Le Conseil d’Etat vient de rejeter en bloc les 5 référés libertés déposés contre le dernier décret gouvernemental du 25 novembre encadrant la gestion sanitaire. « Selon le Conseil d’Etat, explique Jean-Frédéric Poisson dont le mouvement Via – La Voix du peuple était à l’origine d’un des référés, la liberté n’est pas bafouée, la vaccination de fait n’est pas obligatoire, les 24h de validité des tests est justifiées. Vit-on dans la même France ? »
La Voie du peuple estimait « qu’en raccourcissant de 72 à 24 heures la validité des tests ouvrant droit à l’obtention d’un passe-vaccinal, mesure au demeurant liberticide, le Gouvernement instaure un délai globalement inapplicable, faisant apparaître clairement que l’objectif visé n’est plus de lutter contre la propagation de l’épidémie mais bien d’aboutir à ce que tous les Français se fassent vacciner. C’est ainsi que cette nouvelle règle est dénoncée dans le mémoire en référé comme une ingérence disproportionnée dans la vie privée des personnes et une mesure discriminatoire dans le droit à l’accès aux soins. Ce qui démontre la stratégie évidente du Gouvernement de rendre la vaccination contrainte et donc obligatoire alors même qu’aucune obligation vaccinale ne peut être établie, tant en droit français et européen. »
Parmi les autres requérants se trouvaient également l’association Bon Sens ou le Cercle Droit et Liberté. Bon sens était représenté par Maître Diane Protat qui a bien démonté dans un entretien avec France Soir réalisé quelques jours avant l’audience du 8 décembre devant le Conseil d’Etat « les arguments avancés par le Conseil d’État afin de valider le principe du passe sanitaire. ‘’ Au départ, [il] n’était prévu que pour les rassemblements de plus de 5 000 personnes. […] Donc le Conseil d’État avait considéré que l’atteinte aux libertés fondamentales était limitée, car cela ne concernait pas les activités de la vie quotidienne. » Un argument rendu caduc par l’extension du passe sanitaire à la suite du discours d’Emmanuel Macron du 12 juillet. La juriste fustige également le déremboursement des tests pour les non-vaccinés. « C’est comme si l’on faisait payer la radio des poumons à un fumeur », remarque-t-elle. Plus important encore : « Le Conseil d’État considérait que l’extension du passe sanitaire était encore tolérable […] tant qu’il demeurait possible pour les non vaccinés de faire des tests gratuitement et que la durée de ces derniers n’était pas limitée. » Ainsi là-encore, ces réserves ne sont plus d’actualité aujourd’hui. »
Que le Conseil d’Etat, normalement garant des libertés fondamentales des Français, soit devenu à la faveur de la crise covidiote un instrument de collaboration en faveur de la dictature sanitaire macronienne, il n’est plus possible d’en douter.
Pour lire notre Communiqué de Presse : https://t.co/npHk3MMztw pic.twitter.com/W8nF6QRWT4
— Droit & Liberté (@CercleDL) December 14, 2021
Francesca de Villasmundo
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Il pourrait aussi avoir deux pères et trois mères et aussi des manipulations noyaux et mitochondries humains-animaux rejoignant ainsi le célèbre roman de science-fiction les Seigneurs de l’instrumentalité de Cordwainer Smith.
Mais jusqu’où ira-t-on dans la décadence. Je plains ces pauvres enfants ! On ne joue pas au sorcier avec des sujets aussi graves et délicats. Sans compter les difficultés que pourront rencontrer ces adultes dans l’avenir. Jalousie, divorce……
Alors…. vers l’homme artificiel ?
Toutes ces découvertes posent la question de l’avenir de l’homme. Mais quelle sera la transgression suprême qui fera disparaître l’espèce humaine elle-même ?
» …J.P. Dickès avec tout son savoir de médecin et sa sagesse de catholique, éclaire, en les mettant en perspective, la multitude de transgressions qui aujourd’hui convergent vers la réalisation d’un projet fou : remodeler l’homme, le refaire en quelque sorte à sa propre image, à sa volonté de puissance et de rupture avec l’ordre naturel des choses.
Ce livre est comme un clairon, il sonne le réveil pour que n’advienne pas cette dictature, cette tyrannie de la science sans conscience qui rêve le « transhumain » et la maîtrise absolue de la vie. Il faut le lire !… »
– Jeanne Smits.
Plus d’information : http://www.livresenfamille.fr/p7107-jean_pierre_dickes_ultime_transgression.html
Il ne reste plus qu’à appliquer le slogan de manipulation mentale de la LGBT à savoir:
« mariage de tous pour tous » c’est à dire célébrer des cérémonie de mariage avec 4 ou 5 personnes ou plus (le total des fournisseurs de mélange génétique) pour RESPONSABILISER les donneurs/vendeurs devant la Loi
Donc le mariage collectif, sinon on peut dire » A QUI appartient la progéniture issue du mélange,? Qui en est responsable ? Qui dispose de droits d’auteurs compositeurs sur le résultat ? Qui versera la pension alimentaire ? Ect….
la PROCREATION COLLECTIVE EUGENISTE débouchera telle sur la PARENTALITE COLLECTIVE ?
On est sûr qu’elle débouchera sur LA VENTE DES ENFANTS ET SUR L’INTERDICTION DE FAIRE DES ENFANTS de façon traditionnelle sauf à payer une taxe sur la procréation traditionnelle (100 000 € pour obtenir ce droit par enfant)
Les enfants sont une charge pour cette société sans vie.
On passe de Dugesclin à Dudéclin.