Dès le début de “l’affaire Théo”, les médias du système nous montraient en boucle des images de banlieusards affirmant la main sur le cÅ“ur que le pauvre Théo est un “gamin” modèle, irréprochable,…

Quelques émeutes plus tard, la presse, plus discrète, révèle que Théo et sa famille font l’objet d’une enquête financière pour abus de confiance et escroquerie.

Les montants détournés avoisineraient la coquette somme de 678.000 euros dont 52.000 euros sur le seul compte de Théo.

Le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) avait ouvert cette enquête pour « suspicion d’abus de confiance et escroquerie » en juin dernier, soit bien avant “l’affaire Théo”.

“Tout commence courant 2015 par un contrôle de l’Inspection du travail d’Ile-de-France concernant l’association Aulnay Events dont le président est Mickael Luhaka, l’un des frères de Théo. L’association est censée avoir embauché 30 salariés, formés pour être animateurs de rue. Le but d’Aulnay Events ? Lutter contre la violence dans le département… L’association aurait reçu, entre janvier 2014 et juin 2016, 678 000 euros de subvention d’Etat par le biais de contrats d’accompagnement à l’emploi, dit contrat aidés. Mickael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes S’agit-il d’employés fantômes ? Lors du contrôle de l’Inspection du Travail aucun élément matériel probant n’a pu être produit par les dirigeants de l’association pour étayer la réalité des emplois. Par ailleurs, plus de 350 000 euros de cotisation sociales, notamment URSSAF, n’ont pas été réglées. Entre temps, l’association a mis la clef sous la porte. D’où un signalement en avril 2016 de l’Inspection du Travail auprès du procureur de la République de Bobigny. Toujours selon nos informations, les investigations des policiers du SDPJ 93 auraient montré que huit membres de la famille Luhaka, tous habitant à Aulnay-sous-Bois, ont perçu de l’association plus de 170 000 euros par virement, dont 52 000 euros sur le seul compte de Théo. Contacté par « Le Parisien », Mickael Luhaka se défend d’avoir employé des salariés fantômes, précisant avoir recruté en CDI plus d’une trentaine de salariés, dont les membres de sa famille. Il confirme avoir été interdit bancaire, tout comme son frère.” (Le Parisien)

Le quotidien Le Parisien avoue que ce rebondissement “embarrasse les autorités, et ce jusqu’au plus haut sommet de l’Etat”.

Quoi, François Hollande se serait rendu au chevet d’un escroc ?

Et la télé, les artistes, les gauchistes, tous auraient participé à la mise en valeur d’un coquin ?

A force de mentir au Français moyen, il pourrait même finir par douter de la version gaucho-télévisée du viol de Théo…

 

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