Le temps est venu de relever la tête, de rejeter avec dédain cette

résilience qui veut que nous soyons prêts à subir les coups sans réagir.

Le nouveau cadre politique qui se dégage des récentes élections confirme ce sentiment commun de l’électorat que certains avaient pu saisir à l’avance. Après deux ans de violations troublantes des droits les plus fondamentaux, et après deux gouvernements qui ont montré qu’ils obéissent aux ordres d’entités supranationales contre les intérêts de l’Italie et des Italiens, le vote qui a porté au gouvernement le soi-disant centre-droit dirigé par Fratelli d’Italia a exprimé sans équivoque une ligne politique précise, qui va bien au-delà des modestes propositions du programme des partis de la coalition.

Cela est évident surtout du fait qu’au sein de cette alliance, il y a eu une redistribution du consensus en faveur de ce parti qui a été instinctivement considéré digne du vote en tant que seul parti d’opposition. Une opposition très modérée, mais toujours une opposition, plus dans la perception du citoyen moyen que dans la réalité.

Les partis dits « anti-système », fragmentés et convaincus qu’ils peuvent franchir la barrière des 3% et ainsi pouvoir siéger au Parlement, ont un total d’environ un million d’électeurs. Cela est dû à la fois à la décision non-improvisée du gouvernement démissionnaire de convoquer les rassemblements électoraux au milieu de l’été ; tant à la très faible visibilité que leur accordent les grands médias ; qu’au manque d’emprise de leur programme, dont la crédibilité et la faisabilité semblaient peu convaincantes et donc destinées à la dispersion du vote.

Un autre invité de marque est le parti abstentionniste, qui se situe autour de 36%, mais qui voit en son sein des motivations différentes et opposées qui sont difficilement attribuables à une « dissidence » générique. Il est donc tout à fait déplacé, à mon avis, de vouloir connoter politiquement l’abstention, en attribuant sa représentativité dans des supposés partis-du-non-vote, précisément parce que le choix de ne pas se rendre aux urnes implique également le choix de ne pas avoir de représentation politique. Certes, la plupart des abstentionnistes expriment la volonté de ne pas accepter de participer à un jeu, pour ainsi dire, dans lequel les règles sont décidées par d’autres. Mais à ceux-là, il faut aussi ajouter   ceux qui ne votent pas par pur désintérêt, ou plus simplement – et cela me semble être le cas de la majorité – parce qu’ils sont dégoûtés par une classe politique qui s’est révélée indigne et corrompue au-delà de toute qualification possible. En cela, Fratelli d’Italia a été sauvé en partie parce qu’il a eu l’astuce de rester dans l’opposition, souvent inerte ou complice, mais au moins officiellement en dehors du gouvernement Draghi.

D’autre part, le Parti démocrate (PD), emblème de cette gauche radicale chic jamais assez détestée, et qui a remplacé la lutte des classes contre les patrons par la lutte entre les pauvres, alimentée par l’élite mondialiste, n’a pas été sauvé. Les Démocrates italiens ont combiné le pire du collectivisme communiste avec le pire du libéralisme consumériste, au nom d’un programme qui privilégie le lobby de la haute finance en utilisant tour à tour les urgences pandémiques, énergétiques et de guerre dans le seul but de détruire le tissu social traditionnel. Non pas que les autres partis participants avec le PD au dernier gouvernement aient été meilleurs : la bastonnade subie aux élections par la Lega, Forza Italia et d’autres partis mineurs est directement proportionnelle à la trahison de leur électorat. Et si l’incohérence absolue de Luigi Di Maio a été définitivement sanctionnée par l’absence de réélection, force est de constater que Giuseppe Conte a pu bénéficier du support – à la limite du vote d’échange – du revenu de citoyenneté : son incompétence démontrée n’a pas changé les intentions de vote d’une foule de clientes loin d’être désintéressés.

De nombreuses voix perdues par le PD se sont tournées vers Fratelli d’Italia, et cela confirme encore les attentes de ceux qui ont choisi la Droite de Giorgia Meloni non pas pour ce qu’elle est, mais pour ce qu’elle peut être ; pas pour ce qu’elle a dit de faire, mais pour ce que tout le monde s’attend qu’elle fasse effectivement. Une Giorgia Meloni qui défende ces solides principes de base de la coexistence civile, pâlement inspirés par la Doctrine sociale de l’Église, mais auxquels les Italiens ne sont pas prêts à renoncer : protection de la famille naturelle, respect de la vie, sécurité et lutte contre l’immigration clandestine, fin de l’endoctrinement gender et LGBTQ+ pour les mineurs, liberté d’entreprise, présence de l’État dans les asset stratégiques, plus de poids en Europe et – plaise à Dieu – la sortie de l’euro et le retour à la souveraineté nationale. En bref, Meloni devrait se comporter comme le chef d’un parti de Droite modérée, tendanciellement conservateur, modérément souverainiste. Rien d’extrême – certainement pas d’extrême droite – malgré les proclamations alarmistes de la Gauche ; mais du moins pas aligné sur un atlantisme enclin à l’OTAN ni à l’européisme suicidaire qui a caractérisé l’action du gouvernement Draghi, ni voué par la fureur idéologique à la destruction de la civilisation, de la culture, de la religion et de l’identité du peuple italien.

