« Quand les terroristes ou les puissances mondiales persécutent les minorités chrétiennes, (…) ils ne demandent pas « mais tu es luthérien ? Tu es orthodoxe ? Catholique ? Tu es réformé? Pentecôtiste? » Non ! » a lancé le Pape. « Les terroristes ne reconnaissent que le chrétien. L’ennemi ne se trompe pas, il sait reconnaître où est Jésus. »
C’est lors d’un discours improvisé, mercredi 12 octobre 2016, dans la salle Paul VI du Vatican, devant les participants à la conférence annuelle des Secrétaires de la «Christian World Communions », une organisation internationale de dialogue rassemblant plusieurs Églises chrétiennes, que l’actuel détenteur du trône pétrinien a exalté cette nouvelle notion conciliaire qu’est « l’œcuménisme de sang ».
Depuis Vatican II, les ecclésiastiques, papes en tête, ont décidé que l’unité des chrétiens se fera dans l’acceptation de la diversité confessionnelle et par la pratique de rencontres inter-religieuses, et en contestant l’importance des différences doctrinales, petits points de détails que Notre Temps de l’unité et de la praxis œcuménique finiront bien par envoyer aux oubliettes. C’est à la fameuse affirmation de la Constitution Lumen gentium au n° 81, selon laquelle l’Église du Christ subsiste dans celle catholique que se rattache cette conception moderniste de l’œcuménisme.
Puisque l’Église du Christ ne correspond plus à la seule Église catholique et romaine mais qu’elle comprend toutes les religions chrétiennes dont Dieu se sert pour amener les hommes au salut, nouvelle doctrine confirmée par le décret Unitatis redintegratio : « En conséquence, ces Églises et communautés séparées, bien que nous croyions qu’elles souffrent de déficiences, ne sont nullement dépourvues de signification et de valeur dans le mystère du salut. L’Esprit du Christ, en effet, ne refuse pas de se servir d’elles comme de moyens de salut, dont la vertu dérive de la plénitude de grâce et de vérité qui a été confiée à l’Église catholique.« il en résulte en toute logique que la grâce du martyr appartient à tous les chrétiens, indistinctement, morts au nom du Christ. C’est ce fameux « œcuménisme de sang » dont parle si souvent le pape François. « Les terroristes ne reconnaissent que le chrétien. L’ennemi ne se trompe pas, il sait reconnaître où est Jésus. »
A l’appui de cette nouvelle doctrine moderniste qui asservit les mentalités d’aujourd’hui, Jorge Maria Bergoglio a évoqué les 21 coptes égorgés en Libye, en insistant : « Ce sont nos frères. Ils ont donné témoignage de Jésus et sont morts en disant : ‘Jésus aide-moi !’. Avec le nom : ils ont confessé le nom de Jésus. » et a ajouté cette question-réponse en genre de boutade au cardinal Koch, président du Conseil Pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens : « Ne pensez-vous pas que le persécuteurs des chrétiens ont une meilleur vision de l’œcuménisme que nous, parce que eux, les dictateurs, ils savent que nous ne sommes qu’une seule chose. »
Les souffrances des chrétiens en terre orientale soumis à la barbarie islamique de Daesh et autres groupes terroristes sont particulièrement horribles. Les persécutions chrétiennes en Syrie, en Irak, en Libye font naître un véritable sentiment de respect et d’admiration pour ces chrétiens, toutes confessions confondues, qui meurent pour le Christ. Cependant, quelle que soit l’horreur de la persécution qui nous heurte émotionnellement, la doctrine immuable dans l’Église catholique concernant le martyr ne peut changer. Et cette notion d’œcuménisme de sang, il faut bien le dire, est étrangère à la Tradition de l’Église.
