Laissons la parole à l’écrivain Jonathan Sturel :
Il faut bien comprendre ce qui a eu lieu à Crepol : des jeunes Français de la France rurale ont été pris pour cibles, attaqués, écorchés au couteau, l’un d’entre eux, un gamin de 16 ans, a été tué parce qu’une bande venue d’une zone remplacée a décidé de venir «se faire du babtou».
C’est signé, c’est ethnique, c’est racial, c’est tout ce qu’on n’a pas le droit de nommer et pourtant c’est cela et pas autre chose.
D’un côté, une jeunesse insouciante qui festoie tendrement, qui festoie comme on a toujours festoyé dans ce pays depuis des générations, qui plus est dans une salle des fêtes de la France rurale, une salle encore debout puisque contrairement aux MJC des zones remplacées cette salle des fêtes, dans cette petite commune de la France rurale, n’avait pas été brûlée, détruite, abandonnée ou transformée en squat pour trafiquants de drogue.
En face, une autre sorte de jeunesse, déjà barbare, déjà violente, déjà lobotomisée par les logiques de gang, de rivalité, de revanche et de violence ; une jeunesse qui, lorsqu’on lui refuse l’accès à une salle des fêtes où elle n’a rien à faire, revient avec des couteaux pour faire des morts et des blessés, la bave aux lèvres, la gorge injectée de sang à en devenir veineuse.
Lorsque ces deux jeunesses se rencontrent, c’est toujours la même qui sort les couteaux et toujours la même qui les prend dans le thorax. Et il en sera ainsi encore demain, la semaine prochaine et pendant des années tant que le rapport de force et les flux migratoires ne seront pas inversés.
Ces deux jeunesses vont se percuter de plus en plus et la nôtre n’est pas prête à encaisser le choc.
Parce que depuis des années, nos médias, nos politiques, nos artistes, nos profs d’écoles, de collèges et de lycées, en enfonçant leurs inepties progressistes, pacifistes, vivre-ensemblistes, antiracistes et castratrices dans les crânes de nos gosses ont fini par leur faire baisser la garde et les transformer en agneaux pendant qu’en face, déjà largement affranchie de ces autorités factices, une autre jeunesse a aiguisé ses dents et ses couteaux.
Nous avons été transformés en agneaux par 40 ans de lobotomie gauchiste. Les responsables sont connus, nous n’oublierons pas.
D’ici là, il faut refaire des hommes. Il faut que notre jeunesse se refasse une virilité, fasse du sport, apprenne à se battre, assume sa masculinité, porte ses cou*lles pour le dire familièrement. Laisser nos gosses se faire endormir par les discours castrateurs de Marlène Schiappa ou les chansons à la guimauve de Keen’V n’est plus une option.
Dans la France des années 2020, nous parlons maintenant purement et simplement de survie au sens strict.
Repose en paix, Thomas, 16 ans, enfant de France sacrifié.
Jonathan Sturel
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Honte aux politiques depuis 40 ans ce sont eux les fautifs et par leur langage de débiles ils veulent nous faire porter le chapeau aidés en cela par les toutous du régime. Heureusement qu’il y a des journalistes honnêtes comme chez TVL qui nous disent la vérité pas comme les lécheurs de babouches de la presse mainstream
Merci Jonathan. Relater les faits, sans tabous, ni concession aux folies des temps présents, est une nécessité quand notre choix de vie s’inscrit sur le chemin de la vérité. Le Christ, notre Seigneur, nous a montré le chemin. Je me joins à ta prière pour Thomas et pour tous les enfants sacrifiés sur l’autel d’une société voulue ou lâchement alimentée par tous les valets des pouvoirs mortifères.
Lobotomie « gauchiste » ??( non ! ne tombez pas dans le manichéisme, cette idéologie est issue des « liberals » américains)
Partisans du « laisser- faire, laisse-passer ».(libre circulation des hommes et des marchandises)
Doctrine économique anti-étatique, le libéralisme n’est ni de droite ni de gauche,
mais au seul service du capitalisme financier et industriel.
La révolution sociale et sociétale de 68 a changé la donne !
Le patronat des années 70 a opté pour la Finance dérégulée grâce à Giscard d’Estaing avec son fameux « regroupement familial » dont les Communistes ne voulaient pas !
L’immigration massive devait permettre de récupérer une main d’œuvre bon marché au départ…
Mais l’immigration de 3e et 4 e générations ne veut plus travailler alors que l’économie « souterraine » rapporte davantage ! donc, on continue à remplir le tonneau des Danaïdes en attirant les fuyards de pays où on a prétendument « combattu le terrorisme » que l’on importe sur notre sol.
Ces populations ne connaissent que la violence (la loi du plus fort) et considèrent que la France aux institutions ramollies est mûre pour le pillage, elles n’accepteront pas d’être exploitées dans la restauration ou dans les Uber, le « travail » n’étant plus rémunérateur depuis une quarantaine d’années…
https://www.editionsladecouverte.fr/histoire_secrete_du_patronat_de_1945_a_nos_jours-9782707166432