MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Selon une nouvelle parue dans Die Welt et de nombreux autres organes de presse allemands,  des immigrés auraient attiré l’attention du BKA (Office fédérale de police criminelle) sur un « réfugié » syrien, récemment accueilli dans le land de Brandebourg au nord-est de l’Allemagne,  qui serait un exécutant de l’Etat islamique.

Il a fallu que des réfugiés filment secrètement les aveux d’un de leurs co-locataires pour que la police allemande consente du bout des lèvres à entamer une enquête, tout en assurant la main sur le cœur qu’il n’existe aucun cas d’infiltrés parmi les « réfugiés », en dehors de ce cas éventuel.

Le terroriste présumé, qui réside dans un foyer pour réfugiés, raconte lui-même dans une vidéo filmée à son insu aux dires de ses compagnons, qu’il a pris part aux activités de l’EI et notamment perpétré des meurtres sur ordre du Califat. Ses voisins ont  remis l’ enregistrement au parquet du land.

Le « réfugié » suspect  aurait confié il y a quelques jours à d’autres immigrés qui partagent le toit généreusement mis à leur disposition par les Allemands, qu’il est engagé aux côtés de la milice terroriste Etat islamique, qui sévit notamment en Syrie, les priant à leur tour, de rejoindre les rangs du Califat, comme lui.

L’enquête a  été soumise au procureur général. Celui-ci, dimanche, a pris toutes les précautions de langage utiles pour ne pas incriminer le « réfugié » syrien sans certitude… malgré la vidéo. 

C’est cet enregistrement qui a été l’élément déclencheur d’une enquête de la BKA au nom du procureur général.

S’il  faut à la police allemande des aveux filmés en préalable de toutes procédures, les terroristes infiltrés peuvent dormir tranquilles en Allemagne!

La BKA, toutefois, ne veut pas voir dans ce fait la preuve d’une infiltration systématique du flux de réfugiés en dépit des revendications de l’Etat islamique et malgré le fait que la Hongrie a aussi arrêté des djihadistes infiltrés parmi les masses de clandestins qui ont afflué sur son territoire et tandis que la plupart refusent de soumettre leurs identités. Ces derniers mois, les autorités devraient, cependant, suivre plusieurs indices suivant lesquels des islamistes auraient pu venir en l’Allemagne en qualité de réfugiés, précisent toutefois les autorités allemandes.

Il est parfaitement connu, de l’aveu même des autorités et à l’expérience acquise avec les nombreux auteurs d’attentats islamistes, souvent meurtriers qui ont eu lieu en UE, que les djihadistes souffrent de ne pouvoir circuler librement entre la Syrie et la France notamment. Les flux sauvages et déferlants d’immigrés en provenance de ces zones sont donc en toute logique un moyen inespéré de passer inaperçus pour ceux qui veulent rentrer ou qui veulent venir semer la terreur en Europe. Des immigrés, rappelons-le, qui sont clandestins et dont la plupart refusent de donner leurs identités et leurs papiers, et sans qu’ils soient contraints de le faire. Du reste les afflux sont si importants qu’il semble que ce soit, de toute façon, impossible à faire. Malgré cela, les autorités allemandes prétendent avec aplomb qu’il n’y a pas d’infiltrés « à leur connaissance » parmi les réfugiés, au lieu de partir du postulat qu’il y a des infiltrés et que leur travail est de les trouver. Et en urgence, ainsi que le réclament le groupe de Visegrad, il est impératif de fermer les frontières !

L’Union refuse de faire le tri entre chrétiens et musulmans, alors qu’il ne peut pas y avoir de terroristes parmi les chrétiens.
En effet, parmi les immigrés se trouvent, en plus de la masse d’immigrés économiques, des persécutés de l’islamisme, mais aussi des terroristes islamistes, situation explosive d’une guerre qui est en train de s’implanter dans l’Union avec l’aval de ceux qui sont chargés théoriquement de nous secourir. Des guerres dans lesquelles la France est déjà impliquée en Irak en Syrie et en Afrique noire.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement, Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

4 Commentaires
Les plus anciens
Les plus récents Les mieux notés
Inline Feedbacks
Voir tous les commentaires
Etienne
Etienne
il y a 2 années

Nihil novi sub sole.
L’agressivité juive actuelle n’a d’égale que l’agressivité musulmane plus ancienne : les chrétiens dirigés par des lavettes sont devenus la cible naturelle préférée de leurs ennemis historiques.
Le « dialogue » (permanent ou momentané) n’est praticable que quand on a la capacité et la volonté de rester soi-même.

Verso
il y a 2 années

L’Arabie Saoudite est-elle la Terre promise des juifs ?

