Transcription du vidéo-message [A regarder ICI] 

de Son Excellence Mgr Carlo Maria Viganò

Rome – Piazza del Popolo, le 9 Octobre 2021

Chers amis,

Vous vous êtes rassemblés en ce jour à Rome, sur la Piazza del Popolo, et sur de nombreuses autres places en Italie, alors que des centaines de milliers de personnes à travers le monde manifestent leur opposition à l’établissement d’une tyrannie mondiale. Des millions de citoyens de toutes les nations, dans le silence assourdissant des médias, crient leur “Non !” depuis des mois. Non à la folie pandémique ; non aux confinements, aux couvre-feux, à l’imposition de vaccinations ; non aux passeports sanitaires, au chantage d’un pouvoir totalitaire asservi aux élites.

Près de deux ans se sont écoulés depuis le début de ce cauchemar planétaire. Nous sommes entrés dans un labyrinthe, pas à pas. Au début, c’était les masques à l’intérieur, puis les confinements avec auto-certification, puis les couvre-feux… vous vous souvenez ? Chaque fois, face à un abus qui pourrait sembler justifié par l’urgence, nous avons accepté de nous voir retirer un peu de liberté. Pas à pas. On nous empêchait d’aller à l’église, de sortir de chez nous, de travailler, d’aller à l’école, de rendre visite à nos proches et même à nos parents mourants à l’hôpital. Pas à pas. A une certaine heure du soir, dans nos rues, on ne voyait que des livreurs d’Amazon et de Just Eat [1] : nouvelles victimes du Great Reset, nouveaux esclaves du Système, ainsi que de nombreux petits entrepreneurs, commerçants, bars et restaurants, acculés à la faillite par des réglementations absurdes, illégitimes et contre-productives. Sans compter l’effondrement psychologique qui a touché nombre d’entre nous, des plus jeunes aux plus âgés : certains privés de tout contact social, d’autres emprisonnés dans des RSA sans soins, condamnés à mourir par un protocole ministériel. Pas à pas, nous nous sommes habitués à l’idée qu’un comité technico-scientifique pouvait décider – du moins c’est ce qu’on nous disait – que le virus ne circulait qu’après 18 heures, qu’il touchait les clients debout dans les bars et non les clients assis, qu’il infectait les églises ou les musées mais pas les trains de banlieue ou les bus remplis d’étudiants. Pas à pas, on nous a fait croire qu’une grippe saisonnière comme tout autre coronavirus pouvait tuer des milliers de personnes, sans nous dire que les médecins généralistes et les services hospitaliers étaient interdits de traitement, attendant que la maladie s’aggrave. Ils ne nous ont pas dit que le Covid, sur instruction de l’autorité sanitaire, devait être traité comme une maladie pulmonaire, alors qu’il était d’origine circulatoire ; ils ne nous ont pas dit que les autopsies étaient interdites et que les cadavres étaient incinérés, pour nous empêcher de découvrir les causes de la maladie et de comprendre comment la traiter. Mais entre-temps, ils nous ont montré les camions militaires du général Figliuolo chargés de cadavres, et ils se sont bien gardés d’expliquer que ces camions ne contenaient que quelques cercueils, qui avaient été accumulés à Bergame après une période pendant laquelle les pompes funèbres avaient été empêchées de recueillir les corps et d’organiser les funérailles. Mais quel a été l’impact sur toute la population, confinée chez elle devant la télévision, hypnotisée par le terrorisme médiatique, scientifiquement planifié selon les principes les plus cyniques de la propagande ! Pensez aux personnes âgées, éloignées de leurs proches, privées de tout confort, même spirituel – même les prêtres se voyaient interdire l’accès pour administrer l’extrême-onction ! – Ils sont obligés de subir ce harcèlement quotidien, de voir leurs compagnons de lit mourir, d’assister au désespoir de personnes encore plus seules qu’eux. Nous découvrons aujourd’hui que l’administration de propofol, un anesthésique utilisé pour induire un coma pharmacologique, n’était pas seulement pratiquée par le médecin-chef de Montichiari, qui a été arrêté pour homicide volontaire, mais était une pratique courante dans tous les hôpitaux, comme l’a confirmé le président des médecins-chefs [2] dans une interview et comme l’a souligné le Dr Scoglio. En pratique, ils nous disent avec la plus grande nonchalance que l’année dernière, les patients gravement malades de Covid ont été sédatés au propofol avant d’être intubés, en sachant que cela provoquerait leur mort. Et ils nous le disent si effrontément, car ils sont manifestement convaincus qu’aucun d’entre nous ne s’y opposera, qu’aucun magistrat n’ouvrira un dossier, qu’aucun journaliste ne relatera cet énième scandale, qu’aucun homme politique n’osera critiquer le Premier ministre ou le ministre de la Santé.

