Aveu d’un journaliste du système : tromperie et mensonges « pour ne pas réveiller le populisme ». Ainsi, par exemple, lors d’une « tournante » avec Ali, Mohamed et Mokhtar, les journalistes au collier préfèrent faussement les prénommer Alain , Michel et Maurice. Aimable pour les prénoms chrétiens.
« Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde », dixit l’écrivain Camus
Quel aveu de ce journaliste ! Les médias cachent systématiquement l’origine ethnique des agresseurs.#LaRacailleTue pic.twitter.com/FHC86crrts
— Damoclès (@Damocles_Fr) July 11, 2020
Francesca de Villasmundo
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Dans les années 76-80 les modernistes nous disaient avec mépris que le refus des nouveautés de Vatican II et l’attachement à la Messe de toujours ne concernaient que quelques fidèles français. Ces pauvres fidèles de la Tradition étaient des nostalgiques de l’Action française.
On voit qu’il n’en est rien. La Fraternité St Pie X est bien une oeuvre internationale présente dans de très nombreux pays du monde.
Merci Mgr Lefebvre.
Deo gratias.
Mgr Lefebvre a sauvé l’ Eglise du naufrage où des pervers comme Dingoglio la conduisent .
Il ne fut pas le seul.
Réponse à Madame Geneviève : malheureusement si. Mgr Lefebvre et Mgr de Castro-Mayer furent les deux seuls évêques à maintenir la Tradition après le concile.
Les évêques du Coetus internationlais Patrum (qui étaient plusieurs centaines) qui défendirent la Tradition au concile n’eurent pas le courage de la maintenir après le concile.
Même le cardinal Siri qui était traditionaliste appliqua les réformes dans le diocèse de Gênes tout en restant conservateur.
C’est bien affligeant mais c’est ainsi.
Il faut toutefois souligner le grand mérite des cardinaux Ottaviani et Bacci qui publièrent le célèbre examen critique de la nouvelle messe qui demeure l’étude la plus complète sur les erreurs doctrinales de la messe protestantisée du franc-maçon Bugnini.
Ce bref examen critique est une référence et les modernistes eux mêmes n’ont pas été capables de le réfuter.
Réponse à M Cadoudal : c’est Jean XXIII qui a commencé à détruire l’Eglise avec Vatican II. Dès l’ouverture du concile le pape donnait le ton en fustigeant les « prophètes de malheur » et en disant que désormais il ne fallait plus condamner l’erreur. C’est Jean XXIII qui imposa des théologiens déjà condamnés par le Saint Office malgré l’opposition du cardinal Ottaviani. Ensuite Paul VI et Jean-Paul II continuèrent cette entreprise de démolition en faisant entrer le modernisme dans l’Eglise : textes hététiques du concile, puis oecuménisme délirant de Jean-Paul II.
Voila ce qui est à l’origine des délires du pape actuel.
Ceci précisé, vous avez entièrement raison : Mgr Lefebvre a bien sauvé l’Eglise et surtout la Foi.