À tout juste 21 ans, Thaïs d’Escufon, militante de Génération identitaire, fait preuve d’un courage exemplaire et ne se cache pas derrière des phrases creuses et consensuelles. MPI vous propose de la découvrir à travers un entretien qu’elle a donné à Pass’Politique et une vidéo réalisée par nos confrères de Valeurs Actuelles.

Voici comment les haineux de Libération la présente : “Thaïs d’Escufon est un pseudonyme. C’est aussi le nouveau visage de Génération identitaire (GI) : un visage d’ange aux idées très radicales, idéal pour personnifier un groupuscule d’extrême droite racialiste très attentif à lisser son image. C’est son activisme sur les réseaux sociaux qui a fait connaître la jeune femme, désormais bannie de Twitter. Entre dénonciation du pseudo-«grand remplacement» (théorie raciste et complotiste prétendant que les élites orchestreraient la substitution des peuples «de souche» par des populations immigrées) et défense de la race blanche, Thaïs d’Escufon y multipliait les messages rageurs contre «le péril mortel de l’invasion migratoire» et les appels à la «reconquête».”

Quant Cyril Hanouna, il n’a pu s’empêcher le 21 janvier 2021, de vomir son venin mondialiste et pro-immigrés contre la porte-parole de Génération identitaire. Avoir de tels ennemis – Libération et Hanouna – , c’est déjà une grande victoire !

L’entretien à Pass’Poliotique

Est-ce que tu peux présenter ?

Je m’appelle Thaïs, j’ai 20 ans et je suis étudiante en langues étrangères à Toulouse. Cela fait presque  2 ans que je milite au sein du mouvement Génération Identitaire.

Quel est ton parcours ?

Après un bac littéraire je me suis tournée vers une licence de langues à la faculté du Mirail à Toulouse. Mais la politique m’intéressait et je suivais de près l’actualité. J’avais déjà la volonté de m’investir et d’incarner un changement dans notre pays.

À quel âge et pourquoi t’es-tu engagée en politique ?

J’ai réellement commencé à m’intéresser à l’engagement militant un peu avant mes 18 ans, puis j’ai fait la rencontre de membres du mouvement en janvier 2018. J’ai alors eu le sentiment d’avoir trouvé ma voie, la pensée  identitaire faisait écho en moi comme si j’avais toujours eu ces valeurs sans pouvoir poser un mot dessus. Mais surtout j’en avais assez d’être un témoin passif de l’Histoire, de voir toutes ces décisions politiques catastrophiques pour mon pays être prises sans pouvoir émettre une objection : la démocratie n’est-elle pas censée représenter le peuple ? C’est pour incarner ce désaccord et cette protestation que je me suis engagée ; soif de renouveau, soif d’action, soif intellectuelle aussi. 

Pourquoi continues-tu d’être engagée en politique ?

En commençant à militer j’ai réalisé le réel impact que peut avoir notre mouvement, qu’une bande de jeunes portant la voix d’une France délaissée peut se faire entendre si elle s’en donne les moyens. Plus le temps passe, plus mon intime conviction d’avoir raison et d’incarner la majorité silencieuse grandit.

Tu es membre de « Génération identitaire », pourquoi ce choix ?

Génération Identitaire c’est la jeunesse, c’est l’avenir ! Il est évident que nos idées ne font que se répandre et grandir en popularité. Nous incarnons vraiment le nouveau souffle qui peut changer notre pays. On y vit une expérience hors du commun, dont jamais nous n’aurions mesuré l’ampleur auparavant. La camaraderie, le dépassement de soi, le courage, la formation, l’action, tout y est.

Quelles sont les valeurs, les enjeux, les batailles qui te tiennent à cœur et que tu défends à travers ton engagement ? 

Génération Identitaire se veut sur tous les fronts le bouclier de notre peuple, la première ligne. Et la principale bataille aujourd’hui, celle qui nous menace en premier lieu c’est l’immigration massive et l’islamisation qui met l’Europe et la France à genoux.  

Si nous n’agissons pas maintenant, ce pourrait être la fin de notre civilisation. Le choc etho-culturel et la polarisation de notre société se ressentent déjà. Il n’est pas trop tard pour agir, mais il faut agir vite.

Comment concilies-tu étude/vie professionnelle et engagement ?

Je travaille à temps partiel en même temps que mes études et tout est une question d’organisation ! Le militantisme classique n’est pas très contraignant : stickage, collage, cercles de formation hebdomadaires… Cela va peut-être remplacer une soirée au bar ou une grasse matinée du dimanche matin, mais le sacrifice en vaut largement la peine. Il suffit seulement de s´en donner les moyens ! Quant aux actions plus rares dans l’année, généralement je m´arrange pour me libérer avec mon employeur ou m’avancer dans mon travail. Le but n’est pas de se couper de la réalité du quotidien pour se réfugier dans le militantisme, il faut rester équilibré.

Que répondrais-tu aux jeunes qui considèrent que « ça ne sert à rien de s’engager » ?

Je leur répondrais que si l’on ne combat pas, c’est qu’on a déjà perdu. Nous n’avons pas le droit de céder au défaitisme. Ce que nous faisons aujourd’hui c’est pour nous-mêmes et nos enfants que nous le faisons, car nous sommes TOUS concernés. C’est notre génération qui vivra les dégâts de l’immigration massive et les dangers de l’islamisation. Et certains en ont déjà payé le prix fort… Je leur répondrais que rien ne se fait sans la jeunesse, et nous avons une énorme influence que nous ne mesurons pas assez. Nous pouvons avoir un vrai impact médiatique et faire bouger les lignes. Je leur répondrais  que nos idées sont légitimes et qu’ils ne pourraient qu’être fiers de les incarner, qu’ils vivront une expérience extraordinaire dont ils se souviendront toute leur vie. Mais surtout je leur répondrais qu’ils n’auront pas le droit de se plaindre après de la situation s’ils n’auront rien fait ou tenté de faire pour l’améliorer. L’Histoire appartient à ceux qui l’écrivent ! 

La vidéo de Valeurs Actuelles

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