Pas à pas, nous avons été contraints, pour ne pas perdre notre emploi et pouvoir exercer nos activités normales, de présenter un document – le green pass (laissez-passer vert) – qui certifie l’état de santé des personnes vaccinées infectieuses et contagieuses et de celles qui sont négatives à des prélèvements peu fiables. Car, comme vous le savez, le vaccin ne protège pas contre la contagion et les écouvillons ne garantissent pas que le résultat correspond à la réalité. Et pour quoi ? Pour une grippe qui pouvait être soignée – et qui l’a été dans de nombreux cas avec un succès documenté, là où ils l’ont laissé faire – mais qui devait être incurable, afin de légitimer l’expérimentation de vaccins par dérogation aux règles ordinaires.

Et toujours en ces jours, où la vérité semble se faire de plus en plus jour, nous apprenons par les déclarations de certains médecins que les prélèvements – sur la base desquels nous avons été confinés chez nous ou contraints à une quarantaine ridicule et épuisante – ces prélèvements qui nous ont été imposés pour détecter les cas positifs à utiliser pour les fameuses statistiques des experts, ne sont pas fiables. Et ils nous le disent aujourd’hui, en toute impunité, après avoir ruiné l’économie, le tissu social, l’équilibre psychophysique de toute une nation. Mais si ces écouvillons ne sont d’aucune utilité aujourd’hui, ils ne l’étaient pas non plus hier ; et cela a été dit non seulement par les “comploteurs”, mais par leurs propres inventeurs, qui ont affirmé qu’ils n’avaient aucune utilité diagnostique. Mais puisqu’il faut maintenant délégitimer les écouvillons parce qu’ils sont la seule alternative – certes coûteuse – à l’inoculation du sérum génique expérimental, ils ne sont plus fiables comme par magie, alors qu’auparavant ils l’étaient de par la loi. Un peu comme Covid après 18 heures.

J’ai mentionné précédemment le labyrinthe dans lequel nous nous sommes égarés. Plus précisément : un labyrinthe dans lequel nous nous sommes retrouvés à suivre ceux qui nous promettaient une issue, tout en sachant pertinemment qu’il n’y en avait pas. À chaque pas que nous avons fait en entrant dans le labyrinthe, nous nous sommes éloignés et nous avons égaré notre chemin.

Parce que C’EST un labyrinthe. Un enchevêtrement de déclarations pseudo-scientifiques, de contradictions logiques, de proclamations apodictiques, de dogmes proclamés par les nouveaux prêtres de Covid, par le Sanhédrin pandémique. Il n’y a rien de conséquent ou de rationnel dans ce qu’on nous dit, et c’est précisément en croyant que ce qu’on nous dit a du sens que nous nous enfonçons de plus en plus dans le labyrinthe. “Vaccinons pour sauver les personnes fragiles et les personnes âgées qui ne peuvent pas être vaccinées”, nous ont-ils dit, tout en vaccinant les personnes fragiles et les personnes âgées. “Un peu plus tard, nous avons découvert que non seulement nous devions porter le masque, mais qu’une dose de sérum ne suffisait plus, ni deux, ni même trois. Entre-temps, les personnes fragiles et âgées meurent du Covid même après la double dose, et si elles survivent, c’est parce que dans les hôpitaux – contredisez-moi, si vous le pouvez – l’azithromycine est administrée aux patients du Covid depuis un certain temps, sous couvert de traiter les parasites intestinaux, mais en sachant pertinemment qu’elle est en fait utilisée contre le virus. Pour ne pas porter atteinte à la crédibilité des vaccins, et non à la santé des patients.

