Royaume-Uni – James Brokenshire, ministre de l’Immigration, a blâmé les entreprises britanniques pour l’embauche d’un trop grand nombre d’étrangers, encourageant de la sorte les immigrés à rejoindre illégalement la Grande-Bretagne.

Le ministre Brokenshire a déclaré que la réduction – il n’a pas osé parler d’arrêt – de l’immigration est le défi le plus urgent et nécessitait un réveil de l’Union Européenne.

Le ministre a aussi souligné que près de 100.000 étudiants issus de pays hors de l’Union européenne sont restés au Royaume-Uni après la fin de leurs études et que les patrons embauchent beaucoup trop d’étrangers au détriment des ressortissants nationaux.

Un projet de loi sera bientôt présenté afin de réduire l’attractivité de la Grande-Bretagne en punissant plus sévèrement l’embauche d’immigrés illégaux et en restreignant les aides sociales aux migrants.

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Le patronat, pris pour cible, a réagi en confortant  son image apatride et cosmopolite. Ses représentants ont prétendu que réduire l’immigration est une idée “bizarre et irréalisable”.

Ces représentants du haut patronat ont également usé de la vieille rengaine selon laquelle l’immigration soutiendrait l’économie nationale, mensonge absurde néanmoins répété par tous les complices de ce grand remplacement de populations.

L’Office for National Statistics (ONS) a recensé 636.000 nouveaux immigrés arrivés en Grande-Bretagne au cours des 12 mois qui ont précédé la fin mars. Des chiffres qui ne tiennent donc pas compte de la flambée de l’afflux d’immigrés depuis juillet 2015.

Une étude a également montré que le nombre de personnes vivant en Grande-Bretagne et nées à l’étranger a dépassé les huit millions. Soit un individu sur huit, contre un sur onze il y a une décennie.

En outre, le nombre de bébés nés l’an dernier de mères nées à l’étranger a augmenté à 27 pour cent du total – 188 000 des 695.000 naissances.

Nigel Farage, le leader UKIP, a déclaré que cette immigration était devenue clairement insoutenable.

En 2011, David Cameron avait promis de réduire l’immigration nette à moins de 100.000 personnes par an. C’est un échec complet.

 

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