Selon certains observateurs, les nouveaux mouvements – délibérément ou simplement se laissant utiliser par le système – ont constitué une opposition fictive, leur faisant préférer « se boucher le nez » en votant pour Fratelli d’Italia. En vérité, il y a deux oppositions fictives : l’une interne au système, atlantiste et pro-européenne, et l’autre externe et divisée en différents partis, nominalement anti-européenne et anti-atlantiste, mais composée de personnages au passé pour le moins incompatible avec les nouveaux programmes. Beaucoup de candidats de ces mouvements anti-système étaient certainement des gens honnêtes, en grande partie des homines novi, mais il est indéniable que leur présence n’a pas réussi à convaincre ceux qui considèrent qu’il est urgent non seulement de donner un signal de fort mécontentement, mais de voir ce mécontentement se traduire à court terme par des actions gouvernementales incisives et déterminées, qui remédient aux désastres des deux législatures précédentes. Lega et Forza Italia ont eu une hémorragie importante d’électeurs, à mon avis motivée par l’aplatissement de leurs dirigeants et personnalités de premier plan sur le récit de la pandémie et la crise ukrainienne : Matteo Salvini et Silvio Berlusconi ont décidé d’obéir à l’Union européenne, à l’OMS, à l’OTAN et aux diktats de leurs inspirateurs du Forum Économique Mondial. Un choix scélérat, comme nous l’avons vu, sévèrement puni par les électeurs ; mais qui reste largement partagé aussi par Giorgia Meloni, membre de l’Aspen Institute (qui fait partie de la Rockefeller Foundation) et ouvertement atlantiste et pro-européenne.

En substance, la déconnexion entre électeurs et élus, entre citoyens et classe politique s’est répétée sous la forme d’un « souhait », pour ainsi dire, attribuant à Fratelli d’Italia un rôle que le parti lui-même a déclaré pendant des semaines qu’il ne veut pas assumer, puisqu’il n’entend remettre en cause ni les politiques de l’Union Européenne ni les objectifs de l’OTAN et de l’État profond américain. C’est comme si l’Italien moyen avait décidé de voter pour Meloni nonobstant qu’elle soit ouvertement en continuité avec l’agenda de Draghi, comme pour lui forcer la main pour qu’en vertu d’une majorité écrasante, elle prenne courage et prenne les mesures qu’elle avait promis de ne pas prendre jusqu’à la veille des élections. Et tout comme certains craignent que Meloni se comporte « comme une fasciste » et que, pour cette raison, ils crient à l’urgence démocratique menaçant de s’expatrier, il y en a beaucoup – certainement tous les électeurs de Fratelli d’Italia – qui espèrent et prient pour qu’elle agisse en tant qu’Italienne, en tant que patriote, en tant que chrétienne. Et qui sauront passer outre le fait que, pour se rendre au Palazzo Chigi (siège du Premier Ministre italien, ndlr), elle a donné des assurances qu’en réalité elle pourrait démentir dans les faits. Reste à savoir si la première femme Premier Ministre saura se distinguer de ses prédécesseurs ou si elle préférera s’incliner devant l’État profond et perpétuer la trahison des Italiens.

D’autre part, si le vote démocratique doit indiquer celui qui représente la volonté du peuple souverain, Meloni elle-même ne pourra manquer de prendre en compte le fait que ses électeurs exigent d’elle des choix radicaux, et qu’ils considèrent sa modération préélectorale simplement comme un geste stratégique pour rassurer « les marchés ». Des choix que même beaucoup dans la Lega et dans Forza Italia verraient favorablement, au-delà du zèle vaccinal et du zèle belliciste de tel ou tel parlementaire ou gouverneur.

