Dans un Ehpad de Vendée, à Doix-lès-Fontaines, la troisième dose anti-covid n’a pas protégé les résidents : 24 d’entre eux ont quand même attrapé le coronavirus, et malgré cette dernière injection, l’une des personnes âgées est décédé du covid. Cinq salariés de l’Ehpad ont été testés positifs au Covid et un salarié, présentant des symptômes grippaux, est actuellement en arrêt, tout ce petit monde étant bien entendu vacciné au moins deux doses. Depuis, les résidents sont donc isolés dans leur chambre et sont testés tous les mercredis, ainsi que le personnel. La décision de réouverture aux visites sera prise en fonction de l’évolution de la situation déclare la direction de la maison de retraite. Pourtant la vaccination devait leur faire reprendre une “vie normale”…

Conclusion logique : après la 3e dose que le gouvernement vend comme remède miracle au covid, il faudra une 4e dose pour se protéger, et pour tout le monde, comme en Israël où elle est recommandée depuis septembre avant qu’elle ne soit imposée pour garder son passe sanitaire. Le scénario est connu d’avance.

En Suède, 70% des « décès dus au coronavirus » sont complètement vaccinés. Le journal Svenska Dagbladet a souligné qu’une majorité de personnes entièrement vaccinées sont décédées du Covid-19 entre le 1er et le 24 septembre. Parmi les personnes décédées, sept sur dix étaient totalement vaccinées. L’âge médian des malades décédés entièrement vaccinés est de 86 ans. On ne peut que constater, alors qu’on vaccine, afin de protéger les anciens, des populations jeunes qui ne meurent pas du covid mais courrent un danger avec la vaccination, que le vaccin ne protège pas si bien que cela ces vieillards considérés les plus à risques. Le journal suédois a par ailleurs interviewé plusieurs personnes âgées entièrement vaccinées, qui se disent déçues de constater que la vie ne va pas reprendre son cours normal, bien qu’elles aient reçu deux injections. En réalité, la désillusion de ces anciens est plus profonde : à force de leur faire croire que le vaccin les sauvera du covid malgré leur grand âge, ils finissent par croire qu’ils sont immortels, en oubliant que leur vie est à son terme et qu’une quelconque maladie respiratoire, covid ou grippe, peut les emporter rapidement…

En revanche, dans la pauvre Indonésie, où le gouvernement, à la mi-juillet au plus fort de l’épidémie, a autorisé l’ivermectine pour traiter le covid, massivement utilisée depuis, et où la couverture vaccinale est minime, (au 1er juillet 2021, seulement 11 % de la population indonésienne avait reçu au moins une dose du vaccin (Figure 1) et 5 % étaient complètement vaccinés), l’épidémie en octobre est sous contrôle, les cas de COVID-19 ont chuté.   

Tandis qu’à Singapour, le gouvernement indemnise les victimes des…vaccins : il reconnaît les effets délétères des vaccins anti-Covid. Il a versé environ 490.000 euros à 144 personnes ayant souffert des effets secondaires de la vaccination. Le journal Infodujour commente :

« Singapour est un petit pays de 5,7 millions d’habitants où la pandémie de coronavirus a été prise très au sérieux. Au point que 4,2 millions de Singapouriens ont rapidement reçu les deux doses des vaccins anti-Covid. Il peut donc d’enorgueillir d’avoir la couverture vaccinale la plus importante de toute l’Asie. Mais les patients singapouriens vaccinés connaissent, comme partout ailleurs, des effets secondaires plus ou moins graves. Non seulement le gouvernement ne le nie pas, mais en plus il indemnise les victimes de la vaccination.

C’est ainsi qu’il a versé une somme totale de 782.000 dollars singapouriens (soit environ 490.000 euros) à 144 patients a révélé le ministère de la Santé de ville-État. En précisant qu’une indemnité de 225.000 dollars (singapouriens) avait été versée à un jeune homme de 16 ans victime d’une crise cardiaque une semaine seulement après avoir été vacciné.

L’agence Singapourienne de la Santé (HSA) a déclaré avoir reçu, à la date du 31 juillet, quelque 100.000 rapports d’effets indésirables dont 400 considérés comme ‘’graves’’. »

Mais en France, il n’y a pas d’effets graves, dixit le ministre de la Santé Olivier Véran : « Je n’ai aucune remontée d’effets graves » a-t-il déclaré fin septembre. Un peu véreux le Véran, non ?

Francesca de Villasmundo

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