Nous devons sortir de ce labyrinthe, chers amis. Mais nous ne pouvons pas nous en sortir en nous contentant de protester contre le passeport vert, qui n’est que le plus récent instrument de répression, et certainement pas le dernier. En effet : le laissez-passer vert est une aberration juridique, un odieux chantage, une preuve de la spéciosité de l’alarme pandémique ; mais même s’ils révoquaient le laissez-passer vert, il resterait l’absurdité de considérer mortel un virus curable qui n’a pas fait plus de morts que ceux des années passées ; l’absurdité de porter des masques qui non seulement ne servent à rien – de l’aveu même des “experts” – mais qui au contraire provoquent de graves maladies pulmonaires et cérébrales ; l’absurdité de considérer comme un “vaccin” un médicament qui ne sert pas à donner l’immunité et qui s’avère avoir des effets secondaires si graves qu’en quelques mois d’administration seulement, ils dépassent les décès de tous les vaccins des dix dernières années ; l’absurdité de nous laisser inoculer un médicament expérimental qui agit sur notre ADN, faisant de nous des organismes génétiquement modifiés ; l’absurdité de suivre des instructions et des protocoles qui semblent avoir été écrits par des sorciers et non par des médecins consciencieux, étant donné la série de contre-ordres qui sont maintenant parvenus au pathétique. L’absurdité de réfuter sérieusement et calmement des déclarations qui sont si scandaleuses et fausses qu’elles ne méritent pas de réponse. La déclaration de Draghi : “Celui qui se fait vacciner est sauvé, celui qui ne se fait pas vacciner meurt” est un mensonge ; dire “Les personnes vaccinées ne meurent pas du Covid” est faux, comme il est faux de dire que le Covid est une maladie mortelle, puisqu’elle ne le devient que si elle n’est pas traitée. Et il est faux de dire qu’il n’y a pas de remède, car ces remèdes tant décriés sont maintenant utilisés par les mêmes autorités européennes à titre préventif sur les réfugiés afghans que nous avons accueillis il y a quelques semaines. Tout est faux. Fausses les données sur les décès dus à Covid. La fiabilité des prélèvements est fausse. Fausse, l’efficacité et la non-dangerosité des vaccins. Fausse, les admissions en soins intensifs. Faux la “non-corrélation” des “maladies soudaines” affectant les personnes vaccinées. Fausses les alarmes des journaux télévisés, faux les reportages des émissions de divertissement dans lesquelles interviennent les habituels “experts” et « virostar [3] », fausses les prédictions des experts en statistiques.

Sortons du labyrinthe ! Refusons le récit médiatique, peut-être en décidant d’éteindre le poste de télévision, qui s’est transformé aujourd’hui en un tabernacle infernal. Coupons le court-circuit logique de ceux qui exigent notre assentiment même lorsqu’ils mentent comme des arracheurs de dents. Et pour sortir du labyrinthe, chers amis, il faut regarder les choses avec un regard qui ne se limite pas à des faits isolés, mais qui les voit tous dans un tableau plus large, dans lequel la pandémie est un instrument d’ingénierie sociale habilement provoqué dans le but de nous conduire précisément au green pass, au contrôle total, à la limitation des libertés naturelles et constitutionnelles au nom d’un Great Reset dont aucun de nous ne veut, pour lequel personne ne nous a jamais demandé de voter, qui concentre le pouvoir et la richesse dans les mains d’une élite – les “philanthrocapitalistes” comme Gates et Soros – et qui considère le reste de l’humanité comme un réservoir d’esclaves et de clients, à qui ils donnent le minimum d’argent – créé à partir de rien et qui pèse sur eux comme une dette – qui sert à leur permettre d’acheter les biens que cette élite produit ; des biens produits par une main-d’œuvre bon marché, bien sûr, obligée de faire n’importe quoi pour survivre. Alors qu’ils s’apprêtent à nous vendre l’air, l’eau et le soleil, peut-être sous le prétexte de « l’urgence verte » et sous la pression des ridicules Friday For Future (Vendredis de l’Avenir) de Greta Thumberg.

