Oui mesdames et messieurs, au XXIe siècle, il existe encore un bastion du sexisme le plus rétrograde : figurez-vous que ces vils virus pratiquent la discrimination en frappant plus les hommes que les femmes. Et que fait Hollande ? Rien, bien sûr.

Selon une étude parue dans Nature Communications, les virus affecteraient différemment les femmes et les hommes, au détriment de ces derniers. L’équipe de recherche de la Royal Holloway University de Londres dirigée par le professeur Francisco Ubeda a démontré que les hommes meurent 1,5 fois plus de la tuberculose que les femmes à contamination égale et sont cinq fois plus susceptibles de développer un cancer lorsqu’ils sont infectés par le virus du papillome humain (VPH). Même chose pour le virus HTLV-1 (pour virus lymphotrope T-1 humain), un virus qui peut être à l’origine de cancers de type leucémie et qui est 5 fois plus mortel chez l’homme que chez la femme. Cette inégalité de traitement serait due non pas à une différence de système immunitaire, mais à bien à une évolution stratégique des virus. Les femmes seraient des hôtes plus « précieux » pour les virus qui auraient alors évolué pour les garder en vie plus longtemps que les hommes.

Au Japon, grâce à un allaitement maternel plus répandu, la leucémie affecte mortellement les hommes entre 2 et 3 ,5 fois plus que les femmes. Les hommes infectés par le virus d’Epstein-Barr sont deux fois plus susceptibles de développer un lymphome de Hodgkin que les femmes, de même que les hommes ont un risque plus élevé contracter un cas de varicelle grave. Ces deux virus sont transmissibles de la mère à l’enfant. Ainsi, les femmes sont plus épargnées, les agents pathogènes ayant évolué pour les maintenir en vie plus longtemps que les hommes. Le docteur Ubeda a ainsi résumé sa découverte au quotidien The Sun : « Les virus pathogènes s’adaptent pour être moins virulents chez les femmes et augmenter leurs chances d’être transmis aux prochaines générations pendant la grossesse, l’accouchement ou l’allaitement ». L’objectif du virus étant ici de proliférer et de se propager et non de tuer, car si l’hôte est grabataire ou meurt, les virus meurent aussi… Ce en quoi ils sont moins stupides que des socialistes.

A quand des manifestations de FEMEN dépoitraillées hurlant : « Contamine-nous ! » ? Souvenez-vous de cette grande manifestation de 1985 à la station de métro Glacière au cri de « Verglas assassin, Mitterrand complice ! ». A quand une prise de mesures pour l’égalité des sexes prise par Yvette Roudy ? A quand un grand reportage de Caroline Guillemot-Fourest ? A quand des lois condamnant le virus à de lourdes amendes pour discrimination sexuelle ? Faisons barrage de nos anticorps, no pasaran pour le virus sexiste. Car comme disait le bon Monsieur Prudhomme : « Si ça continue, il faudra que cela cesse ».

Hristo XIEP

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