En cette période de fête, où les colons ont réitéré cette année à Berlin leurs « exploits » de l’an dernier à Cologne, le puissant lobby collaborationniste actif sur Tweeter en ressortant une série de photographies parue dans le magazine de propagande américain Time le 22 septembre 2015. Il s’agit de 15 clichés d’époque, colorisés par une photographe, Sanna Dullaway, actuellement en poste en Suède. Clichés censés faire un parallèle entre les vrais réfugiés d’alors et les faux réfugiés de maintenant… Car quand on regarde les 15 photos, on s’aperçoit de ce qu’est vraiment des réfugiés, et cela n’aucun rapport avec ce qu’on voit aujourd’hui débarquer en Europe…

Photo 1 : Une colonne de réfugiés tente de franchir un pont détruit sur l’Elbe à Tangermünde pour échapper aux Soviétiques. Les personnes que l’on peut distinguer comptent une majorité de femmes et d’enfants.

Photo 2 : Photo du camp de transit de la Lehrter Strasse à Berlin prise le 26 septembre 1945 : il n’y a que des enfants.

Photo 3 : Camp de réfugiés en Allemagne en mars 1945, il n’y a que des jeunes femmes et des jeunes filles et seulement deux hommes.

Photo 4 : Les 11 derniers rescapés d’un convoi de 150 personnes parties de Lodz pour Berlin. Photo prise en décembre 1945. Il s’agit en totalité de femmes et d’enfants.

Photo 5 : Une femme dans les ruines de Cologne avec ce qui reste de ses biens.

Photo 6 :  Des réfugiés belges à La Gleize, Belgique, le 2 janvier 1945. Que des femmes et des enfants, plus deux hommes trop vieux pour combattre.

Photo 7 : Réfugiés français à Saint-Pois (Manche) le 10 août 1944.  Deux personnages visibles sur la photo, une femme et une fillette.

Photo 8 : Un flot de réfugiés fuyant Paris en juin 1940. Que des femmes et des enfants.

Photo 9 : Un personnage unique lisant une revue dans un camp de réfugiés en 1945. Une femme.

Photo 10 : train archibondé, plein de réfugiés allemands fuyant l’avance soviétique. Aucun homme en âge de porter les armes n’est visible.

Photo 11 : Réfugiés belges lors de la contre-offensive allemande en janvier 1945. Pas d’homme en âge de se battre.

Photo 12 : Groupe de réfugiés belges en mai 1940 dépassé par un convoi militaire. Une famille au premier plan : une vieille femme, une femme, un jeune homme et un garçonnet.

Photo 13 : Groupe de réfugiés allemands attendant l’ouverture de la frontière de Liechtenstein le 18 mai 1945. Une majorité de femme mais plus d’hommes que d’ordinaire (la guerre est finie).

Photo 14 : Un père de famille française tire une bicyclette à laquelle est attachée le landau de sa fille à Roncey (Manche) le 7 août 1944.

Photo 15 : Les passagers du navire portugais Serpa Pinto, essentiellement des réfugiés juifs, à leur arrivée à Philadelphie le 31 mai 1944. Capturé le 26 mai par le sous-marin allemand U-541 qui voulu couler le navire après en avoir fait descendre les passagers, Berlin donna finalement ordre de le laisser repartir.

Cette série de photo est totalement opposée à celles que l’on voit de nos jours, au vu de la surreprésentation des femmes et des enfants. De plus, toutes les photos sauf la 15 montre des réfugiés… dans leur propre pays. La photo 15 montre effectivement des réfugiés quittant l’Europe et la photo 13 des réfugiés voulant accéder à un pays neutre… qui avait fait partie du leur jusqu’en 1815. Les « réfugiés » d’aujourd’hui, du moins ceux qui déferlent en Europe, n’en sont pas. Ils sont à 71 % composés d’hommes jeunes, en âge de porter les armes. Ce ne sont en rien des migrants mais les première unités de reconnaissance d’une armée d’invasion, venue reconnaître le terrain, tester les résistances et estime le butin potentiel.

Rappelons, à toutes fins utiles, que Time jugea comme « une idée sensationnelle » dans son numéro du 24 mars 1941 celle contenue dans le livre de l’imprésario de Sarah Churchill, Theodore Newman Kaufman, visant à exterminer par stérilisation forcée la population allemande. Livre qui arriva jusqu’aux mains de Joseph Paul Goebbels, qui ne pouvait pas espérer meilleur cadeau…

Hristo XIEP

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