Sortons du labyrinthe en reconnaissant qu’il y a un problème d’autorité : l’autorité civile qui ne poursuit pas le bien commun des citoyens, et l’autorité religieuse qui non seulement a cessé de se soucier du salut éternel des fidèles, mais les livre aux mâchoires d’un dragon infernal. Nous sortons du labyrinthe en apprenant à faire preuve de jugement critique, à ne pas nous laisser tromper par ceux qui ont un tel passé d’abus, de mensonges et de crimes, que nous ne pouvons pas supposer qu’ils agiront autrement avec nous. Sortons du labyrinthe en comprenant qu’une guerre mondiale est en cours, menée non pas avec des armes réelles, mais avec des armes non conventionnelles, telles que la censure de l’information, l’asservissement des médecins, la complicité des politiciens, des magistrats et des forces de police ; une guerre qui laisse sur son passage des victimes innocentes, qui détruit la société, qui affecte l’âme des gens avant même leur corps, qui a été déclarée contre tout ce qui rappelle notre Civilisation, notre culture, notre Foi, nos valeurs. Une guerre entre la lumière et les ténèbres, entre le bien et le mal.

Ils ne se soucient pas de notre santé, tout comme ils ne se soucient pas de préserver l’environnement ou de promouvoir la paix : selon certains – comme le ministre Cingolani – plus de la moitié des êtres humains devraient disparaître, car nous sommes des parasites de la planète. Et ce sont précisément ceux qui théorisent la dépopulation de la planète en recourant à de nouveaux vaccins, à l’avortement, à l’euthanasie et à la stérilisation de masse, qui se font passer pour des philanthropes charitables et distribuent des vaccins efficaces dans ce but précis. Et tous ceux qui, à des titres divers, se sont vendus à ces “philanthropes” nous demandent de “croire en la science” (aujourd’hui pour Covid, demain pour le réchauffement climatique), renonçant à la raison au nom d’un assentiment fidéiste qui confine au suicide. Sortons du labyrinthe ! Nous ne pouvons pas gagner un match lorsque les règles peuvent être renversées à tout moment par notre adversaire.

Nous devons reconnaître que si nous en sommes arrivés là, nous le devons en grande partie à notre infidélité, au fait d’avoir laissé les autres décider de ce qui est bien et de ce qui ne l’est pas à la place de Dieu, d’avoir permis, au nom de la tolérance, la violation de la loi naturelle et la dégénérescence de la morale chrétienne, le meurtre des enfants dans le ventre de leur mère, le meurtre des malades et des personnes âgées, la corruption des enfants et des jeunes. Ce qui se passe aujourd’hui est le fruit empoisonné de décennies de dissolution, de rébellion contre la loi du Seigneur, de péchés et de vices qui crient vengeance aux yeux de Dieu. La Providence nous montre ce que le monde peut devenir lorsqu’il abandonne la seigneurie de Jésus-Christ et se place sous l’esclavage de Satan.

Les miennes ne sont pas des paroles apocalyptiques – comme certains le prétendent – mais un avertissement sévère, en tant que Pasteur, de revenir à Dieu, de reconnaître que là où ne règnent pas le Christ Roi et Marie Reine, règne la tyrannie cruelle et impitoyable du diable, qui promet la fraternité universelle, alors qu’il ne veut que notre destruction sur terre et notre damnation éternelle.