Le pape Eugène IV au Concile de Florence en 1441 dans Cantate Domino a écrit :
« personne ne peut être sauvé, si grandes que soient ses aumônes, même s’il verse son sang pour le nom du Christ, s’il n’est pas demeuré dans le sein et dans l’unité de l’Église catholique. »
Doctrine confirmée par Grégoire XVI, dans l’Encyclique Surnmo Jugiter, de 1832 :
« Il nous faut d’abord nous occuper de la foi sans laquelle il est impossible de plaire à Dieu. (Hb. XI, 6)… car enfin, vous savez comme Nous avec quelle constance nos Pères se sont appliqués à inculquer cet article de foi que ces novateurs osent nier, à savoir la nécessité de la foi et de l’unité catholique pour obtenir le salut. C’est ce qu’enseignait un des plus célèbres disciples des Apôtres, saint Ignace martyr, dans son épître aux Philadelphiens : ne vous trompez pas, leur mandait-il celui qui adhère à l’auteur d’un schisme n’obtiendra pas le royaume de Dieu ».
Déjà du temps de saint Cyprien, elle était professée dans l’Église catholique :
« Ils ne peuvent être Martyrs, ceux qui ne sont point dans l’Église : ils ne pourront parvenir au Royaume, ceux qui ont abandonné Celle qui doit régner… Qu’ils soient même livrés au feu et brûlés par les flammes ou livrent leur vie en étant exposés devant les bêtes féroces, cela ne sera point la couronne de la foi mais la peine de la perfidie. » (De Unitate Ecclesiae)
Est-ce à dire que tous les chrétiens persécutés, appartenant à des sectes hérétiques ou schismatiques, n’ont pas part au salut éternel ? Au que non ! L’Église est sage et bonne et sa doctrine traditionnelle miséricordieuse, quoi qu’en dise François, toujours si critique envers l’Église d’avant le Concile. Si l’Église refuse, à juste titre, le titre de martyr du Christ aux hérétiques et aux schismatiques car n’appartenant pas à la seule Église du Christ qu’est l’Église catholique et professant de fausses doctrines pernicieuses et dangereuses, elle a toujours reconnu le baptême de sang pour ceux qui professent objectivement l’hérésie mais ne sont subjectivement pas coupables du péché d’hérésie et, au lieu de cela, possèdent l’amour de charité et cherchent sincèrement à croire tout ce que Dieu a révélé, et sont tués en témoignage du Christ. Dans le baptême de sang, ils meurent dans l’Église catholique.
Or François, tout séduit par cette recherche « de l’unité dans la diversité », refuse à ces chrétiens hérétiques ou schismatiques persécutés et tués cette adhésion à l’Église catholique. Pour lui ce sont tout bonnement des « saints chrétiens », qu’ils soient luthériens, évangéliques, orthodoxes, que le catholique se doit d’honorer ! Mais en aucune façon il ne peut admettre, foi œcuménique oblige, qu’ils soient mort, dans ce baptême de sang, unis à l’Église catholique et séparés de leur secte. Ces saints chrétiens cohabiteront dans le panthéon des saints de l’Église conciliaire avec des saints catholiques qui ont dépensé leurs forces pour la conversion de ces mêmes sectaires, quitte à en mourir martyr, tels saint François de Sales, grand missionnaire en terres protestantes, saint Antoine de Padoue, le marteau des hérétiques, saint Fidèle de Sigmaringen, martyr sous les coups des protestants. Mais l’Église conciliaire n’en est pas à une contradiction près ! L’œcuménisme moderne non plus !
Le pape François, pétris de modernisme et de relativisme, est hermétique aux notions de baptême de sang et du seul martyr catholique : ce sont des obstacles insurmontables à l’unité rêvée du « peuple de Dieu » dans le multi-confessionnalisme, néfastes pour le dialogue inter-religieux et le nouvel œcuménisme conciliaire. Il faut les oublier, les ensevelir sous un fatras de sentimentalisme pseudo-théologique qui paralyse la pensée et le raisonnement.
En Géorgie d’ailleurs, le pape François, qui d’habitude relativise la notion de péché, en a, cependant, inventé un nouveau, un « gros » même, le péché contre l’œcuménisme que serait le prosélytisme :
« Maintenant une dernière chose : le problème de l’œcuménisme… Mais que dois-je faire moi, avec un ami, un voisin, une personne orthodoxe ? Être ouvert, être ami. “Mais ne dois-je pas faire un effort pour le convertir ?”. C’est un gros péché contre l’œcuménisme : le prosélytisme. On ne doit jamais faire de prosélytisme avec les orthodoxes : ce sont nos frères et nos sœurs, disciples de Jésus Christ. »
Ni avec les protestants, ni avec les coptes, ni avec quiconque d’ailleurs !
