Judith Reisman, essayiste et conférencière américaine, professeur invité à la faculté de droit de la Liberty University de Virginie, après avoir été professeur titulaire à l’American University, en charge d’enquêter sur le rôle du professeur Kinsey dans des crimes sexuels contre des enfants et sur l’exploitation sexuelle des enfants dans les médias, est l’auteur de nombreux ouvrages consacrés à différents éléments de la révolution sexuelle.
Ce livre dénonce la perversion sexuelle organisée à l’échelle mondiale par la Rockefeller Foundation et ses filiales. Car s’il est principalement question dans cette étude d’examiner l’action maléfique d’Alfred Kinsey, il faut prendre en compte que, dès 1938, la Rockefeller Foundation se mit à financer les travaux de Kinsey en matière de » recherche » sexuelle. Or, ce Kinsey était un psychopathe sexuel des plus pervers et ses rapports, sous un vernis universitaire, avaient pour principal but la corruption des mœurs. Au fil des années, ce personnage abject a sali et perverti les relations humaines par des études présentées abusivement comme scientifiques visant tour à tour à affaiblir le mariage, à banaliser l’adultère, à promouvoir le divorce, à propager la prostitution et la pornographie, à légitimer l’homosexualité, le sado-masochisme, la zoophilie, l’inceste et la pédophilie.
L’ouvrage contient un chapitre dans lequel il est aussi question des liens entre Alfred Kinsey et… Hugh Hefner, le fondateur de Playboy dont la presse vient précisément d’annoncer le décès. Hugh Hefner se percevait comme le héraut de Kinsey dont le magazine PlayBoy se ferait le porte-parole. Judith Reisman souligne comment dans les années 70 les dessins et les articles publiés par Playboy faisaient la part belle au viol et à l’inceste. En 1988, l’avocat de Playboy a reconnu que ce magazine publiait bel et bien des dessins montrant des abus sexuels d’enfants, mais a prétendu qu’il s’agissait de dessins humoristiques. En fait, Playboy a toujours recouru à des moyens subliminaux pour salir le cerveau de ses lecteurs avec des allusions aux pires perversions sexuelles.
Judith Reisman dévoile également comment le Kinsey Institute, en lien avec Planned Parenthood, bénéficie encore de millions de dollars de subventions annuelles du gouvernement fédéral américain. Les successeurs d’Alfred Kinsey ont pris le relais et poursuivent sa révolution sexuelle.
A lire pour mesurer l’hydre diabolique qui commande cette révolution sexuelle.
La subversion sexuelle, Judith Reisman, préface de Marion Sigaut, éditions Saint-Remi, 455 pages, 20 euros
A commander en ligne sur le site de l’éditeur
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
« Mais le tribunal administratif a suspendu l’arrêté préfectoral vendredi soir, quelques minutes avant sa tenue, au motif qu’il s’agissait d’une “atteinte grave à la liberté de manifester“
Quelques miettes concédées au dernier moment afin de restreindre considérablement le nombre de participants (500 sont anecdotiques pour le pouvoir en place))
et prétendre hypocritement respecter la « liberté de manifester » au nom d’une « démocratie » moribonde !!!
Qui va gober une telle supercherie ?
Les institutions sont entièrement vérolées jusqu’à ce qu’il se produise un réel basculement des forces en présence, et ce ne sont pas les élections manipulées qui y changeront quoi que ce soit…
De mémoire, les « révolutions » ne sont jamais le fait de la sagesse populaire, ce sont les groupes de pression financiers minoritaires qui tirent les ficelles.
C’est le Veau d’Or qu’il faut déboulonner de son piédestal en s’opposant au consumérisme ambiant: – précipiter la faillite des chaines commerciales supranationales, – se regrouper en achetant local, – faire du troc sans passer par les « associations » frelatées (Emmaüs, Secours Populaire) qui participent à l’appel d’air migratoire.
Le « caritatif » mondialisé imposé par le pouvoir doit revenir à la Charité de proximité bien ordonnée au niveau de chacun d’entre nous.
C’est à nous au quotidien qu’il revient d’assécher le marécage dans lequel nous pataugeons.