Anthony Fauci, ancien chef de l’équipe de lutte contre le Covid de la Maison Blanche et directeur du NIAD (The National Institute for Allergy and Infectious Diseases) avait admis devant une Commission d’enquête du Sénat américain en mai dernier qu’un futur vaccin ne serait pas d’une efficacité prouvée et pourrait même intensifier la virulence du virus.
Cette confession inattendue faite sous peine de parjure venait conforter bien d’autres mises en gardes émanant de médecins intègres comme Dr. Alexandra Henrion-Claude, les professeurs Perrone, Toussaint, Montagnier et Fourtillan, et l’ancien directeur des recherches du laboratoire Pfizer Michael Yeadon, pour ne citer qu’eux.
Yves Van Leathem (chef de clinique des maladies infectieuses au CHU Saint-Pierre, ancien président de la Société belge de Médecine interne, membre du Bureau du Conseil supérieur de la Santé, et président de la section vaccination de ce conseil) estimait, quant à lui, que les personnes vaccinées peuvent aussi faire courir un risque aux autres :
 
« Il est possible que les personnes vaccinées, tout en étant protégées elles-mêmes contre la maladie, puissent transmettre le virus. Il faudra donc toujours tester les personnes vaccinées en cas de symptômes ou d’un contact à haut risque avec une personne contaminée. »
 
Puisque les deux groupes de personnes, les vaccinées et les autres, transmettent également le virus aux autres, le refus des anti-vaccins ne devrait-il pas être une affaire personnelle? Alors, pourquoi interdire aux non-vaccinés l’accès des endroits publics ? Et pourquoi cette obstination à vacciner quand on sait le danger que représentent les vaccins ?
 

 
Car les élites appellent bel et bien à cor et à cris à la vaccination universelle, et elles l’ont même fait dès avant la mise sur le marché du premier vaccin.

Comme dans ce tweet de Christophe Barbier (@C_Barbier) du magazine l’Express, en date du 10 novembre :
«Faut-il rendre la vaccination contre la Covid obligatoire ? Essayons d’être plus malins que brutaux! Mon édito vidéo du jour.»
Barbier y expliquait que le passeport sanitaire n’était pas une théorie du complot, mais bien une réalité qui était à nos portes :
« Soit je me vaccine et j’ai le droit de participer à des moments collectifs, soit je préfère ne pas être vacciné et dans ce cas-là je renonce, et laisse l’exclusivité de ces activités aux vaccinés. »
Selon lui, la raison de cette exclusion sociale était que la personne qui refusait le vaccin faisait courir un risque aux autres en ne participant pas à l’immunité collective.
 
On ne peut que marquer son étonnement de cette logique d’exclusion prônée par ceux qui n’avaient  que les mots “inclusion” et “inclusif” à la bouche quand il s’agissait de faire accepter tout et n’importe quoi aux peuples : la migration sauvage, la préférence  donnée à l’étranger, la théorie du genre, le mariage pour tous et toute sorte d’autres aberrations.
Et comme la mauvaise foi des élites et de leurs laquais est sans limites, CNN a osé dire :
« Ne soyez pas alarmés si des personnes commencent à mourir après avoir été vaccinées, car « des décès peuvent survenir sans nécessairement avoir de rapport avec le #vaccin» .»
Il est clair que ce vaccin, qu’on nous pousse à accepter quel qu’en soit le prix, ne répond pas à des impératifs sanitaires mais à un agenda.  
Il est également évident que les élites ont grande hâte de l’administrer au plus grand nombre. Les accidents vaccinaux que l’on recense déjà à la pelle mais sur lesquels les grands médias gardent pudiquement le silence serviront à accréditer la « 3ème vague» meurtrière. 
Pour s’assurer qu’il n’y ait dans l’immédiat aucune autre alternative au vaccin, la principale usine de production de l’hydroxychloroquine à Taïwan est partie en fumée il y a deux jours.

 

 
« La vaccination obligatoire, qui revient à une expérimentation humaine sans consentement, est contraire au Code de Nuremberg », expliquait Mary Holland, docteur en droit et professeur d’Université à la tribune des Nations Unies, le 4 mai 2016.
 

Est-ce pour contourner les normes péremptoires du droit international issu de Nuremberg que des manoeuvres sont en cours pour reclasser la vaccination et, de geste médical qu’elle était, en faire une mesure administrative ?

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