L’historien libanais Kamal Salibi, reconnu comme l’un des meilleurs spécialistes contemporains de l’histoire arabe, est également célèbre pour avoir publié en 1985 The Bible Came from Arabia, livre dans lequel il affirme que le royaume de Sion biblique se trouvait en réalité dans l’actuelle Arabie saoudite.

Plusieurs sites archéologiques en témoignent. Le récent et léger réchauffement des relations israélo-saoudiennes pourrait permettre à l’Arabie — qui se cherche de nouvelles sources de revenus — de devenir une destination touristique ouverte y compris aux Israéliens, toujours interdits de séjour dans le royaume.

Kamal Salibi, l’un des historiens contemporains les plus réputés du monde arabe, provoqua une tempête lorsqu’il affirma, dans une exégèse linguistique publiée en 1985, que le royaume de Sion n’était pas situé en Israël mais en Arabie saoudite. Israéliens, Saoudiens, Arabes, musulmans et Palestiniens s’accordèrent alors pour critiquer Salibi en des termes très durs.

Les Israéliens, les juifs et les évangélistes dénoncèrent dans son livre, The Bible Came from Arabia, une tentative pour délégitimer l’État juif et porter atteinte à sa revendication historique sur l’Israël moderne. Les historiens israéliens et les rabbins jugèrent que cette théorie relevait de la mythologie, de la science-fiction et du non-sens.

Les Saoudiens, craignant que les Israéliens ne prennent Salibi au sérieux et ne tentent de coloniser les monts Sarawat — la vallée du Jourdain de la Bible selon l’historien — détruisirent des douzaines de villages où se trouvaient des vestiges des temps bibliques. Les maisons furent réduites en poussière, en accord avec l’idéologie wahhabite qui légitime toute destruction de ce qui peut être interprété comme de l’idolâtrie.

Ironiquement, c’était pourtant l’Arabie saoudite qui avait incité Salibi à se lancer dans cette recherche linguistique, avec la publication en 1977 par le gouvernement d’une liste complète de milliers de noms de localités du royaume. Cette liste suscita l’intérêt de l’auteur car il avait trouvé peu de matière pour illustrer la première période d’une histoire de l’Arabie qu’il avait publiée cinq années plus tôt.

« Je cherchais simplement des noms de localités d’origine non arabe en Arabie occidentale, quand je fus frappé par l’évidence que la terre biblique se trouvait là. Quasiment tous les noms étaient concentrés sur une zone d’environ 600 km de long sur 200 de large, incluant l’actuel Asir et la partie sud du Hijaz », écrit Kamal Salibi.

CINQ SITES JUIFS DE L’ANTIQUITÉ

Deux semaines après la visite du général en retraite Anwar Eshki, la journaliste Jessica Steinberg écrivait dans le Times of Israel2 qu’il y a 3 000 ans, une communauté juive dynamique avait peuplé des zones qui font aujourd’hui partie de l’Arabie saoudite, et qu’au VIe et VIIe siècles les villes de Médine, Khaybar et Tayma abritaient un grand nombre de juifs.

Au XIIe siècle, le rabbin Benjamin de Tudèle (en Espagne) visita ces communautés au cours d’un voyage dans ce qui est aujourd’hui Israël. Les écrits du rabbin rendent compte de la démographie de ces tribus. Une génération en voie d’extinction de vieux Saoudiens d’origine yéménite habitant à la frontière entre l’Arabie saoudite et le Yémen se rappelle encore les jours qui précédèrent la création de l’État d’Israël, quand les juifs faisaient encore partie de leur communauté.

En attendant le jour où les Israéliens pourront visiter l’Arabie saoudite, Jessica Steinberg décrit cinq sites juifs dans la vallée de Khaybar et la cité antique de Tayma :

comment image?resize=8%2C11 

Khaybar, une vallée où l’on cultive les dattes, un oasis aux puits naturels, était habitée par une communauté juive et servait de halte sur la route de l’encens entre le Yémen, la Syrie et le Liban. Bien que l’on n’y trouve pas de pierre tombale dans son cimetière vieux de 1 400 ans, la population locale se souvient de son histoire juive ;

comment image?resize=8%2C11 

la forteresse des juifs de Khaybar, vieille de 1 400 ans, est perchée sur une colline qui surplombe l’oasis conquise par le prophète Mohammed. Son neveu et beau-fils Ali déverrouilla la porte de la forteresse, laissant l’armée du Prophète entrer et conquérir les lieux ;

comment image?resize=8%2C11 

le palace du chef de la tribu juive, également situé à Khaybar, était habité par la tribu juive Marhab, célèbre pour le commerce de l’or et des bijoux ;

