Les réfugiés manquent de vaccins COVID parce que les fabricants de médicaments craignent des poursuites judiciaires titre la très conformiste agence de presse Reuters, en lien avec Pfizer, et ça vaut son pesant de complotisme !  

L’information doit être impossible à cacher pour que Reuters, dont l’actuel président du conseil de la Fondation Thomson Reuters, ainsi que PDG et directeur de la société mère de Reuters, Thomson Reuters Corporation, Jim Smith, siège aussi au conseil d’administration de Pfizer, en parle.

Dans un article publié hier, la célèbre agence de presse révèle que « des dizaines de millions de migrants pourraient se voir refuser les vaccins covid-19 d’un programme mondial, car certains grands fabricants s’inquiètent des risques juridiques liés aux effets secondaires nocifs, selon des responsables et des documents internes de Gavi, l’organisation caritative qui gère le programme, examiné par Reuters. »

Reuters continue en indiquant que « les préoccupations juridiques sont un obstacle supplémentaire pour les responsables de la santé publique qui luttent contre le coronavirus (…). De nombreux fabricants de vaccins covid-19 ont exigé que les pays indemnisent les vaccinés pour tout événement indésirable subi par les individus à la suite des vaccins, selon les Nations Unies. »

Or explique l’article :

« Là où les gouvernements ne contrôlent pas, ce n’est pas possible. Les inquiétudes concernent les personnes, telles que celles déplacées par les crises du Myanmar, de l’Afghanistan et de l’Éthiopie, qui sont hors de portée des programmes de vaccination des gouvernements nationaux.

« Pour les réfugiés, les migrants et les demandeurs d’asile, ainsi que les personnes touchées par des catastrophes naturelles ou d’autres événements qui les mettent hors de portée de l’aide gouvernementale, le programme mondial connu sous le nom de COVAX a créé un tampon humanitaire – une réserve de dernier recours de vaccins à être administrés par des groupes humanitaires. Gavi, l’alliance vaccinale, est un partenariat public-privé créé en 2000 pour promouvoir la vaccination dans le monde.

« Mais ce tampon n’a aucun mécanisme pour offrir une compensation. Gavi, qui exploite COVAX avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a déclaré que lorsque les demandeurs de doses, principalement les ONG, ne peuvent supporter de risques juridiques, les livraisons à partir de ce stock ne peuvent être effectuées que si les fabricants de vaccins en acceptent la responsabilité.

« Les entreprises qui sont disposées à le faire dans ces circonstances ne fournissent qu’une minorité des vaccins du programme, selon des personnes proches du dossier et des documents rédigés par le personnel de Gavi pour une réunion du conseil d’administration commençant fin novembre. »

Ainsi qu’on peut le lire plus loin dans l’article, « plus des deux tiers des doses de COVAX proviennent de Pfizer Inc. et de son partenaire BioNTech SE, d’AstraZeneca PLC et de Moderna Inc., selon Gavi. Moderna a refusé de commenter. AstraZeneca et Pfizer ont déclaré qu’ils étaient en pourparlers avec Gavi mais ont refusé de commenter davantage. Tous trois ont déclaré qu’ils étaient déterminés à mettre des doses à la disposition des pays les plus pauvres à des prix relativement bas. Pfizer a déclaré qu’il collaborait directement avec les gouvernements jordanien et libanais pour faire don de doses aux réfugiés. »

L’article de Reuters précise cependant :

« Principalement en raison de problèmes juridiques, moins de 2 millions de doses ont jusqu’à présent été envoyées depuis la zone tampon, a déclaré Gavi. Environ 167 millions de personnes risquent d’être exclues des programmes nationaux, selon les données des Nations Unies citées dans les documents.

« À moins que toutes les entreprises n’acceptent leur responsabilité légale, ‘’l’accès aux vaccins pour certaines populations restera un défi‘’, indiquent les documents de Gavi, ajoutant que de nouvelles crises généreront une demande supplémentaire pour couvrir les populations déplacées.

« La réticence des fabricants de vaccins à assumer les risques juridiques est “un obstacle majeur” dans les tentatives de fournir des vaccins pour le tampon, a déclaré à Reuters un porte-parole de Gavi. Gavi n’a pas commenté les détails des documents, mais a déclaré que les demandes de vaccins sont confidentielles jusqu’à ce que les doses soient livrées. En septembre, le PDG de Gavi, Seth Berkley, a tweeté un appel aux fabricants de médicaments pour qu’ils renoncent à leurs exigences en matière d’indemnisation légale.

« Trois fabricants chinois de médicaments ont accepté d’assumer les risques juridiques lorsque leurs injections sont délivrées via le tampon : SinoVac Biotech Ltd, Sinopharm Group Co. Ltd et Clover Biopharmaceuticals Co. Ltd, selon le document de Gavi. Les fabricants de médicaments n’ont pas répondu aux demandes de commentaires.

