L’avocate Sidney Powell, qui s’était démarquée dimanche dernier de l’équipe de la campagne de Trump, avait déclaré que son combat ne prenait pas fin pour autant. Il continuait même de plus belle et elle pouvait désormais l’élargir à tous les coupables, y compris dans les rangs des républicains, puisque la corruption se trouvait dans les deux camps. Elle représentait en effet #We the People, c’est-à-dire le peuple américain tout entier et non simplement la campagne de Trump ou le parti républicain, même si les deux causes se rejoignaient.
“Je souscris à la déclaration de la campagne selon laquelle je ne fais pas partie de son équipe juridique. Je n’ai jamais signé de mandat de représentation en justice ni envoyé au président ou à la campagne de facture pour mes frais ou honoraires”, a-t-elle déclaré.
“Mon intention a toujours été de dénoncer toutes les fraudes, qu’elles soient commises par des républicains ou des démocrates, sans a priori, puis de laisser les choses suivre leur cours. Les preuves que j’ai rassemblées sont accablantes : un outil logiciel a été utilisé pour voler des millions de votes au président Trump et les donner à Biden. Nous sommes en train de préparer notre procès et prévoyons de déposer notre dossier cette semaine”.
Dans une interview accordée à Newsmax, un média en ligne, Sidney Powell se laissa aller à quelques envolées lyriques:
“Nous ne permettrons pas que notre belle République soit prise en otage par des communistes à l’extérieur comme à l’intérieur, ni que nos votes soient manipulés par des acteurs étrangers et peu respectueux de la vie humaine, qui se trouvent à Hong Kong, en Iran, au Venezuela ou en Serbie…
“Nous, le peuple” avons élu Donald Trump pour restaurer la  vision d’une Amérique où se célèbrent la vie, la liberté et le bonheur.”
“Le Nouvel Ordre Mondial”, ajouta-t-elle, avait “renversé le parti républicain” , qui lui avait “vendu son âme en échange d'”énormes pots-de-vin”. 
 
