Donald Trump peut bien avoir le soutien du peuple américain qui l’a élu pour interdire l’entrée de son pays aux ressortissants et réfugiés de plusieurs pays musulmans, les mondialistes n’en ont cure. La cour fédérale de Justice, et tous les lobbies mondialistes derrière elle, se battent bec et ongles pour l’empêcher de protéger son peuple. Cela donne une idée de ce qui se passerait en France si, par extraordinaire, c’était un autre candidat que celui du système qui arrivait au pouvoir en mai prochain.

Le juge fédéral James Robert s’assied sur la volonté populaire. Il a rejeté, dimanche, la demande, par le ministère américain de la Justice, de pouvoir interdire l’entrée du territoire américain aux réfugiés et citoyens de sept pays musulmans.
L’administration de M. Trump a jusqu’à 15 heures, lundi, (23h GMT) pour déposer d’autres arguments avant qu’une décision finale ne soit prise.

CNN a pondu opportunément un sondage qui affirmait que 53 % des Américains étaient totalement opposés cette interdiction d’entrée sur le territoire. M. Trump a tweeté en réponse : « Tous ces sondages sont bidons, ce sont les mêmes sondages bidons que nous ont sortis CNN, ABC ou NBC avant les élections. »

« Désolé, » a-t-il ajouté, « les Américains veulent la sécurité à leurs frontières. J’ai mes propres sources, et tout le monde le sait. Certains médias mentent pour discréditer mes mesures. »

Ce sont des politiciens démocrates, comme les anciens secrétaires d’État John Kerry et Madeleine Albright, qui ont déposé des recours à la Cour Fédérale de Justice pour suspendre l’interdiction de territoire aux Musulmans. Ils ont avancé que cette décision du gouvernement Trump était « mal conçue, mal organisée, mal expliquée…» Ces opposants démocrates, parmi lesquels on retrouve l’ex-conseillère à la sécurité nationale, Susan Rice, et l’ancien chef de la sécurité intérieure, Janet Napolitano, soutiennent que cette interdiction nourrirait la propagande de l’Etat islamique selon lequel les États-Unis sont en guerre avec l’Islam. 

« Nous considérons », ont-ils affirmé, « que cet ordre menace plus la sécurité nationale des États-Unis que le contraire. Son application causerait des ravages dans la vie d’innocents. Les valeurs américaines en seraient profondément bouleversées ».

97 multinationales, appartenant principalement à l’industrie américaine des nouvelles technologies, comme Apple, Facebook, Google, Microsoft et Twitter – ont déclaré que l’ordonnance de M. Trump infligeait des « préjudices considérables aux entreprises, à l’innovation et à la croissance américaines ». Ils ont ajouté que la mesure « s’écarte considérablement des principes qui régissent notre loi sur l’immigration depuis des décennies ». 

Source : www.skynews.com

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