Les propres mots de résipiscence de Salvini concernant l’approbation des confinements et de l’obligation de vaccination, quelques jours avant le vote, trahissent la prise de conscience que le suicide délibéré de ces partis par leurs dirigeants a été mal digéré par la base. Il en va de même dans Fratelli d’Italia, où la position de Meloni sur l’envoi d’armes en Ukraine et sur les sanctions contre la Fédération de Russie n’est pas partagée par une partie du parti, à la fois parce qu’elle est clairement autodestructrice et parce qu’elle repose sur l’hypothèse fausse que les interlocuteurs internationaux resteront les mêmes, sans changements significatifs. Il n’est pas tout à fait certain que Joe Biden passe les élections de mi-mandat, ni que les enquêtes du Procureur Général John Durham n’impliqueront pas Biden et sa famille, ainsi que des politiciens démocrates, dans les scandales qui ont maintenant émergé même dans le courant mainstream américain. Et il n’est pas certain que la politique interventionniste de l’Union Européenne et de l’OTAN en Ukraine reste inchangée, face aux preuves des bombardements répétés de civils par Zelensky dans le Donbass et les régions russophones, à la victoire des référendums d’annexion à la Russie et au désastre total des sanctions pour les pays européens. Enfin, la contiguïté de l’administration Biden avec Kiev pourrait entraîner des changements à la chaîne, si Biden voit le consensus électoral déjà précaire dont il jouit s’éroder davantage, faisant disparaître le soutien au gouvernement fantoche voulu par Victoria Nuland et permettant par conséquent des négociations de paix jusqu’ici obstinément entravées par Washington. Et, compte tenu de l’influence politique du Président Trump et de son hostilité déclarée à l’égard de l’État profond américain, un accord de paix serait certainement plus proche et plus durable s’il devait retourner à la Maison Blanche.

Nous savons que ce n’est pas le don des politiciens d’aujourd’hui d’honorer leurs engagements envers l’électorat. Néanmoins, on peut raisonnablement s’attendre à ce que la prochaine Présidente du Conseil [Giorgia Meloni] veuille réviser ses positions pro-atlantistes et pro-européennes, en revenant à ce rôle de véritable alternative de Droite à l’hégémonie de l’ordolibéralisme et de la Gauche woke ? Dans ce cas, ce seraient les électeurs qui en bénéficieraient, et ceux qui se verraient « trahis » n’auraient pas le droit de revendiquer la violation des pactes de soumission de l’Italie à la Commission Européenne, puisqu’ils n’avaient pas de titre auparavant pour les stipuler. La « trahison » des puissances hostiles à l’Italie serait une action vertueuse, puisqu’elle rétablirait la souveraineté usurpée par l’élite ; à l’inverse, obéir à l’élite et ne pas poursuivre les intérêts de la Nation constituerait une trahison du nouveau Gouvernement envers ses électeurs. Si l’on peut s’attendre à ce que l’élite boycotte l’Italie (spreads, taux d’intérêt, révocation des fonds PNRR, mise sous tutelle), du peuple trahi pour la énième fois, dans des conditions de pauvreté croissante et de persécution délibérée des entreprises et du travail, il y a à craindre les barricades et la protestation dictées par l’exaspération, dont nous voyons des avertissements également dans d’autres pays. En évaluant les coûts et les avantages, je veux espérer que le Gouvernement Meloni ne voudra pas se rendre complice de cette opération subversive au détriment du Pays.

Il est difficile de croire que l’oligarchie financière n’ait pas pris en compte cette possibilité. Il est plus facile de croire qu’il s’agisse précisément de gérer la stratégie de sortie et de contenir les dégâts tant sur le front de la pandémie et de la fraude vaccinale, que sur le front de la Grande Réinitialisation, de la transition numérique et de l’urgence verte fortement souhaitées par le Forum Économique Mondial (pour des raisons idéologiques) et par la Chine (pour des raisons économiques).

Il me semble que beaucoup de gens prennent conscience du très grave coup d’État mené par des puissances supranationales, capables d’interférer lourdement avec les activités des gouvernements et des organismes internationaux. Le monde des affaires et du travail est en train de comprendre l’action délibérée de destruction du tissu économique national menée d’abord avec la Covid, puis avec la guerre en Ukraine. Chaque décision, chaque règle, chaque décret pris par Draghi, avec ou sans le vote parlementaire, a été un outil pour obtenir le plus grand préjudice possible pour les citoyens, pour les entreprises, pour les employés, pour les retraités, pour les étudiants. Ce qui aurait empêché les décès, la saturation des hôpitaux, la fermeture d’entreprises, l’augmentation du nombre de chômeurs, tout cela a été scientifiquement omis, accomplissant l’action la plus dévastatrice et en contraste clair avec les objectifs annoncés. Aujourd’hui, nous voyons des milliers d’entreprises énergivores destinées à suspendre leur production ou à faire faillite parce que le Gouvernement Draghi démissionnaire n’a pas l’intention de mettre un terme à la scandaleuse spéculation d’ENI (Société Nationale d’Hydrocarbures, ndlr) sur le prix de l’énergie, qu’elle paie à des prix dix fois inférieurs. Le marché est autorisé à régner sans contestation, de sorte que la bourse d’Amsterdam peut détruire l’économie des nations, enrichir de manière disproportionnée les multinationales et servir les intérêts de l’élite qui fait pression pour l’établissement d’une dictature technologique conformément à l’Agenda 2030 des Nations Unies. Un programme qui, aujourd’hui, fait l’objet d’un endoctrinement scolaire depuis l’école primaire et qui lie le financement du PNRR (Plan national de relance et de résilience de l’UE, ndlr) à des réformes et à de nouvelles réductions de dépenses insoutenables.