Dans un langage cru et imagé, elle avertit que le GOP (parti républicain) risquait d’être “châtré comme une chienne” lors de  “la Grande Remise à Zéro ” de 2021,  s’il permettait que le second mandat du président Trump lui soit volé par les “fils des ténèbres”. Ces derniers mots renvoyaient très précisément à deux messages de Mgr Viganò au président Trump, qui eux aussi avertissaient du combat biblique mené par les “fils des ténèbres” contre lesenfants de la lumière”.
Powell déclarait détenir des “tonnes de preuves” ; tant de preuves qu’elle avait du mal à toutes les rassembler et les organiser.
Ce système d’achat de votes remontait à déjà quelques années et des membres des deux partis étaient impliqués.
Elle eut des mots sévères pour l’élite républicaine qui jouait avec le feu tout en se croyant faussement protégée par la presse aux ordres. C’était faire preuve d’une grande irresponsabilité que de se laisser entraîner dans cette folie, en tentant de réduire au silence les patriotes qui s’y opposaient. Il leur fallait s’attendre à ce qu’un “tsunami de sanctions sans précédent” déferle sur le pays lorsque Trump entamerait son second mandat.”
Selon des sources de haut niveau dans le domaine du renseignement et citées par Powell, le gouverneur républicain de la Géorgie, Brian Kemp, et le secrétaire d’État géorgien, Brad Raffensperger, avaient tous deux accepté de l’argent de la Chine communiste, apparemment en échange du sabotage de l’élection de Donald Trump.
Une lecture plus poussée du document rapportant ces informations indiquait que l’équipe juridique de la campagne de Trump avait persuadé le président d’attendre pour se lancer dans des révélations publiques, que Kemp et Raffensperger aient tous deux certifié les résultats de l’élection cette semaine.  Selon la loi, M. Raffensperger était tenu de les certifier avant vendredi à 17 heures et le gouverneur samedi à la même heure.  Les deux hommes avaient devancé le calendrier, après s’être prêtés à un recomptage bidonné des bulletins.
Ils avaient ainsi consommé et signé leur forfait.
Pour une nation étrangère, lisait-on en outre, soudoyer des élus politiques pour voler une élection présidentielle était un casus belli (motif de guerre). Et pour un républicain, poignarder dans le dos son propre parti et son pays pour le compte d’une nation étrangère, était un crime qui relevait de la haute trahison. Il entrait dans les compétences de Sidney Powell, qui était tout à la fois procureur et avocat de la défense, avec à son actif 500 cas plaidés devant la Cour Suprême ou les tribunaux militaires, comme dans le cas du général Flynn.          
Sidney Powell, interviewée téléphoniquement hier soir par Lou Dobbs sur Fox News, lui a confirmé que son dossier sur la Géorgie était prêt à être soumis dès le lendemain au greffe de la Cour. Il y aurait d’autres plaintes concernant d’autres États, qui suivraient de près. La fraude avait été commise à l’échelle nationale et elle était massive. Un flot de témoignages lui parvenaient en continu, relatant des faits plus  incroyables les uns que les autres. La corruption était si flagrante, elle s’étalait au grand jour avec si peu de précautions, qu’elle en venait à se demander si ce n’était pas voulu . 
À la question de savoir si, étant donnée l’ampleur du problème, elle estimait pouvoir respecter les délais, notamment les deux dates butoir du 8 et du 14 décembre, sa réponse était oui. Il s’agissait certes d’une tâche gigantesque, mais la fraude était tellement énorme qu’elle n’aurait pas de mal à l’établir. Il n’y avait pour elle pas l’ombre d’un doute qu’elle serait victorieuse et que le président Trump serait reconduit pour un deuxième mandat. 
Elle était si sûre de son coup qu’elle envoya un tweet à Joe Biden pour lui conseiller de concéder sa défaite avant d’être accusé de fraude à grande échelle et de se retrouver derrière les barreaux pour le restant de ses jours.
Lin Wood, un avocat de l’équipe de la campagne de Trump, lui tweeta son soutien:
“J’ai travaillé en étroite collaboration avec Sidney Powell et les autres juristes au cours des semaines passées. 
Les poursuites que va engager Sidney demain en Georgie se feront dans un esprit de VÉRITÉ.
Les ennemis de l’Amérique le nieront. Ne les croyez PAS.
Croyez-moi et croyez Sidney. Nous aimons l’Amérique et la liberté . Nos ennemis pas.”
Mais ce n’est pas tout, car Lin Wood a promis d’autres réjouissances et pas des moindres. Outre la corruption liée à la fraude électorale et à l’ingérence étrangère, la pédophilie et le satanisme qui sévissaient à Washington D.C. et à la Maison Blanche au cours des administrations précédentes seront simultanément révélés au grand jour, car tout est lié a-t-il dit. Les Américains seront choqués de ce qu’ils découvriront. Ce sera le Grand Réveil. Mais il leur faudra faire usage de tout leur discernement pour pouvoir appréhender certaines réalités.
Trois semaines avant son assassinat, le président Kennedy avait fait le vœu de démanteler cette conspiration monstrueuse qui, selon lui, cherchait à asservir l’humanité. Il l’avait payé de sa vie. Prions pour que le président Trump puisse déjouer avec succès les machinations de l’hydre mondialiste dont les tentacules se sont resserrées autour de la planète.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

9 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires

Abonnez-vous à CARITAS !

Ça y est, le numéro 1 de la tout nouvelle revue Caritas est chez l’imprimeur et en prévente sur MCP.

Nous vous l’avions annoncé dans un précédent mailing : la naissance d’une toute nouvelle revue de qualité, Caritas, la revue du pays réel, et la parution prochaine de son premier numéro de 86 pages. Bonne nouvelle, : ce numéro 1 de Caritas qui consacre son dossier à la Lutte contre la haine anticatholique vient d’être envoyé à l’imprimerie et sera bientôt dans les librairies et les boites aux lettres des abonnés.

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette nouvelle revue : la revue CARITAS !