La notion même de prosélytisme envers les chrétiens hérétiques discrédite le concept d’œcuménisme de sang. Persécutons l’un, le prosélytisme, pour glorifier l’autre, l’œcuménisme, telle est la mission impie à laquelle s’emploie fermement François le révolutionnaire !
Francesca de Villasmundo
http://fatimaperspectives.com/ef/perspective893.asp
http://www.news.va/fr/news/les-chretiens-persecutes-sont-lies-par-lcumenisme
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Définition du chrétien: Saint Pierre Canisius:
PREMIERE PARTIE.
PRINCIPES DE LA SAGESSE CHRETIENNE.
CHAPITRE I.
DE LA FOI ET DU SYMBOLE DE LA FOI.
Question I
A qui doit-on attribuer le nom de chrétiens ?
On doit appeler chrétiens ceux qui professent la saine doctrine de Jésus-Christ, vrai Dieu et vrai homme, dans l’Eglise qu’il a fondée.
Le vrai chrétien est donc celui qui, en même temps qu’il est fermement attaché à la doctrine de Jésus-Christ, condamne et déteste du fond de son cœur toute secte comme tout culte étranger à cette doctrine, ou réprouvé par l’autorité de l’Eglise : telles sont les sectes juives, idolâtriques, mahométanes, et en général toutes les sectes hérétiques.
Conclusion: Donc n’est chrétien que le catholique.
Ce pape de quel catéchisme parle t’il?
Bonjour Onclin.
Ne peut-on dire que le Chrétien est celui qui croit au Christ ?
Le Catholique étant – croyons-nous, avec ou sans l’aide de sa Sainteté François Imbroglio – parmi les Chrétiens celui qui suit le message du Christ au plus près.
Sainteté François Imbroglio sait parfaitement ça. Mais par calcul pastoral, il n’en parle pas.
C’est pourquoi il déplaît à tant de personnes : les calculs pastoraux sont quasi sa fixation permanente. Et pensée en est fuyante comme une anguille
Saint Pierre Canisius était jésuite. Le pape renie son « ancêtre » qui a combattu Luther
https://radionotredame.net/2015/vie-de-leglise/pierre-canisius-docteur-de-leglise-et-opposant-de-luther-41702/
Et puis, on se demande bien pourquoi Jeanne d’Arc a renvoyé chez eux les Anglais puisqu’ils étaient nos frères.
@Etienne je vous répondrais par ceci simplement: Saint Pierre Canisius S.J a été confirmé (= il a fait sa confirmation) mais aussi et donc je « confirme » la doctrine de l’Eglise catholique universelle, je transmets ce que j’ai appris, rien de ce que je dis n’est nouveau, je ne suis donc pas un original mais manifestement un simple suiveur de la doctrine que j’essaie de m’imposer temps bien que mal. Mais j’estime que Vatican II c’est la mise sous camisole de force de l’Eglise catholique par des protestants déguisés en catholique. Vous savez l’Evangile n’est rien par elle même sans l’Eglise catholique. « Le seul moyen d’être chrétien, a dit Bossuet, c’est d’être catholique ; c’est-à-dire d’appartenir non-seulement par les sympathies et par les croyances, mais encore par la pratique ouverte et publique, à l’Église catholique, à l’Église gouvernée par le Pape, au seul vrai bercail de Jésus -Christ . Il n’y a jamais eu et il ne peut y avoir qu’un seul christianisme. Si le protestantisme était le christianisme, le catholicisme ne le serait point. Ce n’est pas ici une question de forme, mais bien une question de fond. L’institution de Jésus-Christ ne peut être soumise aux caprices de personne, et le protestant qui se forge un christianisme à sa fantaisie n’a pas le vrai christianisme, le christianisme que Notre-Seigneur a apporté au monde et dont il a confié le dépôt et la diffusion à son Église. On a fait de nos jours un étrange abus de ce glorieux nom de chrétien. Depuis le protestant qui professe ou rejette à sa guise la divinité du Christ, jusqu’au socialiste qui ne voit la liberté que dans l’anéantissement de l’Église, toute la foule des hérétiques et des révolutionnaires fait parade de christianisme, mais quel christianisme! Être chrétien, c’est être catholique ; hors de là on peut être luthérien, calviniste, mahométan, mormon, libre penseur, bouddhiste, mais on n’est pas, on ne peut pas être chrétien. »
C’est pourquoi ce que fait ce pape est très grave!
