Invité de l’émission L’Édition du soir diffusée sur CNews le 18 août dernier, le professeur Toussaint, professeur de physiologie de l’Université Paris-Descartes, Directeur de l’IRMES, Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport à l’INSEP, ose l’inconcevable pour les pouvoirs publics et les médias du système : nier toute deuxième vague et reprise d’une épidémie de coronavirus.

« Nous ne sommes plus du tout dans la gravité, dans l’urgence, du printemps, de celle de février, de mars et d’avril » déclare-t-il avant de continuer avec  des paroles dures envers le gouvernement et le conseil scientifique :

« Nous sommes dans une utilisation des indicateurs, un changement, une instrumentalisation, qui fait que nous allons avoir pour les semaines à venir des changements de comportements, des orientations qui sont décidés par un conseil scientifique qui ne regarde plus la réalité du risque mais qui souhaite probablement imposer d’autres schémas de pensée. »

 

Des mots qui laissent pantois le pauvre présentateur, ne sachant plus quoi dire ni comment riposter :

« Là j’ai très peur, dit-il. Je suis en train de me dire, déjà un est-ce qu’on fait peur aux gens pour rien ? La deuxième chose, c’est à charge aussi pour les politiques et pour les personnes qui sont au plus haut sommet de l’état qui aujourd’hui nous disent qu’il faut porter le masque en extérieur ? En septembre le conseil scientifique dit qu’à l’automne on risque d’avoir une seconde vague ? »

Une perche saisie par le professeur Toussaint qui n’hésite pas à condamner le comportement des scientifiques qui imposent leurs confinement, masques et autres distanciations sociales à la moitié de l’humanité :

«  Le conseil scientifique, lorsqu’il nous annonce une énième seconde vague, un certain nombre de ses membres sont sur le site de vacances. Si je le dis, c’est qu’ils l’annoncent sur les radios ».

Et de continuer en dénonçant ces mêmes scientifiques qui, tout en décrétant toutes ces mesures restrictives et en annonçant de terribles catastrophes sanitaires, – plus de 500000 morts pour la Grande-Bretagne ou la France- ne croient pas eux-mêmes aux recommandations qu’ils préconisent.

Une charge puissante contre le pouvoir de ces scientifiques qui susurrent aux oreilles des gouvernements des mesures qui maintiennent la peur au sein des populations.

Francesca de Villasmundo

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