer, de trois statues et de deux santons de la crèche en la basilique de Saint-Denis (93), le plus étonnant, ce n’est ni que l’information ait été sortie par un site d’information indépendant (Boulevard Voltaire) puis la presse russe en France (RT, Sputnik), ni que le vandale ait finalement été attrapé, mais la réaction du diocèse, presque plus fâché que l’information soit sortie que du vandalisme en lui-même.

“Il s’agit de l’acte isolé d’une personne fragile. Nous regrettons que certains se soient emparés de ce fait divers pour en faire ce qu’il n’est pas. Aucune parole, aucun geste de menace n’a été proféré“, indique le diocèse dans le Figaro, ajoutant que les statues “se sont fracturées en tombant” et “ne représentent pas de valeur patrimoniale“.

Le guyanais à l’origine du vandalisme sera jugé le 24 février prochain.

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