Je vous retrouve à la conclusion : avec ou sans Lumen gentium, le pape Imbroglio ne peut pas donner l’impression de s’écarter de « Allez, enseignez les nations ».
Le « gros péché contre l’oecuménisme », entre voisins, c’est une maladresse médiocre, rien de plus ; mais renoncer a priori à dire pourquoi on est catholique, même à un orthodoxe, c’est négliger l’injonction du Christ.
Ce pape est un bavard qui, trop souvent, se contente du niveau « café du commerce ».
Le Seigneur Jésus a une toute autre définition de « chrétien ».
Jean 1:12,13 Mais à tous ceux qui l’ont reçue (la lumière de Jésus-Christ), à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu.
Jean 5:24 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui écoute ma parole, et qui croit à celui qui m’a envoyé, a la vie éternelle et ne vient pas en jugement, mais il est passé de la mort à la vie.
Jean 6:29 / 7:38,39 /8:31 / 12:48 / 14:6,15 / 15:7,16 / 17:6,9,11,17,20,21
Act.11:15,17 et 26…Ce fut à Antiochie que, pour la première fois, les disciples furent appelés chrétiens.
Mt.5:3-12 décrit les caractéristiques de la nouvelle vie en Christ: Le chrétien a appris à dépendre de Dieu (pauvre en esprit), est affligé (par la situation misérable du peuple de Dieu ), est humble de coeur, a faim et soif de la justice, est miséricordieux, a le coeur pur, procure la paix et s’attend à une persécution pour la justice.
Jésus ne va jamais demander: estce que tu es catholique ou protestant ou autre; Il va voir si nous l’avons cru, aimé et obéit. Jésus n’a pas apporté une religion, mais Il veut une relation personnelle, intime.
Il a condamné les « religieux de son temps.
Aucun chrétien, de quelque rang n’a le droit d’imposer des nouvelles prescription, ni de vieilles traditions paîennes. Ils ont à enseigner et encourager les uns-les autres dans la Parole de Dieu
Les discussions sont loin de la vérité de Christ et sont charnelles, ce qui ne bénit pas.
@ « Il a condamné les « religieux de son temps. »
Vous êtes un sectaire Wapi…
Marc 1, 43-44 : « Aussitôt, Jésus le renvoya en lui disant d’un ton sévère: «Garde-toi d’en parler à personne, mais va te montrer AU PRETRE. »
@Wapi « Jésus ne va jamais demander: estce que tu es catholique ou protestant ou autre; Il va voir si nous l’avons cru, aimé et obéit. Jésus n’a pas apporté une religion, mais Il veut une relation personnelle, intime. » Ceci c’est le mantra des protestants. Donc vous êtes protestant(e)
Vous prenez l’Evangile ici pour vous justifier, fort bien! Alors « Je défie tous les protestants passés, présents et futurs, de me démontrer, sans faire brèche à leurs principes, que la Bible est vraiment la parole de Dieu. »
J’attends votre réponse, alors je me ferai protestant !
@Onclin. Je n’adhère à aucune église institutionnalisée parce que l’église de Christ est un organisme, l’ensemble des croyants en Christ, selon la Bible. Je fréquente une église locale où est enseigné le message pur de toute la Bible et j’y donne des études bibliques. Selon vous, je suis donc un protestant.
