«On peut dire que personne ne soutient Poutine», analysait l’experte invitée par BFM ce week-end.
Tablant sur un «dénouement dramatique» de la mutinerie de Wagner, elle expliquait devant un plateau conquis que la présidence de Vladimir Poutine touchait à sa fin.
La presse britannique soutenait elle que Loukachenko avait fui son pays, ce qui pour certains signifiait que l’effondrement du gouvernement russe n’était plus qu’une question d’heure.
Dans le monde réel, la société civile, les sphères politique et militaire se sont rassemblées derrière Vladimir Poutine. Et quelques heures plus tard, la crise prenait fin grâce à la médiation du président biélorusse.
Une issue très mal digérée par le régime de Kiev : «Vous avez presque anéanti Poutine, pris le contrôle des autorités centrales, atteint Moscou et soudain… vous reculez», s’est lamenté le conseiller de Zelensky Mikhaïl Podoliak.
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