« Johnson & Johnson des États-Unis a confirmé qu’il renoncerait à l’exigence d’indemnisation pour les livraisons à partir du tampon : ”Nous sommes fiers de faire partie de cet effort pour protéger les personnes les plus vulnérables du monde”, a déclaré Paul Stoffels, vice-président du comité exécutif et directeur scientifique. Il n’a pas développé.

« Cependant, moins d’un tiers des fournitures COVAX proviennent de ces quatre entreprises, comme le montrent les données COVAX : le vaccin de Clover n’a pas encore été approuvé et n’est donc pas utilisé.

« L’association mondiale de l’industrie, la Fédération internationale des associations et fabricants de produits pharmaceutiques (IFPMA), a déclaré qu'”aucune entreprise n’a refusé d’envisager” de prendre le risque juridique. Cependant, dans le cas des tirs délivrés depuis le tampon, il a déclaré que certaines entreprises estimaient qu’elles ne pouvaient pas le faire sans une connaissance complète de l’endroit et de la manière dont les vaccins seraient utilisés.

« Il serait difficile de surveiller en permanence la sécurité des vaccins dans les camps de réfugiés, et la livraison est très difficile sur le plan logistique et ne convient pas à tous les types, a déclaré la Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA), qui représente les grandes sociétés pharmaceutiques en Europe.

« Les gens peuvent blâmer les vaccins pour les problèmes qui surviennent par la suite, même s’ils ne sont pas liés. Cela pourrait alors conduire à une augmentation du nombre de litiges (…) au cours desquels l’innocuité et l’efficacité du vaccin seraient publiquement remises en question”, a-t-elle déclaré dans un communiqué à Reuters. »

En conclusion l‘agence de presse souligne que :

« la préoccupation juridique des fabricants de vaccins est enracinée dans la vitesse sans précédent des efforts pour développer les vaccins Covid, a déclaré l’EFPIA. Dans des circonstances normales, les fabricants de médicaments achètent une assurance pour couvrir la responsabilité des effets indésirables potentiels des vaccins. Mais le covid les a forcés à développer des médicaments si rapidement que certains effets secondaires – par exemple, une maladie rare de la coagulation du sang chez certains de ceux qui ont pris le vaccin AstraZeneca – apparaissent lorsque les injections entrent dans les bras des gens.

« De nombreux gouvernements et agences internationales ont mis en place des régimes d’indemnisation pour rembourser les victimes et éviter de longs litiges. Une loi d’urgence invoquée par le gouvernement américain accorde une immunité légale aux sociétés pharmaceutiques pour les effets secondaires de leurs vaccins covid-19 utilisés dans le pays. La seule exception concerne les cas de « faute intentionnelle ».

« Pour les sociétés pharmaceutiques, accepter une responsabilité potentielle va à l’encontre de la pratique courante.

« ‘’Les fabricants de vaccins essaient de minimiser les risques juridiques dans presque tous les contextes‘’, a déclaré John T. Monahan, professeur à l’Université de Georgetown. ‘’L’étalon-or est l’immunité totale contre les poursuites. S’ils acceptent des exceptions, il peut devenir plus difficile d’atteindre cet objectif.’’ »

En bref, la ‘pandémie’ covid-19 est plus ou moins inquiétante, et nécessite une vaccination massive, en fonction de l’immunité totale acquise par BigPharma. En Europe, où la Commission Européenne présidée par la VRP de Pfizer Ursula von Der Leyen a signé des contrats délivrant les fabricants de vaccins covid de toutes poursuites judiciaires, les doses affluent, c’est même une carte de fidélité que se verront bientôt offrir les vaccinés. Dans les camps de réfugiés, ou les pays pauvres, où Pfizer et Cie pourraient être tenus pour responsables, les injections ne sont pas légion… En fait le covid est un petit virus qui sait servir les intérêts des laboratoires, c’est un virus de pays matérialistes : il ne contamine pas les pauvres migrants mais beaucoup les riches occidentaux. D’ailleurs Reuters l’admet incidemment :

« Dans le monde, peu d’infections au covid ont été signalées parmi les réfugiés, les migrants et les demandeurs d’asile – les tests ne sont pas toujours systématiques et les infections ne peuvent générer que des symptômes bénins, en particulier chez les jeunes. »

Et en clair, la notion d’effets secondaires nombreux et graves, que les gouvernements occidentaux et les laboratoires eux-mêmes, minimisent à souhait, se voit confirmée. Si BigPharma était vraiment sûr du peu d’effets secondaires avec ses injections covid, il ne ferait pas tant de difficultés pour livrer des vaccins aux réfugiés, migrants et demandeurs d’asile, bien au contraire, il en tirerait profit pour étaler son altruisme. C’est donc la peur de devoir indemniser des légions de vaccinés à cause d’effets secondaires qui « apparaissent lorsque les injections entrent dans les bras des gens » qui met un frein financier à la philanthropie dont les géants pharmaceutiques se prévalent. L’humanitarisme a des sentiments que les finances n’ont pas…

Francesca de Villasmundo

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