Le mot d’ordre est lancé. L’heure de la rébellion a sonné pour les peuples un peu partout dans le monde. A Berlin, Paris et Londres, les foules se sont massées hier 29 août à la même heure, pour secouer le joug de l’oppression.

 

A Londres, c’est Trafalgar Square qui a été retenu comme lieu de la manifestation à laquelle un million de personnes étaient présentes. Lieu hautement symbolique puisqu’il fut établi pour commémorer la victoire, décisive pour la sécurité de la Grande-Bretagne, de l’Amiral Nelson dans les guerres napoléoniennes, et pour célébrer le retour triomphal à Londres du “héros de la nation”.

 

Les manifestants de Berlin avaient reçu le soutien d’une “célébrité” en la personne de Robert Kennedy Jr., venu apporter sa caution au mouvement, en tant qu’avocat spécialiste des questions environnementales et sanitaires et, en particulier, des vaccins.

 

Les Londoniens n’étaient pas en reste, qui comptaient parmi eux une star bien “british” mais de renommée mondiale, le conférencier, auteur et lanceur d’alerte David Icke.  Celui-ci annonce, depuis près de 30 ans, la venue d’un gouvernement mondial orwellien dans lequel l’humanité serait réduite en esclavage par une poignée d’élites au moyen d’un contrôle total de la finance, des médias et d’une police militaire surveillant 24 heures sur 24 une population pucée comme du bétail.

Une demi-heure après le début de la manifestation qui peut être visionnée ici, quelques remous se sont fait sentir sur le podium, précédant l’entrée en scène de David Icke qui prit le micro à 14:00.

David Icke avait choisi l’arme du ridicule qui, s’il ne tue pas, neutralise efficacement l’adversaire.

 

Ci-après, voici quelques extraits de son intervention:

 

“ Nous avons affaire à un virus qui semble bien équipé pour couvrir toute éventualité …” 

Rires.

“On nous dit que nous pouvons voir nos amis pendant 15 min seulement mais pas au-delà …donc ce virus porte une montre !” 

Rires. 

“Puis on nous avertit que le masque sera obligatoire, mais seulement à partir de lundi…donc ce virus a aussi un calendrier !” 

Acclamations.

“Nous avons affaire à un virus si intelligent qu’il n’affecte que ceux qui prennent part à des manifestations que le gouvernement veut arrêter !” 

Applaudissements.

“Comment tout cela est-il possible? Je vais répondre moi-même à ma question, mais par une autre interrogation : comment ai-je pu prédire tous ces événements déjà depuis trente ans ? Comment George Orwell a-t-il pu les décrire dans les années 40 ? C’est parce que les événements présents ne sont pas aléatoires, ce ne sont pas juste des “choses qui arrivent”. Ils correspondent à un plan qui a été mûri de très, très longue date et qui est en passe de nous asservir totalement, de nous faire passer sous une dictature technocratique terrifiante si nous ne nous  mobilisons pas pour le contrer. 

Nous sommes à un tournant unique de l’histoire. Si nous continuons à laisser les psychopathes aux commandes, ça ne va pas bien se terminer  pour nous. Mais si nous nous rappelons qui détient véritablement le pouvoir, nous serons en mesure d’en finir avec cette dictature en deux temps trois mouvements.

Cette tentative d’asservissement de type fasciste n’est même pas l’oeuvre de professionnels de la santé, vous savez… Elle a été montée par des psychologues. Oui, et leur QG se trouve pas loin d’ici, au bout de la rue, au siège du gouvernement…hum, je veux dire au siège de la compagnie privée intégrée au gouvernement britannique. Et ce bureau porte le nom de “Behavioural Insights Team” [l’équipe de l’analyse des comportements] .

Sa tâche est d’étudier les comportements des populations en vue d’en tirer des leçons, qui seront ensuite appliquées pour modifier ces comportements… aux fins de l’ingénierie sociale. Et nos enfants sont le groupe ciblé en priorité.

Mais le grand secret qu’ils ne veulent pas que nous sachions  est que les autorités ne détiennent pas le pouvoir…” 

Hourras frénétiques .

“Le monde est gouverné par une toute petite minorité d’élites, grâce à une simple succession d’actes d’imposition et d’acception…qui se perpétue depuis le sommet de la pyramide jusqu’à sa base : des impositions suivies d’acceptations. Cette chaîne ininterrompue créée un circuit. Comment la briser ? En disant “Non!” à l’acceptation , “Non!” au port du masque. Il est temps, il est plus que temps que nous prenions le contrôle de nos destinées, que nous écrivions notre propre histoire.”

Cris de la foule  :

“Freedom! Freedom!”[Liberté! Liberté]

“Ne faites pas le lit du fascisme par votre passivité car vos enfants et vos petits-enfants en feront les frais. Arrêtez de servir les psychopathes. Nous sommes des milliards, tandis que le noyau dur de ces malades mentaux ne tiendrait que dans une seule pièce si on les rassemblait. Alors, levez-vous, peuples du monde, et marchons ensemble!”

Cette dernière invocation aux relents de “Marseillaise” doit faire se retourner dans sa tombe le héros de Trafalgar qui avait vaincu la flotte de l’ogre napoléonien…

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