Jésus-Christ est le Roi et le Seigneur de l’Histoire, entre ses mains se trouvent le sort et le destin de chacun de nous, des États et de la Sainte Église. Il ne nous permettra pas de succomber aux assauts de l’ennemi de l’humanité. Revenons, revenons tous à Lui, avec la confiance du fils prodigue qui demande humblement à son père de lui pardonner et de l’accueillir à nouveau dans sa maison. Redevenons des chrétiens, fiers de notre foi et de la civilisation que la religion a construite au cours de deux mille ans d’histoire. Revenons à la défense, dans notre engagement civil et politique, de ces valeurs non négociables que nous voyons aujourd’hui niées et piétinés. Mais surtout – je vous en prie, je vous en supplie – revenons à vivre dans la grâce de Dieu, à fréquenter les sacrements, à pratiquer les vertus, à être des chrétiens cohérents avec les promesses du baptême, des témoins authentiques du Christ.

Pour sortir du labyrinthe, nous devons revenir sur nos pas : notre “fil d’Ariane” est la défense de la famille, du tissu social et religieux de la nation, de notre culture qui est inéluctablement chrétienne, catholique et romaine.

Nous, les Italiens, ne sommes pas racistes ! Au nom de la Charité, qui a été au cours des siècles l’une des fiertés de l’Europe chrétienne, nous pouvons accueillir ceux qui sont persécutés et proscrits par leur propre pays, mais nous ne pouvons pas nous rendre responsables de l’exploitation de millions de migrants, sous prétexte de les accueillir. Nous savons que leur immigration en Europe a été planifiée par l’élite afin de détruire notre identité civile, culturelle et religieuse ; elle sert à l’élite à créer le chaos social, à faire venir une main-d’œuvre sous-payée, à fomenter des guerres entre les pauvres et à priver les pays d’où ils viennent de leur jeunesse.

Pour sortir du labyrinthe, nous devons résister avec courage et fermeté, comme nos pères ont résisté aux dictatures du siècle dernier. Désobéissance civile, coordination des actions de protestation, contacts avec les mouvements d’autres pays, union dans une alliance antimondialiste qui assure aide et soutien contre les autorités asservies au Système. Une résistance pacifique, nourrie par la conscience que le monde envisagé par le Great Reset n’est pas notre monde, puisqu’il est fondé sur une idéologie de mort, sur une pensée antihumaine et anti-chrétienne, et qu’il repose uniquement sur la force des armes ou sur le chantage à l’encontre de ceux qui ne peuvent pas se rebeller.

Ils oublient, ces misérables serviteurs du Nouvel Ordre, que leur utopie, voire une dystopie infernale, nous répugne à tous, précisément parce qu’elle ne considère pas que nous ne sommes pas faits de circuits électromagnétiques, mais de chair et de sang, de passions, d’affections, d’actes d’héroïsme et de générosité. Parce que nous sommes humains, créés à l’image et à la ressemblance de Dieu, dotés d’intelligence et de libre arbitre. Mais cela, les démons ne peuvent le comprendre : c’est pourquoi ils échoueront lamentablement.

Et pour que ce jour où vous manifestez publiquement et courageusement votre opposition à la tyrannie imminente ne reste pas stérile et dépourvu de lumière surnaturelle, je vous invite tous à réciter avec moi les paroles que le Seigneur nous a enseignées. Faisons-le avec ferveur, avec un élan de charité, en invoquant la protection de Notre Seigneur et de sa Sainte Mère sur nous tous, sur nos familles, sur notre patrie et sur le monde entier : Notre Père, qui êtes aux cieux….

+ Carlo Maria Viganò, archevêque

Rome, le 9 octobre 2021

Notes de bas de page

[1] — Just Eat est une entreprise britannique de livraison de plats cuisinés.

[2] —         Voir https://twitter.com/AlexGiudetti/status/1443448302834528256

[3]https://scenarieconomici.it/il-prof-massimo-galli-la-virostar-vaccinata-contro-il-devastante-virus-delletica/

[La vidéo]—La vidéo retransmise le 9 octobre 2021 sur la Piazza del Popolo aux italiens qui manifestent contre la tyranie sanitaire

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