comment image?resize=8%2C11 

Tayma est connue pour être une ville juive fortifiée où les voyageurs s’arrêtaient pour visiter la formation rocheuse Al-Naslaa où l’on trouve les pétroglyphes (art rupestre) les plus photogéniques, décrivant la vie et les moeurs des communautés antiques ;

comment image?resize=8%2C11 

Bir Haddaj est un grand puits au centre de Tayma qui remonte au moins au milieu du VIe siècle avant J. C. Le livre d’Isaïe évoque le lieu où habitaient les descendants du fils d’Ismaël, Téma :« Habitants du pays de Téma, allez à la rencontre de l’assoiffé, portez-lui de l’eau, accueillez le fugitif avec du pain. »

https://eschatologiablog.wordpress.com/2016/11/19/larabie-saoudite-est-elle-la-terre-promise-des-juifs/

Verso
il y a 2 années

L’effondrement de l’Ancien Empire égyptienJean-Pierre Petit
Les colères de Râ : En 2200 avant Jésus Christ une sécheresse absolue frappe l’Egypte de l’Ancien Empire, provoquant la famine et le chaos dans tout le pays. Le parents mangent leur enfants. Ce phénomène avéré, totalement inexpliqué, d’un réchauffement climatique extrêmement brutal, entraîne une désertification irréversible de tout le Sahara et survient à une époque où l’émission par les êtres humains, de gaz à effet de serre par les êtres humains est strictement nulle.

https://www.youtube.com/watch?v=I0oy7Tt9xNk

Cette catastrophe climatique n´entraina pas uniquement la désertification de tout le Sahara… mais aussi de la péninsule arabique… L’historien libanais Kamal Salibi, reconnu comme l’un des meilleurs spécialistes contemporains de l’histoire arabe le dévoile dans son ouvrage  » The Bible Came from Arabia  » , livre dans lequel il affirme que le royaume de Sion biblique se trouvait en réalité dans l’actuelle Arabie saoudite. Cette catastrophe naturelle (?) est-elle à l´horigine de la « diaspora juive », dont il est fait mention dans la torah, la bible juive ?

Le Véritable Mont Sinaï – Incroyables Preuves Bibliques en Arabie (Documentaire Français) 2022https://www.youtube.com/watch?v=ALVRCuw5iTk
Projet Neom : Pourquoi le mont Sinaï ?
https://www.facebook.com/Peupledanslemonde/videos/projet-neom-pourquoi-le-mont-sina%C3%AF-%C3%A9pisode-2-/1950767371642905/

Les Saoudiens cachent l’emplacement réel du mont Sinaï, selon une recherche Célèbre dans la tradition biblique, le mont Sinaï est une montagne située, selon l’opinion majoritaire, dans le Sinaï, en Égypte. Pourtant, à en croire certains spécialistes, il se trouverait bel et bien en Arabie saoudite (photo ci-dessus) qui en serait bien consciente…….Détails et Documentaire……..https://koide9enisrael.blogspot.com/2019/02/les-saoudiens-cachent-lemplacement-reel.htmlDans ce désert d’ÉTONNANTES STRUCTURES remontent à 8 000 avt. JC !– Des chercheurs de l’Université d’Oxford, travaillant sur le projet « Archéologie Menacée du Moyen Orient et Afrique du Nord » ont analysé la région autour du désert oriental de Néfoud, dans le nord de l’actuel de l’Arabie Saoudite. Ils ont découvert des structures constituées de murets de pierres parfois longs de plusieurs kilomètres.
https://www.youtube.com/watch?v=va1Jo0l4jqk&t=16s

Arabie saoudite – Nouvelles structures préhistoriques
https://www.sciences-faits-histoires.com/blog/archeologie/arabie-saoudite-nouvelles-structures-prehistoriques.html

Des traces du cube de la Kaaba dans le culte et la culture hébraïque 2/2
http://mizab.over-blog.com/2019/02/des-traces-du-cube-de-la-kaaba-dans-le-culte-et-la-culture-hebraique-2/2.html#_ftn4

etc.

Alors que le monde, l´humanité est au bord du précipice, il est devenu plus que nécessaire de se pencher enfin sur l´islam,, et sur le judaisme en particulier dont il est le produit, n´en déplaise aux musulmans.Car il est plus que certain que ces deux idéologie sont les sources de moults conflits dans le monde… Toutes deux, ouvertement ou dans le secret, prônent leur règne sur le monde et l´asservissement de l´homme à leur diktat ! Nous n´avons aujourd´hui plus le loisir de nous perdre en fausses considérations ou égards politiques…