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Après la réintégration du personnel de santé suspendu par l’ancien gouvernement depuis la pseudo-pandémie à cause de leur refus d’être « vacciné » contre la covid, voici un autre pavé dans la mare du narratif covidien en Italie.

Le vice-ministre de la Santé du nouveau gouvernement mené par Giorgia Meloni a déclenché la controverse mardi après avoir déclaré qu’il n’y avait aucune preuve que les vaccins contre la Covid-19 fonctionnaient réellement.

Interrogé à la télévision si l’Italie avait enregistré encore plus de décès liés au Covid si elle n’avait pas de vaccins, Marcello Gemmato a répondu :

« c’est vous qui le dites. Nous n’avons pas la charge de la preuve inverse ».

« Mais je ne tombe pas dans le piège de prendre parti pour ou contre les vaccins » a déclaré le sous-secrétaire au diffuseur d’État Rai, tout en dénonçant l’approche « idéologique » du précédent gouvernement de Mario Draghi lors de la crise covidienne.

Sous l’ancienne législature, en tant que député des Frères d’Italie, le parti de droite dirigé par le Premier ministre Giorgia Meloni, le pharmacien de profession s’est opposé à l’obligation vaccinale contre la covid et au passe sanitaire, appelé Green Pass en Italie, équivalent à une preuve de vaccination requise pour accéder à la plupart des espaces publics.

L’Italie a été le premier pays européen à faire face au coronavirus au début de 2020, et avait certaines des restrictions les plus strictes.

Les commentaires de Gemmato ont poussé certains opposants politiques, dont la tête du Parti démocrate de centre-gauche Enrico Letta, à demander sa démission du gouvernement.

« Un sous-secrétaire à la santé qui ne prend pas ses distances avec les ‘no-vax’ est certainement au mauvais poste » a écrit le chef du parti centriste Action, Carlo Calenda, sur Twitter.

Marcello Gemmato est toujours à son poste.

Francesca de Villasmundo

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Bouitté
Bouitté
il y a 10 années

 » Moi Président, je n’aurai qu’un seul ennemi : la Finance »

Lou
Lou
il y a 10 années

Précision dans cette affaire: La banque Rothschild fait partie des centaines de sociétés internationales qui bénéficiaient des « bonnes oeuvres » de Juncker. C’est peut-être Macron lui-même qui avait négocié avec Juncker l’évasion fiscale au profit de la banque Rothschild, son ancien employeur . Donc rien de surprenant que Macron vole au secours de Juncker.

Quelle pourriture! Que ce soit sur le plan des moeurs, sur le plan de la finance ou de l’économie et dans le domaine de la subversion des peuples, de leur agitation et des guerres artificielles lancée pour des intérêts privés, cela sent la pourriture a plein nez. Il serait heureux que ce soit la pourriture de la mort du système.

Ça donne envie de vomir!

canville
canville
il y a 10 années
Répondre  Lou

brunoarf a répondu sur Marché transatlantique : TAFTA gueule à la récré !.

en réponse à Olivier Demeulenaere:

« Derrière l’ouverture d’un vaste marché transatlantique, TAFTA opère une bascule fondamentale : Le contrat commercial l’emporte sur le contrat social et les tribunaux arbitraux sur les lois nationales. Mais après tout, dans une galerie commerciale, ce qui compte le plus, c’est le business ! » (source : Data Gueule, 8 novembre 2014) Rappel : Union transatlantique, […]

De janvier 1995 à 2013, Jean-Claude Juncker a dirigé le Luxembourg.

Le 6 novembre 2014, le plus grand scandale de l’année révélait que le Luxembourg a passé des accords fiscaux secrets avec plus de 300 entreprises multinationales.

Ces accords fiscaux secrets ont privé la France, l’Allemagne, etc, de centaines de milliards d’euros de rentrées fiscales.

Pour ne pas répondre aux questions sur ces accords fiscaux secrets, Jean-Claude Juncker a fui les journalistes pendant une semaine, puis, du bout des lèvres, il a fini par reconnaître les faits : il a utilisé un euphémisme remarquable :

« Il est vrai que l’application de règles diverses, antinomiques très souvent, différentes et opposées peut conduire à des résultats d’imposition qui ne correspondent pas aux normes éthiques et morales généralement admises », a-t-il expliqué.

http://www.latribune.fr/depeches/reuters/2014-11-12/juncker-prone-la-transparence-sur-les-pratiques-fiscales-dans-l-ue.html

Mais ce sont tes actes depuis douze ans, Jean-Claude.

Ce sont tes actes depuis douze ans qui ne correspondent pas aux normes éthiques et morales généralement admises.

Et aujourd’hui, Jean-Claude ?

Aujourd’hui, mercredi 12 novembre, tu es encore président de la Commission européenne.

Tu n’as toujours pas été viré de ton poste de président de la Commission européenne.

Le fait que tu sois encore président ne correspond pas aux normes éthiques et morales généralement admises.

Ton maintien à ce poste est un véritable scandale.

Le soutien que t’accordent la majorité des députés européens montre que toutes les institutions européennes ne sont qu’une grande mafia, qui protège son Parrain.

http://www.euractiv.fr/sections/elections-2014/les-eurodeputes-de-la-gauche-radicale-lancent-une-motion-de-censure-contre

michelb
michelb
il y a 9 années

quand il n’y aura plus que des multinationales, il n’y aura plus d’impôt pour le capital.