Sachez que dans aucune église protestante, je trouve la complète doctrine de Christ. J’ai encore beaucoup à apprendre, car la Bible qui est la Parole de Dieu, et Jésus est la Parole de Dieu, faite chair; la Bible donc est inépuisable et doit être lue littéralement et spirituellement. Nous avons la Bible afin de pouvoir vérifier si on nous dit la vérité. Act.17:11 « … et ils examinaient chaque jour les Ecritures, pour voir si ce qu’on leur disait était exact ». Luc 24:25,27 « Alors Jésus leur dit: O hommes sans intelligence, et dont le coeur est lent à croire tout ce qu’ont dit les prophètes. Et, commençant » par Moïse et par tous les prohètes, il leur expliqua dans toutes les écritures ce qui le concernait. »
La Bible est complète: le premier livre Genèse commence par le récit de la création et du paradis. Puis vient toute l’histoire de l’homme pécheur et la volonté de Dieu pour le sauver, jusqu’au don de son Fils pour expier tous les péchés du monde, afin que ceux qui croient en Jésus seraient sauvés. Les deux derniers chapitres décrivent la restauration du paradis éternel.
La plus grande preuve de la véracité de la Bible sont les prophéties sur Jésus. Aussi voit on que Jésus est présent dans tout l’ancien testament, surtout dans le livre d’Esaïe. « L’ange de Dieu » qui apparait souvent dans l’A.T. est Jésus.
Du commencement à la fin, la Bible annonce la rédemption, développe un grand thème: la personne et l’oeuvre de Christ. Les écrivins sacrés (plus de 40) qui ont rédigé leur texte au cours de plus de 15 siècles,ont élaboré dans une parfaite harmonie une doctrine progressivement révélée. C’est la preuve indiscutable de l’inspiration divine de la Bible qui contient 66 « livres », qu’on pourrait aussi appeler des chapitres avec leur propre sujet et sa propre analyse.
La meilleure façon de découvrir si la Bible est vraiment la Parole de Dieu, est de lire les évangiles;
Jean 7:16-18 « Jésus leur répondit: Ma doctrine n’est pas de moi, mais de celui qui m’a envoyé.Si quelqu’un veut faire sa volonté, il connaîtra si ma doctrine est de Dieu, ou si je parle de mon propre chef.
Celui qui parle de son propre chef cherche sa propre gloire, mais celui qui cherche la gloire de celui qui l’a envoyé, celui-là est vrai, et il n’y a point d’injustice en lui. »
Moi, ancien catho, après des recherches dans l’hindouisme et le boudhisme, je me suis converti au moment où quelqu’un m’a prouvé que Jésus est Dieu. Il l’a prouvé par ses oeuvres, surtout le pardon des péchés que seul Dieu peut accomplir. Et il a donné sa vie par amour pour nous. Le premier commandement est d’aimer Dieu au dessus de tout, de plein coeur et de toute force. A Pierre Jésus a demandé 3 fois: Estce que tu m’aimes ? Apo.3:20 « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi; »
Voilà la relation personnelle. En plus les vrais croyants sont le corps de Christ, l’église de Christ et seront l’épouse de Christ: L’ultime relation d’amour pour toute l’éternité. Apo. 19:6-9
Enfin, on ne peut pas découvrir Dieu en étudiant seulement, mais une fois qu’on croit à la véracité de la Parole, il faut prier, mettre toute sa confiance en Dieu, demander de l’aide dans vos limites et Dieu se révèlera et répondra même pour des petites choses pratiques. Ma première expériance était ma prière pour retrouver des documents que je cherchais depuis longtemps, il y a 40 ans. J’avais à peine fini ma requête ou je voyais l’endroit précis, derrière une armoire. Ce n’est pas une règle, mais comme ça Dieu augmente la foi. Vous allez expérimenter que Dieu est vivant.
Aussi, au début et à la fin, la Bible défend d’ajouter ou de retrancher quelque chose. Apo.22:18,19
Voilà, j’espère que je vous ai servi. Je pourrai encore continuer longtemps, mais je pense avoir écrit l’essentiel. Encore ceci: On ne peut comprendre la Bible, inspirée par le Saint-esprit quand on ne l’a pas reçu. Lc.11:13 « Si donc,méchants comme vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent. » Plus besoin d’un autre médiateur que le Christ. Soyez béni et accepte la vie éternelle qui est le fruit de la foi en Jésus.
Vous voyez, je n’ai pas protesté, mais les catholiques ne font que ça, en tout cas dans les commentaires.