Ce « chargé de mission » à l’Elysée, [(au premier plan à droite) qu’on retrouve dans la viédo ci-dessous ndlr], équipé d’un casque noir à visière des forces de l’ordre, a molesté une femme, puis tabassé un homme à terre lors d’une manifestation, à Paris, le 1er mai dernier, avant de s’éclipser par peur d’être identifié.

A l’époque, ce proche collaborateur de Macron (ils ont skié ensemble dans les Pyrénées, en décembre), en fait chargé de sa sécurité mais en congé ce jour-là (!), avait été suspendu deux semaines, puis recasé au Château… sur décision du chef de l’Etat. En douce. Dans le feutré. Ni vu, ni connu. Par le passé, le garde du corps avait déjà agressé un journaliste et un militant communiste, menacé un commissaire de police et même provoqué un accident de voiture avant de tenter de s’enfuir. L’adjoint au chef de cabinet du président (c’est son titre !) était pourtant chargé, il y a encore quelques jours, d’organiser… les vacances du couple Macron au fort de Brégançon. Source

Règlements de comptes autour de l’Elysée?

Reste à savoir pourquoi “Le Monde” a sorti cette affaire qui impacte directement l’Elysée alors que le quotidien des bobos de gauche avait largement propagé la propagande qui a permis à Macron de prendre l’Elysée?  Alors que l’affaire Benalla semblait étouffée, l’homme de main de Macron recevait ce 9 juillet 2018, un appartement de fonction  quai Branly, dans “une dépendance de l’Elysée.”

En plus d’un gros salaire et d’une voiture de fonction, ce proche d’Emmanuel Macron s’est vu aussi attribuer un appartement dans “une dépendance de l’Elysée”:

Un logement qui pose question. Alexandre Benalla, le collaborateur de l’Elysée mis en cause pour violences contre un manifestant le 1ermai, est domicilié au 11, quai Branly, dans un appartement appartenant au parc de l’Elysée, a-t-on appris de plusieurs sources, confirmant une information du Monde.

Ces logements, situés dans le VIIe arrondissement de Paris, sont souvent attribués à des opérationnels de l’Elysée pour des nécessités de service.

Mais selon Le Monde, son emménagement officiel est daté du 9 juillet, soit bien après les faits de violences qu’on lui reproche et la mise à pied de 15 jours qu’il aurait reçue.

Par le passé, Claude Guéant, Henri Guaino ou Jean-Louis Georgelin, chef d’état-major des armées entre 2006 et 2010, ont par exemple habité les lieux. C’est aussi là que François Mitterrand, alors président de la République, avait discrètement installé sa compagne Anne Pingeot et leur fille Mazarine. Source

Pour en savoir plus sur cette affaire voir Ici, “encore un passeport banlieue qui passe mal” et Ici, les frasques des “7 racailles de l’Elysée”.

Lire aussi: Scandale Benalla et flagrants-délits de mensonges: que cachent tous ces passe-droits?

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