Si le narratif mondialiste commence à montrer des signes de défaillance, en particulier dans les classes qui sont normalement les plus influencées par le mainstream, probablement ceux qui sont au pouvoir – le pouvoir réel, je veux dire – se sont déjà préparés au prochain scénario et s’organisent pour sacrifier ces boucs émissaires qu’inévitablement la foule voudra voir pendus. De cette façon, on éliminera ces complices incommodants et qui ne sont plus utiles, satisfaisant la soif de justice du peuple et se montrant même comme des sauveurs et des moralisateurs. Les victimes désignées seront clairement les apôtres les plus zélés de la psychopandémie, les virostars en conflit d’intérêts, certains représentants institutionnels et peut-être quelques « philanthropes », dont la condamnation l’élite éliminerait également un concurrent déplaisant. Et il n’est pas exclu que Bergoglio lui-même, promoteur des sérums géniques et grand prêtre du mondialisme néopaïen, tombe victime de l’exécration des Catholiques, fatigués d’être traités comme des ennemis, de la même manière que les citoyens sont exaspérés par l’hostilité de leurs dirigeants.

Giorgia Meloni est, pour le moment, un Premier Ministre en puissance. Elle est ainsi pour ceux qui attendent que Fratelli d’Italia soit la voix de cette dissidence véritable et motivée envers l’ensemble de la classe politique, et qu’en tant que telle, elle agisse avec force et détermination, sans être intimidée. Elle est un Premier Ministre en puissance pour ceux qui ont voulu lui accorder cette confiance que d’autres ont déçue et trahie à plusieurs reprises. La leur est un geste irrationnel, animé par une préoccupation croissante pour le sort de la Nation et par la conviction qu’une majorité écrasante au Parlement peut donner la sécurité d’action au nouveau Gouvernement pour faire des choix forts, pour lesquels elle obtiendra l’appui et le soutien de l’électorat, auquel elle doit répondre comme expression de la volonté populaire. Elle est un Premier Ministre en puissance parce que les deux Premiers Ministres précédents étaient tout sauf de Premiers Ministres, se comportant comme serveurs de Von der Leyen, de Klaus Schwab et de Joe Biden. Si Giorgia Meloni veut vraiment être Premier Ministre, et l’être en action et non seulement en puissance, elle doit d’abord tenir tête à ceux qui, non élus par personne, se permettent de donner des licences de présentabilité politique aux chefs de gouvernement démocratiquement élus, alors qu’ils sont les premiers à se retrouver dans de très graves conflits d’intérêts, à commencer par les SMS d’Ursula avec Bourla, pour continuer avec l’appartenance des dirigeants mondiaux au WEF, et conclure avec l’implication de Biden dans le financement des biolaboratoires de la NASA en Ukraine et dans les affaires de la principale société énergétique de Kiev.

L’Italie est une nation qui peut se relever, comme elle l’a toujours fait dans le passé, si elle sait retrouver la fierté de son identité, de son histoire, de son destin dans les plans de la Providence. Depuis des décennies, les Italiens subissent des décisions prises ailleurs, dont ils n’ont reçu que des dommages et des humiliations. Le temps est venu de relever la tête, de rejeter avec dédain cette résilience qui veut que nous soyons prêts à subir les coups sans réagir. Le monde dystopique du mondialisme doit être rejeté et combattu non seulement pour nous, mais pour nos enfants, à qui chacun de nous veut laisser un avenir serein, de solides perspectives économiques pour construire une famille sans se sentir marginalisé ou criminalisé parce qu’il n’accepte pas de se résigner à des plans subversifs décidés par ceux qui veulent que nous mangions des insectes et nous forcent à l’esclavage dans le seul but de nous rendre pauvres et de nous contrôler dans tous les aspects de la vie quotidienne.

Mais cela – je le dis en tant que Pasteur, m’adressant en particulier aux Catholiques – ne sera possible que si les Italiens reconnaissent que la justice, la paix et la prospérité d’une Nation peuvent être obtenues là où règne le Christ, où Sa loi est observée, où le bien commun passe avant le profit personnel et la soif de pouvoir. Retournons au Seigneur, et le Seigneur saura récompenser notre fidélité. Revenons avec confiance à la Très Sainte Vierge Marie, notre Mère céleste, et elle intercédera pour notre chère Italie auprès de Son Fils.

+ Carlo Maria Viganò, Archevêque, Nonce apostolique

27 septembre 2022 – Ss. Cosmæ et Damiani, Martyrum

©Traduction de F. de Villasmundo pour MPI relue et corrigée par Mgr Viganò

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